prénom ✄ Clara-Faustine Juliet. nom ✄ Smith. âge ✄ 15 ans. sexe ✄ Féminin. nationalité ✄ Américaine. origines ✄ Texanes. votre métier avant que tout cela ne commence ✄ Collégienne. qualités ✄ Vivante, futée, curieuse, débrouillarde, drôle et courageuse. défauts ✄ Têtue, curieuse, impatiente, sensible. groupe ✄ Dealing with hell on earth.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ Déjà, je ne comprends pas mon enthousiasme à l'idée de sortir en dehors de la zone sécurisée ce matin-là. Mon père m'a toujours mise en garde qui plus est. Mais je n'écoute jamais rien ; je suis bien trop têtue. Je suis allée à la rencontre de mon ami afin de lui proposer une petite virée dès les premières lueurs du soleil. Il ne semblait pas très enchanté mais après avoir supplié, j'ai fini par obtenir ce que je voulais. Nous sommes donc partis. Tout se passait bien jusqu'au moment où un zombie nous est tombé dessus. Il s'en est pris à mon ami qui a succombé à ses blessures. Sous le choc, je me suis mise à courir direction la zone sécurisée. Puis j'ai réalisé. Je me suis arrêtée, j'ai fait marche arrière et j'ai tiré sur le zombie qui s'en était pris à nous. Il s'est effondré. Puis, je me suis assise sur un rocher en attendant le moment fatidique. & ce qui devait arriver, arriva. Mon ami se réveilla légèrement différent. Je n'avais qu'une seule solution : le tuer. C'est donc la solution que j'ai adopté. Une fois certaine que tout était terminé, je suis rentrée. Il me fallait maintenant affronter les autres.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Il m'est arrivé de marcher pendant quatre jours sans avoir besoin de me reposer beaucoup. J'étais avec mon père et il m'aidait bien évidemment à avancer en cas de fatigue mais je dois dire que pour mon âge, je me suis surpassée. Cependant, ce n'était que de la marche. Courir représente tout autre chose. Je ne suis pas certaine de tenir bien longtemps. Si je dois courir pour sauver ma vie, je pense pouvoir tenir quelques heures. Pas plus. Mais uniquement poussée par l'envie de m'en sortir.

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Je ne pourrais pas réellement répondre à cette question. Si je suis certaine que la personne est en vie, je pense que j'en serai capable en effet. Après, je ne prends jamais de risque inutile. C'est une règle que me demande de respecter mon père. Prenons l'exemple de mes amis. Sont-ils encore à New-York ? Sont-ils vivants ? Je n'en sais rien. Alors je préfère ne pas traverser à nouveau cette ville infestée de zombies pour constater que prier pour eux ne servait à rien. Je ne suis pas une lâche mais je suis prudente.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Mon père possède des armes. Je n'ai encore jamais essayé de m'en servir car nous n'avons pas été en sécurité assez longtemps pour avoir le temps de voir cela ensemble. Je pense que si je devais en utiliser une toutefois, je le ferai. Ce n'est pas quelque chose qui m'effraie. Et je pense que mon entraînement aura lieu d'ici peu.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ J'ai toujours été une jeune fille sociable. Au collège, j'avais beaucoup d'amis et je ne suis pas du genre à refuser l'amitié de quelqu'un. Je m'adapte à toutes les situations et je vais très facilement vers les individus afin de parler ou de proposer mon aide. Quant à la notion de partage, aucun problème. Mes parents m'ont élevé ainsi et je suis de ce fait très généreuse. Nous verrons cependant comment les choses évoluent ici. Je préfère me faire ma propre opinion avant.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Je ne sais pas, dans un endroit sûr ? Lorsque j'ai vu des zombies pour la première fois à New-York, je suis partie me réfugier au collège. Les professeurs et les élèves présents ont dressé un périmètre de sécurité que nous étions prêts à défendre. Si les choses devaient recommencer prochainement, je ferai de même. Je trouverai un endroit où je suis certaine que le danger ne rôde pas et je placerai des pièges pour arrêter les créatures.

Vous venez de trouver une place où vous cacher, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Je reste cachée et je ne bouge pas, quelle question ! Je m'assure qu'aucun danger ne pourrait mettre en péril ma sécurité et je surveille les endroits par lesquels les monstres pourraient entrer. Après je ne sais car cette situation ne m'est jamais arrivée. Nous verrons bien.

pseudo ✄ Liquorice wand. prénom ✄ Chloé. age ✄ 23 ans. pays ✄ France. sexe ✄ Féminin. comment es-tu arrivé ici ? ✄ Vous avez deux personnes que je connais & que j'aime dans votre staff (aa) . Puis TWD quoi, ça déchire sa race. que penses tu du forum ? ✄ Je le déteste et c'est pour ça que je suis inscrite, hihi. avatar ✄ Chloe Grace Moretz. personnage inventé ou scénario ? ✄ Scénario. un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ ZOMBIE ZOMBIE ZOMBIE IE IE IE.

