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 Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !

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Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! _
MessageSujet: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 10:58

Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! Tumblr_m3c8kfomdg1qam2upo1_500
❝ Mattheus Chrichton ❞
prénom ✄ Mattheus nom ✄ Chrichton âge ✄ 21 ans sexe ✄ Masculin nationalité ✄ Américain origines ✄ Texas votre métier avant que tout cela ne commence ✄ Equipier polyvalent McDo qualités ✄ Débrouillard, sociable, énergique, courageux, observateur défauts ✄ Cynique, agaçant, moqueur, impétueux, tête brûlée groupe ✄ Dealing with hell on Earth


Night full of death and some say end of times


Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ Ha ! La réponse est facile voyons, je le tue sans hésitation ! J'imagine que c'est ce qu'il faudrait dire si jamais on voulait assurer sa survie. La réalité est malheureusement bien différente, certes l'instinct de survie reste toujours le plus fort, mais les sentiments suffisent à créer l'hésitation et souvent il n'en faut pas plus pour signer son arrêt de mort. Alors si je serais capable de tuer un ami qui se serait fait mordre ? C'est une situation que je préfère éviter, ce n'est jamais facile, mais si vous voulez une réponse claire et bien oui, je pourrais, mon passé l'a prouvé. Cependant je n'ai été dans cette situation qu'une seule fois, enfin deux mais la première ne compte pas vraiment, j'espère que, si ça devait recommencer, j'aurais la force d'appuyer de nouveau sur la détente, mais je ne préfère pas y penser.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Je n'ai jamais été très sportif, l'endurance n'est pas mon fort, cependant en cas de crise je pense pouvoir dire sans trop m'avancer que je pourrais être capable de courir une dizaine de minutes au mieux (en allant vite, autrement à un rythme normal je peux tenir plus longtemps, environs vingt à trente minutes, mais franchement je préfère jouer la vitesse avec les zombies) avant de devoir prendre une longue, très longue pause. Par contre, autant je suis mauvais pour courir longtemps et surtout de manière répétée, autant en terme de vitesse je suis plutôt bon, ah ça oui ! Je distance sans mal un groupe de zombies ! ... Ou de mecs en colères à l'époque car j'ai été trop entreprenant et eux pas intéressés, mais alors pas du tout ... Bref !

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Haha ! Vous êtes drôle vous ! Déjà qu'à l'époque je n'arrivais pas à trouver l'amour, mais maintenant c'est d'autant plus compliqué, question de statistique. Et puis je ne suis pas du genre à m'attacher autant aux gens, connaissances, amis, attirance physique, autant que vous voulez, mais l'amour ... très peu pour moi ! Enfin bon, imaginons que cela puisse arriver, même si c'est absurde franchement mais bon, imaginons. Et bien dans ce cas je ... j'irais sans hésiter, car si un être arrivait à faire battre mon coeur ainsi je serais prêt à tout donner pour le préserver, même ma vie.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Oh ça on peut dire que j'en ai manié, mon père était un vrai fana de chasse et, pour dire vrai, il a réussit à me transmettre sa passion. D'ailleurs je crois bien que c'est la seule chose que l'on avait vraiment en commun ... Enfin passons ! J'ai donc passé la majeure partie de ma jeunesse dans les bois à manier des carabines, alors si je sais m'en servir, franchement je pourrais même dire que j'étais plutôt bon même si je suis loin d'être un tireur d'élite. Du coup, en voyant la tournure des évènements, avant de partir en vadrouille j'ai emporté l'arme de mon père, sa carabine Winchester M94 Grade S à levier de sous garde. Il comptait me la léguer de toute manière, juste que je n'aurais jamais pensé obtenir mon héritage en lui logeant une balle dans la tête ... Je possède aussi une hache de pompier pour quand je dois passer au corps à corps, lui aussi cadeau de mon père. Sans oublier mon couteau de chasse qui est cette fois un cadeau de moi à moi, bien que je l'utilise plus pour mon quotidien plutôt que pour me défendre.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ Mouai ... m'adapter en société ... vous savez, à l'époque déjà on ne m'aimait pas trop, on me trouvait bizarre, agaçant, chiant, incapable, fainéant. Cependant depuis que notre vie a des airs de Zombieland les gens sont en effet moins difficiles avec moi. Du coup en définitive, ouai, ça va, j'arrive relativement à m'adapter en société, je fais mon possible pour me rendre utile même si c'est pas mon fort (Quoi que les raids j'adore ça !). Pour ce qui est du partage, je suis un partisan du troque, si vous voulez quelque chose donnez moi autre chose qui en vaille la peine. Car après tout, si on se tue, parfois au sens propre, à rassembler des biens on a tout de même le droit d'en faire ce que bon nous semble, non ? Enfin bon, je ne suis pas non plus un salaud, si je vois que quelqu'un a vraiment besoin de nourriture par exemple je partagerais ma ration, il y aura bien un moment où cette personne me le rendra d'une quelconque manière que ce soit. Sachez cependant que de mon côté je n'aurais aucun mal à prendre ce que l'on me donne sans rien donner en retour si on ne me demande pas !

