BLACK RAIN™
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 (m) sebastian stan - je ne te détesterais jamais autant que je t'aime.

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(m) sebastian stan - je ne te détesterais jamais autant que je t'aime. _
MessageSujet: (m) sebastian stan - je ne te détesterais jamais autant que je t'aime.   (m) sebastian stan - je ne te détesterais jamais autant que je t'aime. EmptyMar 22 Mai - 5:27

Get a kick ass partner and don't be a hero
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EDEN SAINT-JAMES
when you were down, i was your clown

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prénom ✄ eden. nom ✄ saint-james. âge ✄ vingt-et-un ans. nationalité ✄ irlando-américain. origines ✄ né à dublin, élevé à nashville, d'ascendance française et irlandaise. son métier avant que tout cela ne commence ✄ serveur dans un bar. qualités ✄ fiable, joueur, souriant, , séducteur, censé, malin. défauts ✄ défaitiste, compétitif, cache ses sentiments, peu fidèle. groupe ✄ kill you is my only obsession. avatar ✄ sebastian stan. ce qui est négociable dans le scénario ✄ l'avatar, et le deuxième prénom.

A little sun screen never hurt anybody
✖ la mère d'eden est morte quand il avait quatre ans. à la suite de ça, la famille saint-james a déménagé au tennessee, le père ayant du mal à rester dans la ville où sa femme avait dépéri.
✖ vers les dix ans d'eden, son père devint pasteur dans leur paroisse. eden préférait lorsqu'il était facteur.
✖ quand eden avait seize ans, sa soeur se fit jeter de la maison par leur père, parce qu'elle avait couché avec un garçon. eden, lui, n'était déjà plus vierge depuis quelques années.
✖ eden s'intégra toujours bien dans la famille composée uniquement de garçons. rapidement, il se prit en passion pour le baseball, nourrissant l'espoir de devenir joueur professionnel, mais il se cassa la clavicule lors d'une mauvaise chute, et du tirer une croix dessus, avec rancoeur.



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No life wait for you my friend

AVALON DEIRDRE SAINT-JAMES
i'll give you my heart
voici des extraits de ma fiche, qui expliquent assez bien la relation entre deirdre et eden.
La pluie fait coller ta robe noire à ta peau. Tes deux nattes rousses dégoulinent sur ta poitrine. La boue forme des petites flaques autour de tes petits genoux blanc comme la neige. Tu ne sais pas comment tout ceci est arrivé. Tu ne sais pas comment la vie a pu autant changer en si peu de temps. Tu ne comprends plus grand chose. Le vent fouette ton dos, comme s'il t'ordonnait de plier, de baisser les armes, de te laisser aller contre cette tombe, sur cette terre tout juste retournée. Tu aimerais te laisser aller toi aussi. Tu aimerai fouiller la terre pour retrouver le corps chaud de celle que tu aimes, te blottir contre elle pendant qu'elle te caresse les cheveux en te murmurant des paroles rassurantes. Mais il y a bien une chose que tu as comprise : c'est quelque chose qui n'arrivera plus jamais. « Dee... » Une petite main te touche l'épaule, doucement. Tu ne réagis pas, les yeux rivés sur la pierre tombale. « Dee, elle est où maman ? » La douleur dans la voix de ton petit frère te fais tourner la tête. Son petit costume est trempé par la pluie, à l'instar de ta robe, et il a l'air de s'en moquer, comme d'habitude. Un instant, tu ne sais que répondre, alors ton regard monte vers les nuages, étendues sombres et menaçantes. C'est un éclair qui te fais finalement bouger. Tu te lèves, et prends ton frère par la main, avant de vous hâter vers l'abri le plus proche, le porche de l'église. Tu t'assoies à côté du petit, sa main toujours dans la tienne. Tu regrette de ne pas avoir apporté de gilet, pour recouvrir les épaules de ton frère. « Dee, pourquoi tu pleures ? » Sa main lâche la tienne pour écraser une perle salée sur ta joue. Ce n'est qu'à ce moment que tu réalises qu'un torrent de larmes ravage tes joues. Son regard peiné t'attristes peut-être même plus que la mort de ta mère. Après tout, lui n'a que quatre ans, et se retrouve sans mère. Toi, tu en as presque six déjà, c'est bien assez grand. Tu renifles, et essuie tes larmes, te forçant à sourire. « C'est rien. Ça va. Tu as froid ? » Le petit hoche la tête timidement et tu le prends dans tes bras. C'est comme ça que votre père vous trouve. Enlacés, trempés jusqu'aux os et couverts de boue, sur le porche de l'église. Il s'avance vers vous, et vous prends à son tour dans ses bras. Tu sais qu'il a pleuré, ça se voit à ses yeux, mais tu ne dis rien. Il n'y a rien a dire. « On va rentrer à la maison mes canailles. Je vais vous faire un bon chocolat chaud, et ensuite, on commencera à se préparer pour aller chez oncle Jonah, d'accord ? Tout va s'arranger, je vous le promet. » Tu n'avais aucune idée de comment les choses pouvaient s'arranger, non, mais il était ton père. Tu lui faisais confiance.

