prénom ✄ Alexander. nom ✄ Blackburn. âge ✄ vingt-huit ans. sexe ✄ masculin. nationalité ✄ américaine. origines ✄ irlandaises. votre métier avant que tout cela ne commence ✄ garagiste. qualités ✄ inébranlable, confiant, entreprenant, sérieux, habile, intelligent, généreux, aimable (enfin beaucoup moins ces derniers temps), sportif, volontaire, altruiste. défauts ✄ colérique, possède un complexe d'infériorité, solitaire, suiveur, m'en-foutiste. groupe ✄ dealing with hell on earth.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisée un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamné(e) que faites-vous ? ✄ Tout d'abord un long combat intérieur s'engagerait ; peut-il encore être sauvé ? Mais malheureusement Alexander en connaîtrait déjà la réponse et il faut se rendre à l'évidence : afin que le nombre des zombies ne s'agrandisse pas de manière trop exponentielle, il faut remédier à la situation, et supprimer le cadavre ambulant. Et ce, même si cette personne était quelqu'un de cher. Plus de place pour les sentiments désormais, la survie requiert un sang-froid inébranlable et il en faudra certainement un paquet pour massacrer sans pitié le corps vide de vie de cet(te) ami(e). Mais ce qui doit être fait sera fait.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ L'endurance n'a jamais vraiment été le fort d'Alexander... Pour tout vous dire la course à pied tout court n'a jamais été vraiment son fort. Depuis tout petit il a toujours détesté cela et les cours d'athlétisme étaient un véritable cauchemar pour lui. Et vous savez pourquoi ? Le pauvre garçon est asthmatique. Ouais, pas de chance hein ? Lui, c'est le sprint qui lui convient. Assez pratique dans quelques situations isolées, mais soyons honnête, le meilleur serait de pouvoir marier endurance et vitesse. À une cadence soutenue, disons qu'il pourrait courir environ un quart d'heure sans s'arrêter, mais au bout d'un moment il se mettrait tout simplement à cracher ses poumons.

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Faudrait-il qu'un être qu'il aime soit encore en vie... Mais dans l'hypothèse où tel serait le cas, bien évidemment que oui. Bien qu'il n'ai plus d'espoir pour la survie de l'humanité -franchement, c'est grave mal parti nan ?- les rares choses qui le font se lever encore est le fait qu'il ne soit pas seul. Alors s'il n'était pas prêt à mourir pour un être aimé, pour qui et quoi serait-il prêt à mourir ? Car une courte vie vécue sans regrets vaut dix fois mieux qu'une longue vie de solitude et de remords.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Le problème dans la situation présente est que justement Alexander n'a absolument jamais manié d'armes. Et pour tout vous dire, il les a toujours détesté. En effet il a toujours pensé que son pays était assez arriéré en ce qui concernait sa position sur les armes, car les statistique et l'Histoire ont toujours démontré qu'un État dans lequel le port d'armes était légal avait toujours un plus fort taux de violence et de meurtres. Il a donc toujours refusé d'approcher de ce genre de choses. Quant aux armes blanches, c'est la même chose, d'autant plus qu'il a toujours du mal avec la vue du sang -pratique en ce moment n'est-ce-pas ? Après étant donné les circonstances il a bien évidemment dû s'adapter et donc il a touché une arme pour la première fois de sa vie il y a guère longtemps, lui laissant tout de même un arrière-goût dans la bouche. Lui qui avait toujours été pacifiste se voyait obligé de participer à des massacres ; tout en sachant que c'était sa seule manière de survivre. Et puis il se rassure en se rappelant sans cesse que les zombies ne sont plus des humains...