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Le premier endroit où je me rend quand l'apocalypse rempli de zombies dégoulinant commence ? L'armurerie la plus proche et le plus vite possible avant de me faire coiffer au poteau par ceux qui auront eu la même idée que moi. Car oui, je veux bien admettre que se faire des réserves d'eau potable et de nourriture est important, mais sérieusement, il y en a à la pelle de ça, alors que des munitions beaucoup moins et avec les rampants dehors on vient très vite à en manquer. Et puis quand vous regardez tout ces films de zombies c'est la première chose que les protagonistes font, sinon ils se font tuer , c'est aussi la première étape décrite dans mon bouquin sur comment survivre en cas d'invasion de zombies !

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ La première chose à faire quand on trouve une place ou se cacher c'est de vérifier qu'on est bien le seul à s'y cacher pour ne pas servir de burger. Vous l'aurez donc compris, la première chose que je fais c'est vérifier les lieux pour être sûr qu'aucun zombie (ou malade mentale) ne s'y trouve. Une fois cela fait, et pendant que je le fais même, je mémorise toute les sorties possibles en faisant bien attention à ce qu'il y en ai plus d'une dans le cas où je devrais fuir, puis je barricade tout les accès pour être sûr que personne n'entre. Après cela je me fait oublier, pas de lumière, pas de bruit, jusqu'à ce que la situation dehors se calme et que je puisse me déplacer de nouveau.


I'm coming back from the dead and ill take you home.
Mon histoire ... est-ce vraiment nécessaire ? Je n'ai jamais aimé parler de moi. Bon, puisqu'il faut s'y soumettre je veux bien vous faire une fleur, alors écoutez bien car vous n'aurez jamais plus de récit aussi complet de ma vie de ma part. Alors je viens du Texas, Fort Worth pour être plus précis. Né sous l'appellation Mattheus Chrichton, ce prénom me fut donné en hommage au père de ma grand mère paternel, la branche allemande de ma famille parmi une lignée presque exclusivement américaine. Il n'y a pas grand chose d'autre à dire sur ma petite enfance, si ce n'est que je suis le fruit de l'amour entre mes parents, Jeremia Chrichton et Tricia Carter de son nom de jeune fille, mais aussi le déclencheur de leur mariage. Après c'est le topo habituel, j'ai vécu dans l'amour, blabla, je n'avais pas trop à me plaindre de notre niveau de vie, blabla.
