prénom ✄ Gabriel. nom ✄ Rhodes-Moriarty. âge ✄ vingt quatre ans sexe ✄ homme nationalité ✄ Australienne origines ✄ Australienne votre métier avant que tout cela ne commence ✄ Pilote de chasse qualités ✄ autodidacte, intelligent, courageux, intrépide défauts ✄ têtu, insouciant, peur de rien, rebelle, sans pitié groupe ✄ you’ve no idea of what i can do

Dans cette partie vous devez répondre aux questions suivantes en un minimum de cinq lignes. Elles serviront à mieux cerné votre personnage et également ses chances de survie.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ Question très difficile qui nécessite plusieurs points de vue, je sais qu'il est condamné et c'est regrettable mais je sais aussi que c'est inévitable alors, pour son bien je l'achève pour abréger ses souffrances. Je me dis qu'il est préférable que ce soit l'un de ses amis qui le tue qu'un parfaite inconnu. Par contre, si je me retrouve dans cette situation avec une personne qui me tient vraiment à coeur, cela risque d'être plus compliqué. Je ne saurais quoi faire à part tout faire pour essayer de sauver cette personne même si pour cela je dois remuer ciel et terre.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Il a suivi un entrainement spécial à l'armée, améliorant mes capacités physiques. Je peux courir pendant des heures à une allure normal sans me fatiguer. Si au contraire, je suis poursuivi et que je dois courir vite, je ne pourrai pas courir plus d'une demi-heure avant d'avoir besoin de me reposer.

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Il est évident que oui, personne ne choisirait de laisser tomber l'être aimer. Je suis sans pitié, mais pas avec les personnes que j'aime. Comme je l'ai dit plus haut je remuerai ciel et terre pour la retrouver, tuant sur mon passage tous ceux qui m'en empêcherons.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ J'ai appris à manier les armes à l'armée, ils nous ont habitué à manier toutes les sortes d'armes possible. Je possède une batte de baseball qui est mon arme fétiche, avec elle je ne manque jamais ma cible. Il peut m'arriver aussi de manier le Katana, je déteste en tout point les armes à feux.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ Je suis un beau parleur, les gens me font confiance tout de suite. Si j'ai envie de m'adapter en société, j'y arriverai sans problème. Ma mère m'a toujours appris le partage, si une personne est dans le besoin, je l'aiderai sans problème.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Un endroit où il y a de la nourriture, de l'eau et des armes. Un endroit calme, où je pourrai être seul et survivre longtemps sans avoir besoin de changer de coin tous les quatre matins. Il faut qu'il y ait tout ce dont j'ai besoin comme des vêtements et des bricoles qui pourraient m'être utile.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Je regarde les options qui me sont proposés. Je regarde ce qui se trouve en ma possession, je vérifie également l'état de mes armes. Puis je regarde les environs voir si je suis bien en sécurité puis j'élabore un plan pour me sortir d'ici et trouver un lieu plus sûr.

pseudo ✄ Clarinette, Clairon prénom ✄ Claire. age ✄ dix huit ans pays ✄ France sexe ✄ Rien entre les jambes comment es-tu arrivé ici ? ✄ Marissa que penses tu du forum ? ✄ c'est trop de la balle avatar ✄ Josh Hutcherson alias beau goss personnage inventé ou scénario ? ✄ Personnage inventé un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄