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ En fait Alexander a toujours été une véritable crème. Certains même auraient tendance à dire qu'il n'avait aucune personnalité et qu'il se pliait à tout et n'importe quoi, mais en fait c'est tout simplement qu'il n'aimait absolument pas entrer en conflit avec les gens, et qu'il préférait baisser la tête plutôt que de se risquer à ce que l'on soit désaccord avec lui. En fait il est entré en conflit avec quelqu'un une seule fois dans sa vie, mais cette fois ne fut pas des moindres puisque c'était son père, et qu'il refusait de suivre la voie toute tracée qu'on lui réservait dans la mafia irlandaise. Lui voulait un gagne-pain honnête. Il a même refusé que son père lui paie des études car il ne voulait rien avoir à faire avec l'argent sale familial. Quitte à rester au bas de l'échelle sociale. Ceci dit depuis la mort de son frère aîné, le jeune homme est très en colère, contre lui, contre le monde entier. Et il en résulte ainsi qu'il a des accès de colère et qu'il envoie souvent ch*er les gens autour de lui. Sinon, en général il partage tout, quitte à se priver pour les autres -mais en faisant comme si de rien n'était.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Ça dépend de l'apocalypse, mais disons que dans le cas présent, la chose la plus sûre serait d'aller chercher des armes. Et oui, même si Alexander est pacifiste de base, il compte tout de même survivre dans ce monde de fous ! Ahem. Donc il se rendrait certainement dans une armurerie. Ensuite, il chercherait un lieu qui puisse facilement être sécurisé -en mode je me construis un fort quoi- et après tout ça il ferait certainement des raids afin de rechercher de la nourriture et de l'eau (quoique l'eau courante fonctionne encore non ?).

Vous venez de trouver une place où vous cacher, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Comme dit précédemment, Alexander sécuriserait les lieux. Mettant des pièges aux entrées les plus faciles d'accès, gardant en permanence la sortie de derrière qu'il pourrait utiliser en cas de besoin. Ensuite une fois que tout serait en place, il irait chercher des vivres. Et peut être même qu'il irait voir s'il y a d'autres survivants aux alentours. Mais sans tenter le diable bien entendu. La prudence est de mise désormais !

Si un adage devait caractériser la vie de Alexander Noah Blackburn, ce serait très certainement "On ne choisit pas sa famille.". Et ce pour son plus grand malheur. Oh il n'était pas de ces malheureux qui naissaient au sein d'un foyer brisé avec un père alcoolique violent et un mère toxico qui ne s'occupait pas de ses enfants. Non à ce niveau-là le jeune homme était vraiment bien tombé. D'ailleurs lorsqu'il était enfant ses camarades de classe et de jeux de son quartier pauvre lui enviaient cette situation familiale. Sa mère, femme au foyer, s'est toujours occupée de ses enfants, et son père était également très présent. Mais plus que ça, c'était carrément une communauté que les Blackburn formaient, avec tout ce qui s'y approchait de cousins, oncles, grands-parents, du plus proche au plus éloigné. Bien évidemment, Alexander ne comprit que plus tard qu'en fait de famille, c'était plutôt une mafia que tout ce petit monde représentait. Mais sa vie de petit garçon avait toujours été protégée par sa mère, celle-ci voulant que ses deux enfants, la prunelle de ses yeux, grandissent comme tous les autres, et n'aient pas le moindre soupçon sur les activités illégales de leur paternel ; encore moins qu'ils y soient mêlé. C'est vers l'âge de dix ans que le plus jeune Blackburn prit connaissance de la situation, car c'est à cet âge là que l'on commence en général à écouter ce que l'on dit autour de nous. De même qu'il commençait à remarquer des regards, des attitudes et des non-dits tant dans la famille qu'avec leurs voisins ; ses soupçons avaient été confirmés lorsqu'il avait aperçu une arme à feu à la ceinture de son oncle Joe -qui n'avait bien évidemment aucun lien de parenté avec lui. Il avait alors posé la question de but en blanc, et son père lui avait alors tout expliqué dans les détails. C'est une chose qu'il a toujours reconnu à Jack Blackburn d'ailleurs ; il n'avait jamais considéré ses enfants comme des petites choses à protéger