prénom ✄ Raj. nom ✄ Schwärs. âge ✄ 37 ans. sexe ✄ étalon de pure souche. nationalité ✄ Berlin. origines ✄ Allemand & israélien. votre métier avant que tout cela ne commence ✄ Caméléon qualités ✄ Habile, doué d'intelligence, responsable, débrouillard, rusé, indépendant, aventurier, réaliste, imprévisible, analyste, attentif, vif, sang-froid. défauts ✄ grossier, immoral, cruel, insaisissable, égoïste, cynique, sarcastique, borné, désinvolte, orgueilleux, coeur de pierre, cassant, filou, sombre, énigmatique groupe ✄ you’ve no idea of what i can do.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faites-vous ? ✄ Vous vous attendez peut-être à ce que je lui porte secours? Je n'ai rien d'un héros, je suis même l'exact opposé. La seule chose que je ferais, c'est m'élancer dans un ballet endiablé avec ma carabine pour leur exploser la tête, à tous les deux. L'un, par simple et pure haine, et l'autre, par compassion. Ce n'est pas la première fois que je tue un proche "contaminé", mais c'est la seule chose à faire avant que le fatalité ne s'abatte sur nous. Je me suis fait beaucoup d'ennemis à cause de mes principes, mais personnellement, leurs reproches ne m'atteignent nullement. Je poursuis mon chemin, sans un regard par-dessus mon épaule.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Ah ah! J'ai déjà couru toute une journée avant de m'écrouler de fatigue. La raison? Personnellement, être poursuivi par un groupe d'israéliens armés jusqu'aux dents est une motivation comme une autre pour prendre "ses jambes à son cou". Avec les années, et mes nombreux périples, j'ai acquis une résistance satisfaisante. Les zombies ne sont pas comparables aux israéliens, il est beaucoup plus facile de leur échapper. Certes, il ne vaut mieux pas s'endormir ou s'octroyer une petite pause avec un zombie dans les parages, mais les tuer n'est pas la tâche la plus difficile à faire.

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Vous semblez ne pas avoir conscience que vous vous adressez à un être dépourvu de toute capacité à aimer d'un amour sincère une quelconque personne. Je n'ai jamais éprouvé cette sensation, et j'en remercier le ciel pour m'avoir évité ces montagnes de tracas. Je vais donc m'abstenir de répondre à cette question. Ne parlons pas de choses qui ne nous concernent pas. Qui sait, peut-être que dans ma malchance, je tomberais follement amoureux d'une pauvre mortelle, peut-être même que j'irais jusqu'à donner ma vie pour la sauver? Moi-même j'ai parfois du mal à contrôler mes propres réactions, alors ne me demandez pas comment je réagirais dans pareille situation.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Je me sers d'une arme depuis mes treize ans. Vous voyez le topo? J'en possède toujours une bonne ribambelle, dont mon précieux SP228, ou encore mon P99. Je me déplace toujours avec mon Atchisson. Tout du moins quand je sors de la zone sécurisée. Malheureusement, avec les zombies, j'ai adopté aussi une autre technique. Certes, plus rustique, mais qu'importe, le plaisir est décuplé; une batte de baseball, des grenades, un RPG-7, etc. Je peux m'amuser comme un petit fou sans passer pour un terroriste.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ Hum. Je n'ai aucun problème pour engager la conversation ou faire naître quelques prémices de sympathie chez l'autre, mais je n'ai jamais été un grand partisan de la foule. J'ai toujours préféré vivre dans mon coin, à faire mes petites expériences, loin du commun des mortels. J'étais un égoïste professionnel, jusqu'à ma rencontre avec Rajae. Je crois que ce petit bout de femme a réussi à m'intégrer dans la société.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ D'ordinaire, la mesure de sécurité veut que l'on s'abrite dans une cave, ou une pièce semblable. Les nombreuses fois où j'ai eu la malchance d'être dans une situation d'alerte générale, je n'ai rien trouvé de mieux qu'un puits ou une base souterraine militaire. J'ai l'art de me retrouver dans des endroits improbables...