Partie passé

Nous étions tous les trois dehors en train de s’amuser, Rozen était assis sur une chaise en train de nous regarder jouer Maxandre et moi au baseball. On passait nos journées ensemble, inséparables. « Gabriel la balle attenti… » Essaya de m’avertir mon meilleur ami. Trop tard je me la reçus en plein sur le front, Rozen explosa de rire devant ma nullité à rattraper la balle suivit de près par Maxandre. Je ne pouvais quand rire moi aussi mais bien décider à me venger je courus en direction de Maxandre qui réagit immédiatement en prenant la fuite et je le coursa dans le jardin. « Tu vas voir tu ne vas pas t’en tirer aussi facilement » lui dit-je en rigolant. Il n’y avait jamais de conflit entre nous, il était pour moi un frère en qui j’avais toute confiance. Je le ratrapa facilement il pouvait être bon au lancer, j’étais imbattable à la course. Je le percuta et nous tombâmes au sol alors s’ensuivit une lutte amicale, je réussis néanmoins à l’immobiliser. Nous rigolâmes de plus belle, je me releva content d’avoir eu ma petite vengeance. « Tu n’aurais pas pris du poids par hasard » me lança-t-il tout sérieux avant d’exploser de rire une nouvelle fois en voyant mon expression incrédule « je rigole mec ». Il y avait toujours cette complicité entre nous, on n’arrêtait jamais de se chercher mutuellement. « Arrête Maxandre, je t’assure que tu n’as pas pris un seul gramme Gab tu es toujours aussi beau et svelte » me rassura Rozen. Je la pris dans mes bras, elle était quant à elle mon âme sœur, mon premier amour. Des années plus tôt, je n’aurais jamais imaginé sortir avec elle, de ce que je me souviens c’est que depuis notre naissance, nous avons toujours été ensemble comme une famille. Maxandre et moi étions devenus rapidement de très bon ami et je considérai sa sœur comme un pote mais plus le temps passait et plus on grandissait, Rozen est devenu de plus en plus belle à mes yeux et j’en suis venu à ressentir des sentiments à son égard. Quand j’y repense heureusement que Maxandre était là, sans lui, nous serions encore aujourd’hui de simples amis. Je me rappelle cette fameuse journée où Maxandre était venu me trouver. « T’es débile ou quoi ? Sa crève les yeux que t’en pince pour elle » me dit-il dans la conversation. Je n’avais pas osé avouer mes sentiments et grâce à lui, j’eu le courage de lui dire. La réaction de Rozen quand je lui avoua que j’étais tombé amoureux d’elle me confirma qu’il était bien frère et sœur «J’ai faillit désespéré Gabriel, je pensais que tu ne me voyais pas comme je le voulais ». Et c’est comme ça que nous avons commencé à sortir ensemble, comme dans chaque couple il y a des moments de joie mais aussi de tristesse. Nous avons eu de nombreuse dispute mais Maxandre arrivait à chaque fois à nous réconcilier. Il était toujours là pour nous aider, il était notre médiateur.

Je savais que je pouvais tout dire à mes amis, je n’avais aucun secret pour eux à part celui là. Comme tous les soirs, je redoutais de rentrer à la maison lorsque mon père y était. Ma mère était en train de s’occuper de ses fleurs dans le jardin. Je me dirigea vers l’escalier afin de monter dans ma chambre. « Gabriel vient là ! » Je rentra dans le salon à l’appel de mon père, il était inutile de l’ignorer, je savais que je n’allais pas y échapper ce soir non plus. Il se tenait droit devant la cheminée, il se retourna et me fit face. Son visage n’avait aucune expression, je savais juste qu’il était en colère, je voyais les veines de son visage et de ses mains ressortir. Sans un mot, il me fit signe d’avancer, arriver à sa hauteur, il me regarda dans les yeux et me dit comme à chaque fois ces mots « Tu sais pourquoi ! » Alors commença le cauchemar, je faisais face comme je pouvais sous les coups de mon père, je subissais sa colère qu’il ne pouvait reporter sur son général, il n’avait jamais accepté de recevoir d’ordre de cet homme qui n’était autre que le père de Rozen et Maxandre, alors le fait que je traine avec eux n’arrangeait rien. Il avait très vite compris qu’il ne pouvait pas m’interdire de les voir, c’est pourquoi il avait commencé à me frapper pensant que j’arrêterai de les voir de mon plein grès. Il avait tort bien sûr et il le savait ce qui rendait ces coups de plus en plus violent. Il s’arrêta soudainement, épuiser. Je partis sans un mot dans ma chambre, me tenant droit pour lui montrer qu’il n’avait aucune emprise sur moi. A l’heure du diner je descendis les rejoindre à table, mère remarqua immédiatement ce qui s’était passé lorsque qu’elle me vit boiter. Il ne me frappait jamais au visage pour pas que les coups se remarque, c’est comme ça que j’avais pu cacher la violence de mon père à mon égard à mes amis. Elle ne dit rien me regardant seulement avec tristesse. Plus tard, elle me rejoignit dans ma chambre et me soigna. Elle avait toujours été là pour moi, je l’aimais profondément, même sans rien dire, seulement avec un regard, une caresse sur mon visage, elle me montrait comment elle était désolée de ne rien pouvoir faire, alors je la rassurai encore et encore.