Du moins c'était comme ça durant mes quinze premières années, après ça a un peu dérapé, j'ai un peu dérapé plutôt, mais rien de bien nouveau cependant dans une famille. Car oui, je faisais ma crise, je faisais le mur, sortais toute la nuit, devenais irrespectueux envers mes parents, chose normale chez tout adolescent donc. A cela il fallait ajouter que je n'étais pas vraiment un bon élève, je ne faisais rien en classe, je séchais les cours, j'avais de mauvaises notes, pourtant en soit je ne suis pas stupide, bien au contraire, seulement ça m'ennuyait, ce n'était pas pour moi. Mais je crois que le pire c'est quand je leur ai annoncé ma préférence pour les garçons, ma mère à bien failli défaillir, je peux vous dire qu'après ça j'en ai passé des séances chez le psy pour essayer de me convaincre que ce n'était qu'une « passade », enfin heureusement, au bout de deux ans elle a fini par l'accepter. Mon père lui n'a pas vraiment réagit, ça lui faisait ni chaud ni froid, mais il faut dire que depuis un certain temps déjà il était devenu assez indifférent à mon égard, me laissant faire ce que je veux mais ne prenant pas trop de mes nouvelles, d'un côté on avait jamais vraiment rien eu en commun. Il y avait cependant une exception, en effet chaque année il m'emmenait à la chasse, la première fois je voyais cela comme une corvée, mais après avoir eu mon premier gibier je suis devenu accroc, ce côté traque et surtout le maniement des armes à feu, je ne pouvais plus m'en passer. C'était les seul moment où mon père et moi étions vraiment proches. Enfaîte, quand j'y repense, il n'était peut être pas très démonstratif ni papa poule, mais ces petits moments rien qu'à nous étaient amplement suffisants pour faire savoir l'un a l'autre que l'on s'aimait.

Enfin voilà, ceci était le résumé de ma situation familiale globale, c'était pas parfait mais ça me convenait. Mais alors qu'on pense tout connaître de ses proches et qu'il n'y a plus de surprise, c'est à ce moment que le plus impensable arrive. A l'époque je n'y avais pas fait attention, mais je me souvient à présent qu'à plusieurs reprise ma mère avait essayée de me parler de quelque chose, elle attendait que je sois seul, me fixait pendant plusieurs minutes avant de prononcer mon nom. Tout naturellement je portais mon attention sur elle, attendant la suite, puis après un long silence elle finissait par me dire qu'elle m'aimait avant de s'occuper d'autre chose. Au début je pensais que c'était parce qu'elle n'acceptait toujours pas mon homosexualité, donc je ne relevait pas, mais un jour que j'avais besoin d'argent je m'étais mis à fouiller sa chambre à son insu. Je m'en rappel encore, c'était quelques jours après mes 19 ans, j'ouvrais chaque tiroir, regardais sous le lit, ouvrais les placards sans parvenir à trouver sa réserve. Puis finalement je vis un compartiment caché dans son placard, du moins caché, pour un aveugle, c'était la première fois que je fouillais vraiment dedans, enfin bref, curieux que j'étais je l'ouvris et y trouva une petite boite en métal. Dans ma tête je me dis immédiatement bingo ! Que j'avais trouvé son coffre secret que je m'empressais d'ouvrir mais ce ne fut que déception bien vite suivit par de la surprise avant de devenir un véritable choc. En effet, la boite était pleine de photos d'elle avec un bébé dans les bras, bébé que je pensais être moi au début, mais à bien y regarder ça ne collait pas, premièrement je ne me souvenais pas de ces photos, de plus je ne ressemblais pas à ça, sans compter que ma mère était bien trop jeune sur ces photos, et puis ce n'était pas un bébé mais deux différents, au fond de la boite se trouvait aussi deux bracelets de maternité, ceux qu'on met autour