La vie que j'ai toujours connu a disparu. Désormais, le monde n'est plus. Il ne reste que le souvenir amer de ce que nous avons tous vécu et même si nous nous devons d'avancer, la route n'en reste pas moins difficile. Je n'oublierai jamais qui je suis. Enfin, qui j'étais. La fille chérie de Thomas et Meredith Smith. La seule et l'unique. Je suis née au Texas il y a de cela quinze années. Mais si vous voulez tout savoir, je n'ai aucun réel souvenir de ma ville natale. Mes parents ont déménagé à New-York alors que je n'avais que deux ans et c'est à Manhattan que j'ai grandi. C'est à Manhattan que j'ai connu l'amitié, l'amour et toutes ces émotions que je me dois d'oublier aujourd'hui. J'allais en école publique et même si ma mère me promettait un avenir glorieux dans les meilleures universités des Etats-Unis, je n'avais pas à me plaindre. J'aimais mon école. Lorsque j'avais cinq ans, j'ai fait la connaissance de la jeune Eurydice Henderson. Nous avions le même âge et sommes de suite devenues inséparables. Il est vrai que j'étais une petite fille sociable et souriante et même si j'avais de nombreux amis, Eurydice en restait la meilleure. Je pouvais lui confier mes peines, mes joies et elle faisait de même. Mes parents aussi l'appréciaient énormément. Je me rappelle qu'elle venait parfois dormir à la maison le week-end et que mon père nous préparait un excellent petit déjeuner le dimanche matin, comme il le faisait si bien. Il m'arrivait également d'aller chez elle lorsque je promettais à mes parents d'avoir terminé mes devoirs. Ah, ces instants gravés à jamais dans ma mémoire. Qu'en reste-t-il aujourd'hui ? Certainement rien. Mais je reste fière de ce passé ; fière de ma vie aux côtés de ces personnes qui ont tant compté pour moi et qui seront toujours là.

Je me souviens également des petits rituels que j'avais avec mon père. Je souhaite partager ces moments de bonheur avec vous alors que plus rien ne compte aujourd'hui. Nous avons toujours été très proches. Sans doute parce que je n'avais ni frère et ni soeur. & même si j'en avais eu, je pense que j'aurais toujours eu cette relation privilégiée avec lui. Mon père a toujours été un modèle pour moi. C'est un homme brave et courageux, prêt à faire tous les sacrifices du monde pour sauver les personnes qu'il aime. C'est également mon héros. Il m'a tout appris. Comment choisir les meilleures viennoiseries de la pâtisserie à deux pâtés de maisons de notre appartement par exemple car oui, il faut savoir apprécier les petites choses qui semblent sans importance ou encore comment monter une tente ou pêcher. Nous avions l'habitude de faire du camping tous les deux. Tous les étés, nous laissions ma mère pendant deux semaines et nous partions tous les deux dans la région des grands lacs. J'attendais les grandes vacances avec impatience. Nous nous y prenions des semaines à l'avance. Nous aimions prévoir notre planning, faire nos courses et parler de nos virées des années précédentes qui avaient été si parfaites. Je me rappelle encore de nos deux dernières semaines de camping avant que la fin du monde n'approche. J'ai cette image de nous deux, des morceaux de bois sur lesquels étaient plantés des chamallows dans les mains et attendant que le feu nous donne cette nourriture divine et calorique que nous aimions tant. « C'est le paradis, hein papa ? ». Il semblait heureux de pouvoir partager ce moment avec moi. Et à l'époque, nous pensions que cela allait durer encore quelques années avant que je quitte la maison pour aller à l'université. Il avait sourit et m'avait fait un clin d'oeil. « Tu as raison ma puce, le paradis. Oh, nos chamallows sont prêts ! ». « Miam, bon appétit ! ». Puis lorsque nous avions terminé, mon père me racontait comme chaque soir avant que nous filions nous la tente pour nous reposer un peu, des histoires de son enfance. Je connaissais certaines anecdotes par coeur mais j'adorais que mon père les raconte encore et encore. Je ne m'en lassais jamais. Je m'endormais ainsi la tête remplie de souvenirs de ses jeunes années et je me sentais plus proche de lui à chaque fois. Mon père, cet homme que j'aimais si fort.