Le vide totale, voilà ce qui se passait en ce moment dans ma tête, j’avais l’impression que le monde s’écroulait autour de moi, non ce n’était pas possible, il devait se tromper, il ne pouvait pas être … mort. Lorsque l’on m’annonça que Maxandre avait périt lors d’un crash d’avion ma première réaction a été de penser que l’on me faisait une blague, une très mauvaise blague puis en découvrant les visages sérieux et triste puis Rozen s’écroulant en pleur dans mes bras, la réalité me frappa au visage. Ce n’était pas possible, je ne cessais de répéter ces mots, j’étais tétanisé, dans l’incapacité de bouger, pour la première fois de ma vie, je me mis à pleurer. Je me moquais éperdument des autres, mon meilleur ami, mon frère venait de mourir nous laissant Rozen et moi tout seul, le trio des mousquetaires étaient finis, plus jamais nous ne serions trois. Nous nous sommes soutenu dans cette peine, essayant de continuer à vivre normalement mais cela n’a pas marché, comment vivre comme avant en sachant qu’il ne reviendra jamais. Comment vivre en ses lieux alors qu’il était toujours présent en quelque sorte.« Je pars Rozen, je veux le faire pour lui, il rêvait de devenir le plus grand pilote, je veux accomplir son rêve pour lui, en sa mémoire ! » « Non, tu n’as pas le droit, comment peut tu me faire ça, ne m’abandonne pas, je ne veux pas te perdre à ton tour. » Elle pleura comme à chaque fois que l’on abordait ce sujet, cela faisait maintenant un an qu’il n’était plus des nôtres, je voulais pour lui devenir pilote, on en parlait souvent plus jeunes de nos projets futurs, je n’avais pas d’idée mais Maxandre était bien décidé, il avait cette idée en tête et s’il était encore là aujourd’hui je suis sûr qu’il y serait arrivé. « Je sais maintenant que c’est mon destin Rozen, je ne peux par reculer en arrière, je me suis engagé, j'ai dix neuf ans maintenant si j'attend il sera trop tard, je pars dans une semaine pour les Etats-Unis. » « Comment tu peux me faire ça Gab, je ne compte pas pour toi » « Ne dis pas de sottise, tu sais très bien que je t’aime et que cela ne changera jamais, on peut surmonter ça Rozen » la coupais-je, cela me faisait mal de la voir pleurer, essayant de tout faire pour m'empêcher de partir mais je n’avais pas le choix.« Non, si tu pars Gab c’est fini entre nous. » Elle me tourna le dos et partie en pleurant, notre relation se termina comme ça, Maxandre n’était plus là pour nous réconcilier et je partis le cœur remplit d'amertume.


Partie présent

Six longue année que j’étais partis de chez moi, j’avais réussi, j’étais devenu un pilote. Dans le ciel, je me sentais libre et un peu plus proche de mon ami. J’avais tout donné pour réussir, j’étais devenu plus dur avec moi-même, on pouvait dire que j’étais un homme différent. J’avais laissé tout sentiment de côté, ne les laissant pas interféré, j’avais tout fait pour ne pas me lier d’amitié avec qui que ce soit. Je connaissais maintenant la guerre et ses horreurs, je ne pouvais plus dormir la nuit. Chaque soir, j’essayai de m’endormir mais, comme à chaque fois, je ne voyais que la mort. L’armée nous avait renvoyé dans notre pays, nous relevant de nos fonctions, je ne pouvais plus voler. Ils nous expliquèrent que nous devions obéir sans poser de question, que c’était pour le bien de l’humanité. Alors comme tout bon soldat nous avons suivi les ordres, nous avons été entrainé durement, je devais maintenant apprendre à manier les armes, à développer mon endurance physique. Puis un jour ils ont laissé exploser la bombe que depuis maintenant moins d’une année un virus avait fait son apparition semant le chaos dans le monde entier et que nous devions maintenant l’affronter à notre tour. Ils nous séparèrent en différent groupe, notre mission était simple, nous devions trouver les survivants restants et les ramener ici pour qu’il soit amené dans une zone sécurisé. Je pensais avoir tout vu et je me trompais, l’enfer était sur terre. Tout n’était que désolation, il n’y avait pas âme qui vive. L’armée nous avait peut être entrainé, nous expliquant sur quoi nous allions tomber mais la réalité était tout autre, la plupart d’entre nous n’était pas près à surmonter ça. Le troisième jour de notre mission nous sommes tombés sur une horde qui nous attaqua la nuit tombé. Ce fut la panique, beaucoup moururent sur-le-champ, complètement dévoré. Nous n’étions plus que deux à être en vie, nous avons couru comme si le diable était à nos trousses jusqu'à ce que nous soyons en sécurité. « Gabriel… » Le souffle de mon camarades se faisait de plus en plus rauque puis je vis son bras en sang, je déchira sa manche et découvrit la morsure,« Sauve-moi… ». Je le regarda dans les yeux et sans hésitation je pris mon arme et la posa sur sa tempe, je vis dans ses yeux de l’incompréhension, de la peur puis je tira.