des poignets des bambins, ceux de deux petites filles. Je n'y comprenais rien, je me laissais tomber sur le bord du lit, la boite sur les genoux, tentant de reconstituer le puzzle alors que les idées se bousculaient dans ma tête. La porte de la chambre s'ouvrit d'un coup, c'était ma mère qui poussa un cri quand elle vit ce que j'avais dans les mains. Surpris je m'étais levé d'un coup, faisant tomber la petite boite et tout son contenu sur le sol alors que je fixais ma génitrice avec un regard complètement perdu. Elle me dit qu'elle pouvait tout m'expliquer, qu'elle avait essayée de m'en parler, mais je ne comprenais rien, enfaîte je crois que je ne voulais pas comprendre. Elle m'expliqua que je n'étais pas son premier enfant, que mon père n'était pas le premier qu'elle avait aimée, qu'elle avait déjà fait sa vie, fondée une famille, mais qu'elle n'avait pas tenu le choc, qu'elle se trouvait trop jeune pour cette vie là et qu'elle était partit avant de plus tard, quand elle se sentit prête, refaire sa vie. Elle me répéta que si elle avait gardée tout cela c'était parce qu'elle se sentait coupable de les avoir abandonnée, mais qu'avec moi c'était différent, qu'elle serait toujours là. Finalement, c'était assez bête quand j'y repense, ce n'était pas grand chose, mais ce jour là ça me fit péter un plomb, je me mis à hurler, je n'acceptais pas le fait d'avoir des demi-soeurs, qu'elle ait pu faire sa vie avec d'autres que mon père et moi, déjà qu'avec elle j'avais une relation difficile. Dans la colère je finis par la bousculer et prendre la fuite. J'étais tellement aveuglé par la colère que je ne fis pas attention a ce qui m'entourait, me faisant renverser par une voiture et terminant à l'hôpital. Une large cicatrice partant de mon épaule gauche et descendant dans mon dos me rappel sans cesse ce soir là, la douleur se faisant parfois toujours présente et me laissant un goût amer vis à vis de cette révélation.

Six mois avait passés depuis que j'avais appris l'existence de mes soeurs, mes demi-soeurs. Déjà que ça m'avait perturbé à l'époque, j'avais préféré m'enterrer la tête comme une autruche, évitant minutieusement le sujet avec ma mère. Cependant ma curiosité fut la plus forte, durant cette année je finis donc par faire des recherches sur internet afin d'en savoir un peu plus, me servant des noms lu sur les bracelets ainsi que du nom de jeune fille de ma génitrice. J'avais finalement retrouvé leur trace et ce que je vis me déstabilisa encore plus que quand je découvris leur existence : elles vivaient à Fort Worth, à seulement une heure de là où j'habitais. Mon épaule me fit atrocement souffrir en découvrant cela, comme ci cette nouvelle avait déclenchée la douleur. Je ne savais pas vraiment quoi faire, mais après une semaine à me tourner les pouces j'avais fini par me rendre devant chez elles. Je voulais vraiment leur parler, essayer d'en savoir plus, mais j'étais terrifié, je n'arrivais pas à me convaincre d'aller sonner et d'engager la conversation. D'un côté, qu'aurais-je pu dire ? Bonjour, je suis votre demi-frère caché, Vous savez, l'autre fils de la mère qui vous a abandonnée ! Je ne crois pas non. Finalement je l'aperçu, la plus grande des deux, sa chevelure rousse étincelant sous le soleil. Elle ne m'avait pas vu, je préférais rester loin et l'observer discrètement. Finalement je suis rentré chez moi, me promettant que la prochaine fois j'irais la voir, puis le même manège recommençait encore et encore, je restais à l'écart, l'observant, mais jamais ne l'abordant. C'était finalement devenu une habitude, même si je restais dans l'ombre ça me faisait du bien de les voir car au final, elles étaient ma famille, même si elles n'en savaient rien.

