prénom ✄ kayleigh savannah nom ✄ evans-carter âge ✄ 24 yo sexe ✄ féminin nationalité ✄ américaine origines ✄ française & russe votre métier avant que tout cela ne commence ✄ infirmière. qualités ✄ texte ici. défauts ✄ texte ici. groupe ✄ you've no idea of what i can do.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ Je ne suis pas égocentrique, je ne pense pas qu'à ma petite personne. Quand, quelqu'un que j'aime est en danger voir même déjà mort, même si cela veut me recouvrir de boyaux pour avoir l'odeur pestilentielle des zombies sur moi et ainsi éviter une mort certaine en marchant au milieu de sans crainte. Je n'ai plus rien à perdre dans ce monde qui ne ressemble plus à grand chose mis-à-part peut-être à un cimetière géant et vivant. La seule chose que je souhaiterais, si jamais il devait m'arriver quelques choses, serait d'avoir une sépulture et non de pourrir au beau milieu d'une rue.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Je n'ai jamais était le genre de fille qui passait ses journées en institut, en lisant un magasine people pendant qu'on lui faisait les ongles. J'étais plutôt l'opposée, celle qui préférait jouer dans la boue et organiser des concours de rapidité avec des limaces. De la à dire que je suis sportive, je ne sais pas, je veux dire, j'ai toujours pris soin de mon corps en faisant deux de sport par semaines et parfois des jogging. Je ne qualifie pas en tant que telle mais je suis endurante, ma gorge peut devenir sèche, mes genoux peuvent s'entrechoquaient, je sais que si je dois courir pour ma survie, je ne m'arrêterais pas.

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Sans aucun doute. Je pourrais traverser la planète entière pour le retrouvez. Les gens que j'aime peuvent se compter sur les doigts d'une main et même moins. J'ai déjà perdu tous les gens auxquels je tenais et leur nombre était moindre comparé à un individu standard. Si il y a bien une chose que je ne suis prête d'abandonner ce sont le peu de gens qu'il me reste comme ma soeur. Je crois que maintenant, dans ce monde infesté de zombie, c'est ma force et ma faiblesse. J'userais de tous les stragèmes imaginables mais je traverserais la ville pour la retrouver. J'ai déjà tué pour elle, je n'hésiterais pas à le refaire.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ La première fois qu'elle a tenu une arme entre ses mains c'était au cours de sa seizième année alors qu'elle faisait du tir à la carabine puis au pistolet avec ses camarades en sport. Activité dans laquelle, elle était performante. Elle a fait l'acquisition d'un revolver à sa majorité pour se protéger mais elle ne s'en est jamais vraiment servi, c'était plus un moyen dissuasif, qu'un moyen de tuer pour elle à l'époque. Depuis, l'invasion des zombies, elle a appris à ce servir de toutes les armes à tuer, même celles qui n'en sont originellement pas. Elle se montre plutôt habile.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ Je n'ai jamais eu besoin de m'adapter en société, j'ai le sentiment de n'en avoir jamais fait vraiment partie. J'étais dans mon monde et tous les autres étaient dans celui qu'il fallait. J'étais sur le banc de touche. Néanmoins, j'ai toujours suivi les règles de la société. Sans la comprendre véritablement. J'ai grandi entouré de gens qui ne savait rien de l'enfer que je vivais au quotidien. J'étais plus mature et je n’évoluais pas dans le même monde. Ils se pensaient toujours vivre aux pays des bisournous quand j'avais compris à quelle point la vie était égoiste. A la l'image de la société. Quand au partage, j'ai appris à partager le de chose que j'avais ma petite soeur que ça aille de la simple poupée à la brosse à dent.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Chez moi. Je cours chez moi pour aller chercher ma soeur, mon arme et des vivres. Après, je me débrouille pour me cacher dans la nature en attendant de trouver un endroit où je sois en sécurité, un camps avec d'autres rescapés. Une chose est sûre : je quitte Chicago, pour la simple et bonne raison que c'est la troisième plus grande ville des États Unis et qu'ici, plus qu'en pleine campagne le nombre de zombies est grand.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Je dis à ma soeur de s'y cacher. J'ai toujours une règle simple depuis toujours : ce sera toujours ma sœur avant moi, moi, avant les autres. On m'a toujours dis de toujours veillait sur les gens sur lesquels que je tenais car ils peuvent disparaître aussi vite qu'une traînée de poudre. C'est ce que j'essaye de faire. J'essaye de la garder en vie. C'est qu'on fait l'une pour l'autre maintenant.

« Je m'en vais Calum ! J'en peux plus de cette vie ! » annonça finalement Oksanna Evans-Carter après s'être débattue avec son mari. Quelques instants après, la porte se ferma dans un claquement. La petite fille de cinq ans avait observé toute la scène avec les yeux propres à ce d'un bambin. Elle avait les yeux écarquillé et on pouvait voir qu'elle ne comprenait pas ce qui venait de se dérouler, en l'espace d'un gazouillement, elle s'était remise à jouer tranquillement, comme avant, alors que toute son existence venait d'être chamboulée, pour toujours.
Il n'y a rien de pire que de perdre quelqu'un que l'on aime, sans pouvoir rien faire. On dit souvent que l'amour est destructeur. Dans le cas de mon père ça l'a été. Son regard c'était clairement assombri alors qu'il regardait la fenêtre sa femme partir loin de lui, pour toujours.
Dans les premiers temps, l'absence de la mère des deux fillettes ne se fit pas ressentir plus que nécessaire. Elle était hôtesse de l'air. Kayleigh et Blueberry, les deux petits anges brunes avait l'habitude de rester seules avec leur père, même si je doute qu'à l'âge de deux ans, Blue en est conservée le moindre souvenir, ce qui ne fût pas le cas de Kayleigh. Elle garda en mémoire la manière si particulière qu'avait sa mère de rire, les effluves fleuries de son parfum et bien sûr les injures qu'elle lançait dans sa langue natale quand son mari la provoquait volontairement en sifflant. Siffler en Russie était une habitude à ne pas avoir car cela veux dire qu'on est entrain de perdre tout l'argent que l'on a. Son père n'a, certes, pas perdu ses capitaux, mais son bien le plus précieux et c'est la même chose non ?