Je me tenais devant chez moi, les lieux étaient désert, je pris le temps de regarder autour de moi histoire de vérifier que j’étais bien seul. L’armée ne nous avait pas autorisé à prendre des nouvelles de nos familles, j’espérais juste qu’ils avaient pu se mettre à l’abri. Je rentrai prudemment dans la maison, personne. Je me calmai un peu mais resta sur mes gardes. Une lettre était posée sur la table de la cuisine. Je fus surpris d’y découvrir l’écriture de mon père à la place de ma mère. C’était une lettre de suicide, il n’y avait pas de date, juste quelque mot expliquant la mort de ma mère et les regrets de mon père. Je ne ressentais rien, pourquoi les larmes n’arrivaient t’elle pas à couler, mon cœur pourtant souffrait, j’étais triste d’apprendre la mort de ma mère ainsi. Je monta dans leur chambre, essayant de me rappeler les jours heureux passé ensemble, bien que mon père me battait, je l’avais toujours respecté pour avoir aimé ma mère passionnément. « Je te pardonne » murmurai-je à moi-même répondant au souhait de sa lettre. Je trouva la bague de ma mère et la pris en souvenir, je l’accrocha à ma plaque puis pris celle de mon père que je joignis à la mienne et sortis de la maison. Je pris ensuite la direction de la maison voisine, il me fallait une arme qui ne me ferait jamais défaut, je rentra dans la chambre de mon meilleur ami, rien n’avait changé depuis sa mort, je trouva rapidement ce que j’étais venu chercher, sa batte de baseball. Avec ça et mon katana, rien ne pourrai m’arriver pensais-je mais à peine sortis de la maison qu’un groupe de personnes surgit de nul part m’encercla, ils étaient beaucoup trop nombreux pour que je me défende. Qui était-il ? « Vous êtes bien Gabriel Rhodes-Moriarty fils d’Hélène Rhodes-Moriarty ? » Comment connaissait-il le nom de ma mère ? « Oui c’est moi, que me voulez-vous ? » « Que vous nous rejoignez, mais ne parlons pas de ça ici, veuillez me suivre s’il vous plait » J’hésitais pendant quelque seconde puis je les suivis, je n’avais plus rien à perdre et plus rien ne me retenais ici. Nous arrivâmes dans une vielle bâtisse abandonner puis ils me racontèrent le passé de ma mère. Elle faisait partie d’une agence secrète privée destinée à renverser une autre agence ce que je ne savais pas encore c’est que Rozen faisait partie de l’agence en question. J’accepta de les rejoindre et partis pour la zone sécurisé de Brazoria qui se trouvait au Texas. Je devais y retrouver un autre espion pour l’aider dans sa mission.

La zone non sécurisé, un endroit très dangereux et instable. Je m’étais proposé pour une mission, j’étais partis seul, je ne faisais confiance à personne, une personne avec moi aurai été inutile, elle n’aurait fait que de me gêner. Le soleil était à son zénith, il n’y avait pas un chat mais il ne fallait pas si fier, à tout moment le danger pouvait arriver, une seconde d’inattention et s’étais la mort assurer. J’étais arrivé au Texas sans problème, l’agent présent m’expliqua sa mission et ce dont qu'il avait besoin, principalement des informations, je devais me mêler aux survivants et récolter tout ce que je pouvais. La tâche était facile, j’arrivai facilement à faire parler les gens, ils me faisaient confiance. Malheureusement, c’était un travail fastidieux et ennuyeux, alors quand ils cherchèrent des volontaires pour aller dans la zone non sécurisé j’accepta aussitôt. Je devais explorer les alentours à la recherche d’un nouveau coin d’eau. Cela faisait une journée que je marchais sans m’arrêter, j’étais sur une route et je n’étais pas tranquille, un zombie pouvait sortir de n’importe quel voiture éparpiller un peu partout laissé en abandon. Je repéra une moto sur le bas côté, avec un peu de chance elle marcherait encore et cela m’éviterai de marcher plus longtemps. Bien sûr, c’était sans compter sur ma chance, elle était à sec, il me faudrait continuer à pied. La nuit ne tarda pas à pointer le bout de son nez, j’étais dans la merde, j’avais pourtant fait demi-tour pour pouvoir rentrer à temps à la zone sécurisé et me voilà en territoire hostile de nuit. Je me fis le plus silencieux possible et continua ma route les sens en alerte. Je vis au loin une silhouette s’approcher, un zombie ou un humain tel était la question dont je ne tarderai pas à connaitre la réponse. Je me cacha derrière un arbre et attendit que l’inconnu arrive à ma hauteur. C’était une femme, une très belle femme, pendant un instant je fus perturbé, j’avais l’impression de la connaître, son visage me disait quelque chose. J’aurai mieux fait d’attendre qu’elle soit partie et continuer mon chemin mais je décida de l’aborder, je sortis de ma cachette et me mit à la clarté de la lune afin qu’elle puisse me voir. Pour sûr, elle m’avait remarqué, elle me fonça dessus en brandissant son arme, elle était décidée à me tuer, zombie ou pas. Je n’allais pas me laisser faire, je pris ma batte de baseball près à riposter « Gabriel ? » Je n’en croyais pas mes yeux, Rozen se trouvais juste devant moi tentant quelque instant plus tôt de me tuer.