Je devais avoir 20 ans le jour où tout a commencé, peut être un peu avant, je ne me souviens plus exactement. J'étais tranquillement sur mon lieu de travail au McDo près de chez moi, m'occupant de faire les frites. C'était le soir, on s'occupait de la close donc on était plus beaucoup. Ignorant le règlement j'écoutais de la musique avec mon téléphone, mais comme c'était la dernière fournée les managers me laissaient parfois faire. Je sentis soudain une présence dans mon dos, puis une main se poser sur mon épaule, j'étais certain qu'il s'agissait de Gabriel, cela faisait un moment déjà qu'on se cherchait et même si il ne voulait pas l'avouer j'étais sûr qu'il était complètement mordu de moi, mais à ce moment là je ne me rendais pas compte à quel point j'avais raison. Me retournant, près à lui voler un baiser, voilà que je le voyait le bras ensanglanté, sa bouche pleine de sang elle aussi et manquant de me décocher un coup de dent dans la nuque. Dans un hurlement je me décalais et le poussa légèrement, sa tête se prenant le mur de plein fouet, le faisant rebondir et s'écrouler en arrière (mouvement qui était devenu un réflexe pour moi quand des homophobes voulaient me donner un coup de boule). Mon coeur battait à cent à l'heure, j'étais terrifié. Je le voyais se relever lentement, poussant des grognements bestial, le crane à moitié ouvert avant de se jeter une nouvelle fois sur moi. Pas une, pas deux, j'attrapais une des panières à frite, la sortant de l'huile et lui assénant un violant coup dans la tête qui le fit tomber de nouveau tout en lui brûlant le visage avant de marteler son crâne avec tant qu'il était au sol. Une fois sûr qu'il ne se relèverait pas, je lâchais mon arme de fortune, les mains tremblantes, m'étant moi même brûlé en tirant la panière. Je me mit à courir dans la salle à la recherche d'aide pour finalement assister à une scène horrible où mon manager se faisait dévorer tel un BigMac par deux clients et un autre collègue. En me voyant arriver dans la salle ils se tournèrent vers moi, près à me sauter dessus, mais je n'attendis pas pour prendre la fuite, me tapant le plus grand sprint de ma vie, ne comprenant et surtout n'arrivant toujours pas à croire ce qui venait d'arriver.

Cela faisait des mois que l'infections s'étaient répandu. Personne n'était capable de dire d'où elle venait ou ce qui en était la cause, c'était le noir totale et le plus important c'était qu'on arrivait pas à l'endiguer. Dans Fort Worth en tout cas il y en avait absolument partout à présent. Quand ils ont commencés a en parler, mon père n'avait pas attendu pour vider toute les armureries qu'il connaissait afin de se faire une réserve de munitions et d'armes. Avec notre immeuble on avait tentés de tenir le bâtiment tous ensemble, se créer un petit nid de résistance, ce qui marchait plutôt bien au début. Mais habitant dans une zone plutôt peuplée ça devint bientôt trop problématique de maintenir la position. Les vagues de pourris n'en finissaient pas, on étaient sans cesse harcelés et à cette allure il n'aurait fallu que peu de temps pour être complètement submergés. Une partie d'entre nous décidèrent alors de partir, trouver un lieu plus fortifié, mieux placé, tandis que les autres préférèrent rester. Avec mes parents et une dizaine d'autres personnes ont prit alors la route pendant un moment de calme, s'éloignant des zones trop peuplées bien qu'on resta dans la ville. Le temps m'a fait savoir que l'ont prit la bonne décision, car plus tard, quand je ne comptais plus que sur moi même, je suis retourné là bas, il ne restait plus personne à part des cadavres presque complètement dévorés et une quantité de sang incroyable, mais on en est pas encore là. On avait établis notre nouveau campement dans un petit pub en bordure de la ville, un peu à la Shaun Of The Dead enfaîte. On était plus que sept, on avait perdu pas mal de monde durant le voyage, presque tout le monde à vrai dire mais d'autres personnes d'une autre poche de résistance nous avait rejoint. Notre groupe était devenu assez étrange, avec nous ne restait qu'une femme qui avait perdu la boule, n'arrêtant pas de chercher son fils, quand elle ne me prenait pas pour lui, oubliant parfois les zombies avant de passer à une phase de paranoïa terrifiante. Il y avait aussi un jeune couple tout a fait banale et un type carrément flippant que même moi je n'osais pas faire chier mais sur qui je voulais garder un oeil, de peur qu'il nous poignarde quand on s'y attendrait le moins. Au début ça marchait plutôt bien, on passait relativement inaperçu, on arrivait à se réapprovisionner facilement et les zombies n'arrivaient pas à passer nos défenses.