de la vérité, encore moins comme des demeurés. Il avait leur avait caché la vérité par omission, mais une fois les soupçons déballés, il avait tout simplement raconté la réalité brute telle qu'elle était. Les Blackburn étaient à la tête de leur quartier pauvre de Dallas depuis deux générations, lors de l'arrivée de l'arrière-grand-père d'Alexander qui n'était alors qu'un pauvre immigré irlandais. Leurs activités illégales avaient commencé par des vols et petits larcins, puis les domaines auxquels ils touchaient s'étaient étendus en même temps que le réseau que les irlandais formaient dans la ville s'était développé. Et aujourd'hui ils régnaient encore sur le quartier. Ce fut un choc pour le petit Alexander, qui ne s'était jamais douté de rien auparavant, et lui qui avait depuis toujours développé un fort sens de la morale et de la justice, tombait de haut. Ce n'était pas tant les vols qui le gênaient, c'était surtout cette loi de la jungle qui régnait dans le milieu, ce mépris pour la vie humaine dont ils faisaient souvent montre. Sa famille le dégoûtait, tout simplement. Et pourtant, il ne pouvait cesser de les aimer. C'est donc très tôt qu'il se promit de ne jamais devenir comme son père et ses oncles, et qu'il ne profiterait jamais de leur argent sali par le sang et les magouilles. Heureusement, il avait son frère aîné Olliver qui était de son côté -bien qu'il ne soit pas aussi scandalisé que lui- et il continua de grandir en suivant son exemple. Restant ainsi dans l'ombre de ce grand frère à qui tout réussissait : il était un leader né, charismatique, charmeur, intelligent... Tout lui réussissait, autant dans les études que dans sa vie amoureuse. Alexander quant à lui était discret voire effacé, n'osait pas trop relever la tête et se contentait de suivre son petit bonhomme de chemin sans faire de vagues. Il était intelligent, mais pas assez pour obtenir une bourse afin de pouvoir poursuivre ses études sans l'argent familial, et donc tandis que Olliver s'élançait à l'université de droit de Dallas, lui se contenta de rechercher ce en quoi il pouvait être doué. Cette période de sa vie fut la cassure entre lui et ses parents qui ne comprenaient absolument pas son choix, et qui se désespéraient de ne pas le voir prendre la suite de l'affaire familiale. Ils restèrent longtemps en froid ; les rares occasions auxquelles ils se voyaient étaient les repas de fêtes pendant lesquels une dispute éclatait forcément, sa mère Eileen finissant obligatoirement en pleurs tandis que son père partait s'enfermer, furieux, dans son bureau. Il fut serveur pendant quelques années, avant de commencer un apprentissage dans un garage. Habile et ayant un esprit qui comprenait presque automatiquement la mécanique, il comprit rapidement qu'il avait enfin trouvé sa voie, et il se démena afin de réussir dans ce domaine qui semblait être le seul dans lequel il était réellement doué. Tout semblait s'arranger dans sa vie, car de leur côté, ses parents semblèrent enfin accepter son choix -Alexander soupçonnait d'ailleurs que le fait que son père ait finalement trouvé un successeur y était fortement pour quelque chose. Mais tout ne pouvait pas continuer de se passer parfaitement dans le meilleur des mondes, n'est-ce-pas ?

Si Alexander avait été croyant, il aurait très certainement crû que ce jour-là, c'était l'apolypse, le jugement dernier pour rétablir le royaume de Dieu sur Terre. Mais il savait très bien qu'il en était tout autre. La première chose à laquelle il pensa fut de téléphoner à son frère, qu'il savait être en ville à ce moment-là. Mais ce dernier ne répondit pas, et donc il se mit en quête d'aller le chercher à la Cour de Justice, où il devait être en train de défendre un client pour un quelconque procès. Heureusement pour lui, son garage n'était qu'à quelques rues, et malgré le chaos qu'il régnait, il réussit à atteindre sa destination sans encombres. Mais arrivé sur place, pas moyen de retrouver Olliver. Paniqué, il décida alors de se retrancher dans son garage. Il y resta cloîtré pendant quelques jours, essayant encore et encore d'avoir son frère au téléphone. Mais il fallait se rendre à l'évidence ; même si les réseaux fonctionnaient encore, il était peu probable que cela continue pendant encore longtemps.