Il est sept heures trente déjà, le soleil s'est levé depuis un certain temps. Toi, tu ouvres à peine les yeux. Une bouffée de stress pur s'empare pourtant de toi, te forçant à te jeter sur tes pieds, malgré ta position plus que confortable. « Austin ! Austin, réveille-toi, merde ! » « Quoi... Quoi, qu'est ce qu'y a Dee ? » « On s'est endormi... Il est 7h30, mon père va nous tuer ! » La menace de ton père fini de réveiller ton compagnon, qui se hâte d'enfiler son boxer et son jean, tandis que toi, tu en es déjà à ré-ajuster ta coiffure. Rapidement, vous repassez sur la banquette avant de la camionnette d'Austin, et tu commences à inventer une excuse à peu près plausible pour avoir dépassé ton couvre-feu. Le malaise s'empare de toi lorsque tu te rends comptes que rien ne fera vraiment l'affaire. Quoi que tu dises, tu es cuite. Tu jettes un coup d’œil à Austin, qui n'a même pas pris la peine de remettre son tee-shirt, et tu souris un peu. Ça en valait quand même la peine, quelques soit les conséquences. Tu l'aimais après tout. Tu aurais tout donné pour passer une nuit comme celle-là en sa compagnie, même ta liberté. Sentant ton regard sur lui, le blond se tourne vers toi, et te prends la main avec tendresse. Quoiqu'il advienne, vous serez là-dedans tout les deux, tel un vrai couple. Tu en aurais pleuré, si tu n'avais pas eu aussi peur. Finalement, bien trop tôt à ton gout, vous arrivez chez toi. Espérant profiter de quelques minutes de répit avant que ton père se rende compte de votre présence, tu te penches vers ton petit-ami, et l'embrasses avec autant de ferveur que possible. « Je t'aime. » Tu souris, et sors de la voiture avant de réaliser ton erreur. Vous n'aviez pas de minute de répit. En face de toi, à quelques mètres, se tient ton père, un fusil à la main, tenant la voiture d'Austin en joue. Il dû s'en apercevoir car il démarra en trombe sans demander son reste. Tu lui en fûs reconnaissante. Tu connaissais ton père, tu le savais capable de tirer. En prenant une inspiration, tu t'avances vers lui, et t'arrêtes. Doucement, il baisse son arme, et te regardes dans les yeux. « Où étais-tu ? » « Chez Austin. On s'est endormi devant un film. » Tu te mords la langue, et regarde ton géniteur, attendant la sentence. L'aisance feinte avec laquelle tu as débité ce mensonge te surprends un peu, comme si tu devenais de plus en plus douée à chaque mensonge donné. Finalement, ton père hoche un peu la tête, et, soulagée, tu passes devant lui. Erreur monumentale. « QU'EST CE QUE C'EST QUE CA ? » Si le hurlement te surprend, ce n'est rien comparé à la poigne de ton père que tu sens soudainement dans ton dos, t'entrainant en arrière avant que tu touches la poignée de la porte. Il tire sur ta robe. Alors, tu baisses les yeux, et remarque immédiatement ton problème. Ta robe est à l'envers. Ton père a dû en voir l'étiquette dans ton dos. Tu sens ton sang quitter ton visage, et remarque à peine Eden, torse nu, visiblement mal réveillé, qui ouvre la porte. « Qu'est ce qui se pa... » « Tu as osé... Tu... Tu as osé te souiller avec ce pêcheur ! Tu as osé ! » « Papa je... » « Il a osé te toucher ! Vous avez... Vous avez... IL T'A SOUILLEE ! LE SALOPARD ! LE FILS DE... » « PAPA ! Je l'aime ! » « AIMER ? AIMER ! TU NE SAIS RIEN A L'AMOUR PETITE FOLLE ! RIEN ! COMMENT AS-TU OSE... COMMENT A-T-IL OSER TOUCHER TON CORPS ! » « MON CORPS ! MON CORPS PAPA ! LE MIEN, PAS LE TIEN, NI CELUI DE DIEU ! JE SUIS LIBRE D'EN FAIRE CE QU'IL ME PLAIT ! » La gifle part avant même que tu t'en rendes comptes, et tu te retrouves sur le sol, la lèvre en sang. Eden accourt tout de suite, tout aussi stupéfait que toi de la tournure qu'ont prit les évènements. « Tu n'es qu'une pute. Une vulgaire pute. » La stupéfaction, la peine, la douleur, tout cela te cloue au sol, et t'empêches d'ouvrir la bouche. Une pute ? Toi ? Ton père crache à tes pieds avant de rentrer dans la maison en disant une nouvelle chose. Tu n'entends pas. Eden te parles aussi, mais tu n'entends pas plus. Tout ce que tu perçois, c'est un énorme bourdonnement. Tout à coup, Eden se lève, et se rue à l'intérieur. Tu ne sais pas ce qui se passe. Doucement, tu t'assois. Le bourdonnement s'apaise un peu dans tes oreilles, et la colère, douce au début, puis sourde, t'envahit entièrement. Comment ose-t-il te traiter de pute, toi, la chair de sa chair ? Pour un faux pas qui plus est, un seul faux pas commit par amour ? Ne pouvait-il dont vraiment pas comprendre ? Avec dégout, tu te lèves, et t'éloignes à petits pas de cette maison, comme si elle était habitée par le diable en personne. Avant que tu t'éloignes trop, cependant, ton frère te rejoint, en courant. Ton frère. Ton petit frère, ton bébé de frère. Il te prend dans ses bras et te serre fort contre lui. Il essuie des larmes que tu n'avais pas senties couler sur tes joues et te met quelques billets dans les mains. 200$. Toutes ses économies. Tu le regarde sans comprendre. « Prends-les. Va chez Austin. Dans un motel. Éloigne-toi un moment. Je vais essayer de le calmer. Je viendrais te voir, je te le promet. Je t'aime. » Ecoeurée, sous le choc, attendrie, pleine d'amertume et de colère, tu t'en vas, sans un regard en arrière. Austin t'héberge bien volontiers, et quelques jours plus tard, Eden vient t'apporter tes affaires, pour de bon. Tu restas chez Austin un moment, jusqu'à la graduation. Là, vous avez rassemblé vos affaires, et êtes partis pour New York. Amoureux. Sans regrets.