Mais voilà, il faut forcement que ça déraille à un moment et pour le coup mes inquiétudes étaient fondées. Cela faisait près d'un mois qu'on vivait ainsi, seulement niveau espace ce n'était pas l'immeuble et il m'arrivait de devenir cinglé entre la vielle folle qui n'arrêtait pas d'appeler son fils ou de me prendre dans ses bras en me racontant des choses dont je n'avais rien a faire, mes parents qui m'étouffaient un peu trop, ce couple qui était trop ... trop optimiste et ce psychopathe qui me glaçait le sang. Du coup j'étais allé m'isoler dans la pièce de derrière, histoire de profiter un peu du calme, me glissant dans un coin de la pièce entre deux étagères. Assis le dos contre le mur, les yeux fermés, je tentais de me vider la tête et de respirer un peu. Puis le bruit de la porte qui s'ouvre se fit entendre, me faisant immédiatement rouvrir les yeux. C'était ce type étrange, il n'avait pas l'air de m'avoir vu, il s'approchait de la porte qui donnait sur la ruelle, une petite porte vitrée qu'on avait barricadés avec une étagère, et il regarda les mouvements à l'extérieur, faisant vraisemblablement sa ronde. Je l'observais discrètement, sans dire un mot ni faire signe de ma présence. Il m'aperçut finalement alors qu'il s'apprêtait à retourner dans la grande salle et se précipita sur moi. Dans un sursaut je me mis debout mais je n'eus pas vraiment le temps de réagir qu'il me plaqua contre le mur, plaçant une lame sous ma gorge. Il me demandait ce que je faisais là, me demandant si je l'espionnais encore, m'insultant de tout les noms, me traitant de fouineur. Je lui disais de me lâcher immédiatement, je lui lançais un regard plus noir que jamais, essayant de lui montrer que je n'avais pas peur, le lui faire croire du moins. Il se mit a afficher un sourire terrifiant, me disant qu'il me ferait passer l'envie de fourrer mon nez là où il ne fallait pas alors que je ne faisais rien de mal. Je voulais appeler à l'aide mais il mit ses doigts dans ma bouche pour m'empêcher de prononcer un mot. J'avais beau tout faire pour le repousser sa poigne était trop forte. Il se mit alors à me dire qu'il avait entendu dire que j'aimais bien le faire avec des mecs, que dans ce cas il allait me faire une fleur, commençant à glisser sa main là où je ne voulais pas. Je parvint finalement à lui placer un coup de genoux bien placé, le faisant reculer de quelques pas tout en se pliant en deux et je finis de le faire voler en arrière d'un coup de pied bien placé, le faisant terminer dans l'étagère qui servait de barricade et provoquant un boucan pas possible. Je me précipitais vers la porte pour rejoindre mes parents, mais je l'entendais se relever, bien que sonné, me traitant de sale petit enfoiré et me faisant savoir que j'allais le payer. Mais avant qu'il n'ai eu le temps de faire un pas, des bras traversèrent la vitre de la porte, le tirant en arrière, un zombie lui plantant alors ses dents dans son épaules avant que d'autres ne rappliquent, essayant de passer à travers cette petite entrée. Terrifié je retournais dans la grande salle, prévenant tout le monde qu'il y avait une brèche et qu'ils essayaient d'entrer. Au même moment des bras passèrent entre les planches qui barricadaient les fenêtres de devant, à croire qu'il suffisait qu'un attaque pour que toute la meute se ramène et nous encercle. Mon père se précipita vers la salle arrière, voyant le psychopathe à moitié dévoré et les zombies déjà dedans. Il claqua la porte et la condamna comme il pouvait, il était trop tard et le fit savoir aux autres, il était préférable de se concentrer sur la grande salle.