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ M'assurer que Rajae est en sécurité et qu'elle ne manque de rien. Sinon, m'allumer une clope, histoire de m'embrumer un peu plus l'esprit. Entamer ma bouteille de whisky et critiquer la société comme je sais si bien le faire. Puis je me ferais sans doute taper sur les doigts par Rajae qui me blablatera sa morale pendant des heures, avant de cuver le fond de mon whisky. Amen.

« Comment tu fais pour t'attirer autant d'emmerdes? C'est incroyablement malheureux tout de même... » railla la voix rocailleuse de Reno, un vieillard qui passait la majorité de son temps à se foutre de la gueule de son monde. C'était sa Némésis, sa moitié démoniaque, son bourreau, son fantôme...La source de tous ses maux. « Je me pose moi-même la question. Au point où j'en suis, je mériterais un Oscar! » lui répondit Raj sur un ton égal, la voix gorgée de sarcasmes et d'hypocrisie. Croupi au fond de son terrier pourri jusqu'à la moelle, il s'amusait à gratter le sol à l'aide d'un vulgaire caillou, laissant quelques crissements fendre les tympans de ses voisins de cellule. Sourd face aux protestations de cette riche palette de larbins, Raj, communément surnommé « Le Caméléon », même si le terme « Chacal » lui serait plus approprié, fêtait son deuxième jour dans une prison en Colombie. A vrai dire, il se sentait presque bien dans ce trou doué d'infamie, la gorge sèche, les mains moites et le regard assombri par la pénombre ambiante, uniquement éclairée par quelques éclaircies timides. Une saveur de moisissure vint baiser le bout de sa langue, lui arrachant dégoût et curiosité. Comment s'était-il retrouvé dans ce merdier? Comparé à quelques mésaventures passées, celle-ci s'avérait encore légère. Friand d'adrénaline, il n'avait rien trouvé de mieux que de fouler le territoire d'un mafieux dont le nom lui échappait. Un certain Pablo, réputé pour sa cruauté inhumaine. C'était également le propriétaire d'un des plus grands trafics de drogue de tout le pays. Raj s'était simplement fait passé pour un collègue salace, et quand Pablo avait le dos tourné, s'était soigneusement rempli les poches avant de s'éclipser derrière un épais manteau de crépuscule. Il n'avait pas prévu qu'un groupe d'agents infiltrés était dissimulé à l'orée du bois, en simple signe de reconnaissance. Si seulement il n'était pas tombé pile poil sur leur repère...Naturellement, malchanceux hors-pair, Raj ne s'attire que des couilles de toutes les couleurs. Enfin, ce n'est pas pour lui déplaire...C'est ce qui pimente la routine qu'il s'efforce de quitter. « Eh comment comptes-tu sortir d'ici? » Raj lança un regard exaspéré vers l'illusion parfait qu'avait créé son subconscient, la parfaite reproduction du défunt Reno Khursh, l'un de ses rares amis. « Avec ceci » Il brandit un clou rouillé devant les yeux de Reno, une étincelle de malice dansant au travers de ses pupilles dilatées, le blanc des yeux rougi par la fatigue. Une heure plus tard, l'alarme sonnait fougueusement, alertant la fuite d'un prisonnier.