Tu ouvres les yeux, doucement. Quelque chose te dérange, te dérange beaucoup même, mais tu es incapable de dire quoi. Tu t'étires un peu, dans ton lit miteux, en refermant doucement les yeux, réfléchissant à la raison de ton réveil. Il n'y a rien d'anormal. Tu as l'habitude des sirène de la ville, ou même des coups de feux. Les voitures qui klaxonnent ne t'étonnent pas, elles non plus. Qu'est ce qui t'as réveillée donc ? Rien, probablement. Tu soupires de soulagement et te retourne, t'apprêtant à t'endormir quand on frappe quelques coups avec force sur ta porte. « Bordel Deirdre, ouvre cette porte ! » Tu soupires de manière audible à l'entente de la voix de ton frère. Malgré tout, tu n'es pas vraiment surprise. Depuis que ton père t'as mise dehors cinq ans plus tôt, il est le seul de ta famille avec lequel tu as encore des liens. En cachette, certes, mais c'est déjà ça. Quand tu as quitté Austin, deux ans après avoir convolé avec lui, Eden a été celui qui t'a aidé à trouver un appartement, il t'a aussi remotivé pour que tu reprennes les études. Vêtue d'une simple culotte, tu décide tout de même d'enfiler un tee-shirt avant d'aller ouvrir la porte. « Kessya ? » Sans te laisser la chance de l'inviter à entrer, ton frère se précipite dans ton appartement miteux, et se met à attraper tes vêtements par paquet pour les fourrer dans le premier sac qui lui tombe sous la main. « Tu fais quoi Ed ? Eh mais laisse ça ! » « On a pas beaucoup de temps Dee, il faut qu'on parte d'ici ! » Sa voix grave et son air paniqué t'interloquent. Qu'y a t-il de si urgent ? « Il est quelle heure ? » Tu regardes ton frère quelques seconde avant de regarder rapidement la couleur du ciel par la fenêtre. Il fait déjà nuit noire. « Merde, merde, MERDE ! » Sans un regard de plus pour Eden, tu attrapes une mini jupe sur le sol et te tortille pour l'enfiler, en même temps qu'une paire de talons compensés. Tu attrapes un soutient gorge dans un de tes tiroirs, et sans te soucier de la présence masculine dans la pièce l'enfile, pour passer par dessus un débardeur, avant de foncer dans la salle de bain. « Deirdre, tu m'écoutes ou quoi ? » « Désolée, j'ai pas le temps, j'aurais du être dehors depuis au moins une heure déjà ! Les filles vont me piquer tout les bons clients ! » Ca fait trois ans que tu te prostitues, sans grande honte. Après tout, tu es une pute, non ? C'est bien ce que ton père t'as dit ? Tu entends Eden grincer des dents pendant que tu te met une couche honorable de rouge à lèvres et arrange ta tignasse rousse. Il est derrière toi avant que tu t'en rendes comptes, et te retourne vers lui pour te prendre par les épaules. « Qu'est ce qui... » « Tais-toi. Ecoute ! » Tu fronces les sourcils mais te tais tout de même, ne reconnaissant pas le comportement de ton frère. Au début, rien ne te parait anormal. Des klaxons, des bavardages, des coups de pistolets, quelques sirènes... Puis, l'étrangeté de la chose te frappe. Les klaxons sont beaucoup plus pressés. Les bavardages ressemblent en fait à des cris. Les coups de pistolets sont bien plus fort et plus présent qu'ordinaire. Quelque chose ne tourne pas rond. Tu regardes Eden. Il a l'air paniqué. Paniqué, mais sûr de lui. « Il faut qu'on s'en aille Dee. Maintenant. » Son ton ne te laisse pas d'autres alternatives. Abasourdie, tu le regardes mettre tout tes effets dans un sac, avant de le suivre docilement vers l'extérieur. Arrivée à la sortie de l'immeuble, tu le vois sortir une arme de son jean, et pousse un petit cri. « Eden, qu'est ce que c'est que ça ? Pourquoi t'as une arme ? Explique moi. Tout de suite ! » Il ne répond pas, comme s'il ne t'écoutait même pas, et te tire par le bras. Dehors, c'est le vrai carnage. Tu ne reconnais plus ton