« Dis-moi la vérité, je suis trop jeune pour lui, c'est ça ? ». Ma meilleure amie soupira. Comme à chaque fois que je lui parlais de son frère dont j'étais terriblement amoureuse. « Je ne sais pas. Tu peux lui poser la question ». J'étouffai un petit rire. Nous étions en cours de mathématiques et je préférais rêver d'un garçon de deux ans mon aîné plutôt que de faire mes exercices. « Tu es folle ! Je ne peux pas. Il ne doit pas savoir ». « Si tu le dis ». Ce qu'elle pouvait m'énerver parfois. Je pouvais comprendre que de parler de cela avec elle la rendait mal à l'aise mais elle était ma meilleure amie après tout. Elle se devait de me donner des conseils. « Eurydice, allez … ». Elle me jeta un regard noir. « Je vous dérange, mesdemoiselles ? ». Notre professeur de mathématiques. Je pinçai les lèvres. Nous nous excusâmes et je plongeai à nouveau la tête dans mes exercices. Mais j'avais du mal à me concentrer. Heureusement, le cours se termina rapidement annonçant la fin de ma journée. Il était temps ! J'attrapai mes affaires et sortis de la salle. Eurydice me rejoignit rapidement et toutes deux nous dirigeâmes vers l'entrée du collège. Son frère nous attendait déjà ; mon coeur eut un raté. Il venait nous chercher tous les jours afin de faire le chemin du retour avec nous. Sa soeur et lui étaient proches et il me connaissait depuis de nombreuses années. Mais me voyait-il simplement comme la meilleure amie de sa soeur ? C'était bien le problème. Il m'adressa un sourire qui me retourna l'estomac. « Bien votre journée, les filles ? ». Nous échangeâmes quelques mots sur le chemin à propos de nos cours et de nos professeurs. Rien de plus. En réalité, j'étais plutôt étonnée de voir les rues si bondées en cette fin d'après-midi. Je me rapprochai du frère de ma meilleure amie qui s'était placé entre nous. Puis, se fut l'élément déclencheur. Des hurlements, des courses folles entre plusieurs habitants, certains essayant d'échapper à d'autres. « C'est quoi ce délire ? », dis-je. Puis, un homme s'accrocha à moi ce qui me fit hurler. Il avait une morsure dans le cou. Il semblait sur le point de s'évanouir. « Dégagez, les gosses ! Réfugiez-vous quelque part et vite ! ». Merde. La maison était trop loin et celle de mes amis également. Le collège ? Nous adoptâmes cette idée bien rapidement. Les rues étaient devenues dangereuses et il nous fallait courir. En cinq minutes, nous fûmes à nouveau devant les portes du bâtiments. Apparemment, d'autres avaient eu la même idée. Un professeur nous fit entrer dans l'enceinte de l'école et ferma les portes définitivement. « Attendez ! Et si d'autres veulent trouver refuge ici ? ». Nous ne pouvions pas laisser les portes closes si des personnes étaient perdues dehors avec ces monstres qui avaient pris possession des corps. « Je ne peux pas prendre de risques. Entrez et cachez-vous dans une salle de classe. Certains sont déjà au premier. Vite ! ». Je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait. Mais pas la peine de traîner ; oh non.

La suite, la voici. Mon père eut l'excellente idée de venir nous chercher au collège. Sans doute ne m'avait-il pas trouvé à la maison et avait donc pensé que j'étais restée cachée quelque part. Lorsque je le vis par la fenêtre du premier étage, je plaquai mes mains contre la vitre. Un professeur lança un objet lourd sur les deux monstres qui se trouvaient en face de mon père et ce dernier tira. « PAPA ! », hurlais-je. Il m'entendit et releva la tête vers le premier étage. Son visage s'illumina lorsqu'il me vit. Il nous rejoignit en haut. Je me dirigeai immédiatement vers lui, laissant mes amis. « J'allais rentrer à la maison … Mais quand j'ai vu le bordel, je suis revenue, je savais que l'appart' était trop loin ! ». Il m'enlaça. Je n'avais plus peur désormais. Il était là pour veiller sur moi. Cependant, il était seul. Où était ma mère ? Il comprit tout de suite le problème et m'attira à l'écart. Il m'expliqua qu'elle n'avait pas survécu. Je déglutis. « Non, ce n'est pas possible … ». Je laissai aller ma peine pendant plusieurs minutes. J'avais perdu ma mère. Mais il me fallait maintenant penser à l'avenir. Où aller ? Comment ? Je séchai mes larmes et nous nous concentrâmes sur ce qui allait se passer ensuite. Je ne pouvais pas laisser mes amis ici. Il nous fallait les raccompagner. Pouvaient-ils venir avec nous ? Ils avaient également leurs parents, leur famille. Nous les raccompagnâmes à leur appartement situé non loin du nôtre. Mon père était tendu et m'avertit qu'au moindre problème, il foncerait. Nous ne pouvions pas nous permettre de les attendre si quelque chose tournait mal en bas alors qu'ils étaient en sécurité chez eux. Mais l'étaient-ils réellement ? Malheureusement, nous fûmes forcés de partir sans mes amis. La rue se remplissait d'hommes et de femmes qui ressemblaient à ces zombies que l'on voit dans les films. En larmes, les deux mains sur la vitre de la voiture, je priai. J'espérais que ma meilleure amie et son frère nous retrouveraient rapidement et que tout irait bien pour eux. Ils ne pouvaient pas mourir.