« Qui suis-je exactement? Un pauvre looser qui chercher à trouver un sens à sa vie? Un psychopathe refoulé? Peut-être même un sociopathe? Non. Enfin, je n'en sais rien. C'est difficile à expliquer...Ils sont là. Au moment même où j'écris ces mots, ils me narguent, dévoilant leurs canines d'une blancheur écarlate, parfaitement limées comme si elles n'attendaient qu'à planter leur pointe gourmande dans ma tendre chaire. Certes, je suis sans doute une viande d'une fine qualité, mais je ne ressens nullement l'envie ni même le besoin d'être la triste victime du cannibalisme. Ils ont toujours été là, à rôder autour de ma médiocre existence. Ce sont mes démons, à moi seul. Ils étaient les loups affamés qui tourmentaient mes nuits d'enfant, m'agitant dans un trouble sommeil, le palpitant se déchainant contre ma cage thoracique. Mes parents n'y voyaient là qu'une énième crise d'asthme, ou les divagations d'un enfant peureux. Le Docteur Noväk, lui, me voyait comme un élément mentalement perturbé. A priori, j'étais un sujet intéressant, à tel point que j'étais devenu un abonné à son cabinet, pour la simple et bonne raison qu'il était l'unique personne avec qui je pouvais parler sans mâcher mes mots. C'étaient des échanges plutôt étranges...A l'époque, je pensais parler à un extraterrestre doué de manipulation, mais j'ai bien vite compris que ce n'était qu'un fauteur-de-trouble en plus à ajouter dans ma liste noire. Quand j'évoquais le Dr Noväk à mes parents, ils me regardaient avec des yeux ahuris. En vérité, je n'avais été qu'une fois à son cabinet, mais ça, je n'en avais pas conscience. Fou? Schizophrène? Victime de troubles de la personnalité? De nombreuses questions sans réponses. Cette attitude jugée d'anormale suscitait la crainte chez mes 'proches'. Je n'étais pas comme le commun des mortels, et je les effrayais, comme un loup faisait trembler un troupeau de brebis. J'étais l'élément perturbateur, le garçon à part...Je dois choisir entre mon traitement et subir ses nombreux effets secondaires, ou mener à bien ma vie en tapant la conversation avec des projections de mon subconscient? A méditer... »


Je m'appelle Raj Schwärs, également appelé 'Le Caméléon'. Certains m'ont connu sous l'identité d'un brillant chirurgien, d'autres derrière le masque d'un pilote d'avion. J'ai été plusieurs hommes; un gardien de prison, un avocat, un commissaire, un banquier, un chauffeur de limousine, un riche milliardaire, etc. Défilant les lois de la vitesse et du costume, je suis l'homme aux multiples visages, l'ombre et la nuit, l'eau et le feu. J'ai pendant longtemps été le préféré des services secrets, traqué jusqu'aux bouts des ongles. J'ai déjà goûté aux prisons japonaises, iraniennes ou russes, subissant leur traitement si particulier. J'étais à de nombreuses occasions été confronté à la mort, et pourtant, je suis encore là...A moins que je ne sois qu'une illusion? Peut-être même que je n'existe pas? Après tout, comment distinguer le vrai du faux? Comment? Nous vivons dans une monde gorgé de mensonges et d'hypocrisie, de manipulation et de déchéance. Nous ne sommes que de la merde, de la 'shit'. Peut-être que je n'ai même pas cette conversation avec vous? Peut-être...que je ne suis pas là?


« Fillette? T'es morte? » Foulant le sol avec nonchalance, avec l'étrange sensation d'avoir une vieille machine de guerre à la place du corps, Raj la vieille cabane en retrait dans un village paumé du Nebraska. Il venait d'abattre un trio de morts-vivants, désireux de faire de la présumée fillette leur casse-croûte. Le Caméléon n'était pas doué avec les enfants. Il s'apprêtait à rebrousser chemin quand une frêle silhouette s'arracha de sa cachette, le regard dur et effrayé. « Vous avez à manger? » Pour être directe, elle l'était. Un mi-sourire amusé étira les lèvres abimées de l'allemand, il sortit de sa sacoche des biscuits. La petite sauvageonne se jeta littéralement dessus, l'estomac affamé. «Eh bien! Ce n'est pas une fillette que j'ai sauvée mais une vraie gloutonne. Tu aurais pu facilement faire de tes assaillants ton casse-croûte...» Raj n'était pas un cœur tendre, c'était une personnalité sombre, avide de liberté et d'action. Pourtant, rien ne le prédisposait à s'attacher à la petite orpheline, Rajae Pilar Belladone. Elle était devenue comme une petite sœur, et depuis ce jour-là, ces deux-là sont devenus inséparables. Son instinct de protection a décuplé à l'égard de la jeune fille. Ils avaient tout perdu, leur famille, leurs amis, leurs repères. Ensemble, ils formaient une base soudée gorgée de confiance et d'affection.

pseudo ✄ MEXICALI ROSE. prénom ✄ Chloé. age ✄ 20 ans. pays ✄ Belgique. sexe ✄ Femelle . comment es-tu arrivé ici ? ✄ Bazzart. que penses tu du forum ? ✄ . avatar ✄ Leonardo Dicaprio. personnage inventé ou scénario ? ✄ inventé. un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ May the odds be ever in your favor. .