quartier. Il est désert, mais comme rempli à la fois. A quelques mètres devant toi, tu entends un cris, et remarque une de tes "collègues", Pixie, étalée sur le sol, entourée de ce qui te semble être trois autres personnes. Etrangement, elles semblent... vides. Tu ne comprends pas vraiment. Tu comprends encore moins lorsque tu les vois se jeter sur Pixie, et mordre dans sa chair à pleines dents, sous ses cris de douleur et d'effrois. Ils sont en train de la dévorer. Une nausée s'empare de toi. Tu ne sens plus ton corps. Jusqu'à ce qu'Eden te pousse dans sa voiture, et démarre en trombe. Tu vois des créatures du même genre longtemps encore, mais ce n'est qu'à la sortie de la ville que tu reprends possession de ton corps. Tu remarques qu'Eden t'a mis sa veste sur les épaules, mais que malgré ça, tu grelottes. « Qu'est ce... C'était quoi ces choses ? » Tu ne reconnais même pas ta propre voix. Ton frère te jette un coup d'oeil, l'air de jauger si tu es assez forte pour ses mots ou non. « Des zombies. » Tu aimerais rire. Tu aimerais te moquer de la blague de ton frère, mais l'image de Pixie se faisant dévorer te reviens à l'esprit, plus vive que jamais. Tu regardes ton frère, qui pince les lèvres, avec la nette impression que ton cerveau est en train de se vider de toute substance. « Je sais pas vraiment comment ça a commencé, mais ils sont partout. J'ai du en tuer une cinquantaine pour venir te chercher, j'ai... » Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que tu tombais dans les pommes. A ton réveil, le soleil commençait à peine à se lever, et vous étiez toujours sur la route. Tu te frottes les yeux, et te questionne quelques minutes sur la raison de ta présence dans une voiture avec ton frère sur les plus petites routes du pays quand l'horreur dont tu as été témoins te reviens en mémoire. Tu fermes les yeux, essayant d'effacer cette image, ces cris, de ton cerveau. Tu sens les yeux bleus de ton frère sur toi. « Papa est mort, tu sais. » La surprise te fais le regarder. Il a l'air fatigué, comme s'il n'avait pas dormis depuis des jours, chose que tu n'avais pas remarqué jusque là. Il est très pâle aussi. Et ses yeux sont emplis de douleur et de peine. Silencieuse, tu poses une main sur sa joue, doucement. « Arrête la voiture, Eden. » Pour la première fois, il t'écoute, et se gare. Tu en profites pour sortir de la voiture, et faire le tour jusqu'à sa portière, que tu l'invites à ouvrir. Lorsqu'il sort, tu le prends dans tes bras, et lui caresse les cheveux tandis qu'il pleure sur ton épaule. C'est la première fois de ta vie que tu le vois pleurer. Jamais, même pas lors de l'enterrement de votre mère, la mort de votre chien, ou la perte de sa peluche préférée, jamais il n'a versé une larme. Et là, elles sont toutes pour votre père. Vous restez là un moment, seuls, jusqu'à ce qu'il se mette à renifler. Là, tu lui prends son arme, et le pousse vers la portière passager. C'est toi la grande soeur. C'est à toi de prendre soin de lui, et non pas l'inverse. Lorsque tu t'installe au volant, tu as l'impression que le monde reprends tout son sens. Tout est à sa place, zombis exceptés. Tu soupires, et jette un oeil à ton frère. « Alors co-pilote, où est-ce qu'on va maintenant que l'humanité est en perdition ? » Il sourit un peu, ou te fais une grimace. Tu ne sais pas vraiment. « Je pensais qu'on pouvait aller voir si la ferme d'oncle Tom était toujours debout... » Tu soupires. Oncle Tom, celui qui a répété à la famille entière pendant plus de cinq ans que ça ne l'étonnait pas que tu sois devenue prostituée, le macho de première. Mais le souvenir des larmes de ton petit frère t'empêche de faire un quelconque commentaire. Si c'est ce qu'il veut... « Cap sur le Texas, alors ! »