Depuis, que faisons-nous ? Nous fuyons tout simplement. Nous sommes partis de New-York car ce n'était plus vraiment un endroit sûr. Mais je ne peux m'empêcher d'avoir des remords en ce qui concerne mes amis. Je n'ai jamais voulu les abandonner et je suis certaine que mon père non plus mais nous n'avions plus le choix. Sont-ils en vie ? Ont-ils pu quitter la ville ? Des questions qui resteront sans doute sans réponse. Mais j'espère très sincèrement qu'ils prendront la même direction que nous et que nous pourrons nous revoir très bientôt. Mon père me demande de ne pas trop y croire car il ne veut pas que je sois déçue ou anéantie par leur mort. Mais je ne peux pas faire autrement que d'espérer les retrouver. Ils sont plus forts qu'ils ne le paraissent. Et comme nous, ils sont deux. Cela peut s'avérer être un sacré avantage. Quant à moi, je tente de ne pas trop penser à ma mère car son absence est encore très douloureuse. Je sais que mon père a beaucoup de mal à s'en remettre également mais le monde que nous avons connu est terminé. Il nous faut survivre, penser aux mois qui vont arriver. Heureusement que nous pouvons compter sur les bons plans du paternel. Nous ne restons jamais au même endroit bien longtemps. C'est une règle que je me dois de respecter au cas il ne serait plus là. « Si jamais quelque chose devait m'arriver, continue comme je te l'ai appris. Installe-toi dans un endroit seulement si tu es certaine qu'aucun danger ne viendra mettre en péril ta sécurité ». Mais je ne peux pas me résoudre à penser à cela. Si mon père n'était plus, je ne tarderai pas à le rejoindre. Sans lui, je ne suis rien. Je sais pêcher et monter une tente mais quoi de plus ? Se sont des choses bien inutiles désormais. Aujourd'hui, il nous faut habiter des chambres d'hôtels dévastées ou encore des maisons abandonnées. Nous devons nous nourrir aussi en pillant dans les supermarchés. De toute manière, pour qui cela a-t-il de l'importance ? L'humanité n'est plus. Enfin pour nous déplacer, il ne reste qu'à voler les voitures. Mon père le fait très bien. Et même si ce dernier se sent mal à l'aise car c'est en total désaccord avec son métier de policier, nous n'avons pas le choix. Je suis fière qu'il sache faire tout ça sans craquer. Mais je crois que ma sécurité est tout ce qui l'importe. Même si nous devons dépasser nos limites parfois. J'ai bien cru y rester plusieurs fois surtout lorsque nous avons du marcher sur l'autoroute pendant quatre jours. Aucun moyen de transport, tous étant bloqués et abandonnés. Impossible de circuler. Mais à force de marcher en plein soleil, j'ai fini par me tuer à petit feu. Epuisée et complètement déshydratée. Finalement, nous avons trouvé un 4X4 et la route étant dégagée, mon père a pu conduire l'engin. Je pouvais reprendre mes esprits. Et à force de conduire et de suivre les routes, nous sommes tombés sur Brazoria. Mais le chemin ne s'arrêtait pas là. De nombreuses épreuves nous attendaient encore. « Tu crois que nous allons survivre ? », demandais-je alors que nous marchions une fois de plus. Mon père s'arrêta et posa ses larges mains sur mes épaules frêles. Il soupira et prit une grande inspiration. « Il le faut. Nous allons finir par tomber sur des survivants et nous serons bientôt en sécurité quelque part. Tu veux que je porte ton sac à dos ? ». Ce n'était pas de refus. Mon père m'enlaça et nous reprîmes notre route. Comme survivre était difficile. Mais il ne fallait pas perdre espoir.