La première fois qu'il vit un zombie, Alexander eut de la chance de s'en sortir. On peut s'en douter, il ne s'attendait absolument pas à cela. C'était comme si ses cauchemars devenaient réalité. La réalité surpassait même de loin ses cauchemars. Comment croire ses yeux ? Il dut d'ailleurs voir une jeune femme succomber aux monstres avant de se convaincre de fuir. Heureusement pour lui il était en voiture à ce moment-là, sillonnant la ville à la recherche de sa famille. À peine quelques heures plus tard, il découvrait les cadavres ambulants de ses parents, et il manqua d'ailleurs de justesse de tomber sous leur attaque. Repartant à pieds, son esprit embrumé par tous les évènements et horreurs qu'il venait de voir, il s'était automatiquement dirigé vers une armurerie qu'il connaissait de nom. Cette dernière, pillée comme beaucoup d'autres magasins de la ville, regorgeait encore de nombreuses armes, et il se décida à en prendre une à contre-cœur. Ceci dit il loua le ciel d'avoir cédé la peur et d'avoir ainsi suivi son instinct de survie, car cette dernière lui fut très précieuse par la suite. Errant à pieds, il se réfugia un soir dans une maison abandonnée. C'est là qu'il rencontra une autre survivante, Auraleen. Au départ effrayé par son arrivée, il lui avait pointé son fusil à canon scié sous le menton, lui criant de ne pas bouger. Une fois son cœur ne menaçant plus de lui ressortir par la poitrine tellement il battait fort, il se contenta de lui crier dessus, apaisant ainsi quelque peu sa peur et sa nervosité. Mais ils se devaient de s'entre-aider, et ils décidèrent ainsi de rester ensemble. Alexander craignait désormais le pire pour son frère aîné, car il n'y avait aucune trace de lui aux endroits qu'il fréquentait habituellement. C'est alors que la lumière se fit : il pouvait très bien être à l'appartement de sa petite-amie ! Mais oui c'était bien ça ! Il se décida alors à tenter d'arriver jusque là-bas, imposant à Auraleen un ultimatum : soit elle venait avec lui, soit il la laissait derrière. Lui argumentant qu'il ne saurait s'en sortir sans elle, elle le suivit... Et pour tout vous dire ne pas être totalement seul le rassura, mais il se garda bien de l'avouer à la jeune femme. En arrivant à l'appartement, Alexander le trouva vide. Enfin c'est ce qu'il croyait. Car il se rendit compte que la porte de la salle de bain était fermée à clef. Il tambourina à la porte de toutes ses forces, appelant son frère et sa petite-amie. La voix qu'il retentit derrière la peur fut celle, vibrante de peur, de cette dernière. Elle apparut presque hystérique derrière la porte, continuant sans cesse de crier « Il va revenir, il va revenir ! ». Ils essayèrent tant bien que mal de la calmer afin qu'elle s'explique plus posément et de manière compréhensible, mais un bruit retentit alors derrière eux. Ce qu'Alexander vit en se retournant faillit lui faire tourner de l'œil. Le zombie qui lui faisait face n'était autre que son frère, et il semblait déterminer à les manger. Le visage ensanglanté et déformé,il n'était plus que l'ombre de ce qu'il avait été. L'instinct de survie du jeune homme revint automatiquement à la surface, et il brandit son pistolet d'une main tremblante. Il entendait les cris d'Auraleen que d'une voix lointaine. Allait-il vraiment faire cela ? Et soudain, le coup de feu parti. Puis un deuxième, puis un troisième. Ils durent s'acharner sur le monstre afin de le maintenir à distance, et tandis qu'il criait à Auraleen de sortir la petite-amie de son frère de l'appartement, il courut dans la cuisine, allumant de le gaz de tous les brûleurs. Il s'enfuit au moment même où le zombie qu'était devenu son frère posait la main sur son épaule, et sa peur lui fit pousser des ailes. L'explosion souffla plusieurs étages quelques minutes plus tard, alors que les trois survivants sortaient à peine de l'immeuble. Une fois à l'abri dans une voiture abandonnée, une forte nausée le prit, et il vomit quelques secondes plus tard par la fenêtre.
Ils décidèrent tous les trois de se diriger vers Brazoria grâce à la voiture dans laquelle ils s'étaient réfugié et que le jeune homme avait réussi à réparer. De tout le trajet, Alexander n'avait pas décoché un mot en rapport à ce qu'il s'était passé, et ils étaient alors arrivé à ce village abandonné. Pour certains il était synonyme d'espoir, pour lui il n'était qu'un lieu en attendant leur mort à tous. Il était décidé à survivre, qu'on se l'entende bien, mais ses espoirs étaient réduits presque à néant, et il n'en n'était que plus insupportable, s'emportant contre les gens, n'ayant cure de dire ce qu'il fallait dire, il se contentait parfois d'appuyer là où ça faisait mal, histoire que les autres souffrent autant que lui. Heureusement ses dons de mécaniciens le mettaient à contribution de la communauté, et même s'il ne l'avouait pas, cela lui faisait du bien de se sentir utile.

pseudo ✄ gold❖dust. prénom ✄ mélissa. age ✄ vingt-et-un ans. pays ✄ France. sexe ✄ féminin. comment es-tu arrivé ici ? ✄ j'avais suivi le projet sur bazzart bien entendu :3. que penses-tu du forum ? ✄ hâte de voir toutes les possibilités qu'il offre !! avatar ✄ JamieSexgodDornan. personnage inventé ou scénario ? ✄ inventé. un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ cookie ? -out-