Eden et Deirdre sont très proches, et ont une relation fusionnelle. Entre eux, il n'y a aucun tabou, ils sont au courant des moindres secrets de l'autre, et partagent tout. Leur amour est si puissant que rien ne pourrait les séparer. C'est du moins ce qu'ils pensent.

(c) Darjeeling, Sugar Slaughter, money honey, MARISSA.



Dernière édition par A. Deirdre Saint-James le Mar 22 Mai - 17:04, édité 1 fois
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(m) sebastian stan - je ne te détesterais jamais autant que je t'aime. _
MessageSujet: Re: (m) sebastian stan - je ne te détesterais jamais autant que je t'aime.   (m) sebastian stan - je ne te détesterais jamais autant que je t'aime. EmptyMar 22 Mai - 17:03

bonjour, bonsoir !


Déjà, un grand merci à toi pour t'intéresser à mon scénario, il est très important pour le développement de Deirdre ♥ Je tiens déjà à prévenir que je construirais un temple en l'honneur de celui ou celle qui prendra Eden, et que je le vénèrerais comme un Dieu ! Ensuite, pour le scénario en lui-même, j'ai quelques réclamations (rien de bien méchant). D'abord, je demanderai quelqu'un d'actif, pas un membre fantôme autrement dit. J'ai la très mauvaise expérience d'un scénario prit exactement 9 fois de suite, sans jamais qu'aucune de ces 9 personnes ne finissent leur fiche. Pas de ça avec Eden, s'il vous plait ! En ce qui concerne l'avatar, il est négociable avec Jake Abel ou Luke Grimes si Sebastian ne vous va vraiment pas, ce qui serait dur à croire (Mad Hatter ♥). L'histoire et le nom de famille ne sont évidemment pas négociables, même si je veux bien admettre que le prénom n'aille pas à tout le monde, vous pouvez donc en changer à votre guise. Pour ce qui est du lien, il est bien sûr, évolutif. A voir avec la personne qui prendra le scénario, donc, comment nos deux petits peuvent bouger les choses !
Merci beaucoup d'avoir lu !
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