On essayait de les arrêter en leur donnant des coups avec des balais taillés en pointe à travers les fentes, évitant au maximum de tirer pour ne pas en attirer plus. Mais c'est à ce moment précis que l'autre vielle folle décida de repartir dans un de ses épisodes, s'approchant de la porte de derrière, demandant si son fils était là en entendant du bruit et déverrouillant la porte, une marrée de zombie se jetant sur elle. On se retourna dans un sursaut face à cette situation critique, et alors qu'on essayait d'analyser ce qui se passait voilà que les planches de la devanture cédèrent, ouvrant un petit passage d'où un zombie attrapa le jeune homme du couple en l'emportant vers l'extérieur, sa moitié tentant de le retenir en le tirant et se faisant finalement elle aussi emporter. On hésita pas à tirer cette fois, mais il ne nous restait plus que la carabine de mon père. Pendant qu'il tirait ma mère et moi on essayait de les avoir au corps à corps, ma mère utilisant la hache de pompier de mon père et moi une batte de base-ball que j'avais récupéré au début de l'infection. Mais on perdait du terrain, or à défaut de pouvoir sortir on décida de se retrancher dans la cave. Seulement, ayant oublié le sac de mon père, ma mère retourna rapidement en arrière mais se fit mordre le bras avant que mon père n'ait eu le temps de lui faire sauter la cervelle. On s'enferma alors dans la cave, la porte était bien plus lourde ils ne pourraient donc pas rentrer, cependant il n'y avait pas d'autres sorties. Tout s'était déroulé tellement vite, je croyais que j'allais m'évanouir, mais surtout je n'avais pas remarqué la blessure de ma mère, elle était d'ailleurs la seule à savoir bien que son visage la trahissait, mais plutôt que d'en faire part elle préféra le cacher. Mon père ouvrit son sac et rechargea le winchester pendant que j'attendais devant la trappe, la batte à la main, prêt à les accueillir si ils entraient.
Cela faisait un moment qu'on attendait, on entendait encore leurs grognements dehors, leurs pas innombrables sur le parquet du pub, c'était insoutenable. Ma mère c'était recroquevillé dans un coin, mon père et moi étions assis contre un mur, m'étreignant pour me rassurer. Il se leva finalement pour voir si ma mère allait bien. Elle tremblait comme une feuille morte. Elle murmurait d'une voix à peine audible qu'elle était désolée, avant que sa voix ne perde tout sens. Mon paternel ne comprit, ou ne voulut comprendre, que bien trop tard, celle qui était autrefois sa femme se jetant sur lui et lui lacérant le bras. Il la repoussa, attrapa sa hache et, dans un dernier moment d'hésitation, lui fit exploser le crâne d'un coup précis et puissant, son corps inerte s'affalant au sol. J'étais collé au mur, je n'arrivais plus à produire un son, la scène à laquelle je venais d'assister me tétanisais. Mon père regarda sa blessure avant de pousser un jurons. Il savait ce qui l'attendait, il commença alors à rassembler ses affaires et à aller vers moi. Il me dit que je devrais attendre quelques heures voir même quelques jours, que d'ici là les zombies seraient tous partit ou presque et qu'en attendant je ne devrais pas faire le moindre bruit. Il voulait que j'enfile sa tenue de pompier, qu'elle me fournirait une protection supplémentaire contre les morsures le temps de sortir d'ici quand ça se sera calmé un peu et me donnant l'occasion de fuir. Il me prodigua d'autres conseils de survie, tout ce dont il pouvait penser. Je lui demandais pourquoi il me racontait tout ça, même si je le savais en réalité très bien. En seule réponse il posa sa main sur mon épaule, me sourit avec les larmes au yeux et me donna sa carabine. Il me demanda alors la chose la plus dure de ma vie, il m'ordonna de lui tirer dessus. Je savais que c'était nécessaire, je le visais mais je n'arrivais pas à tirer, j'étais en larme, j'étais fort mais c'était trop d'un coup pour moi. Il se mit à me hurler dessus, à me menacer, il fit tout pour me pousser à bout et, dans un moment de lucidité, sachant que c'était la seule chose à faire, j'appuyais sur la gâchette, lui logeant une balle pile entre les deux yeux. Après ça ce ne fut plus que le silence.
Je n'avais pas fermé l'oeil une seule minute, mon esprit c'était perdu dans le néant. Plus de vingt-quatre heures avaient dû passer, il n'y avait plus un bruit à l'extérieur, du moins à première vu. D'abord incapable de bouger, je ne pouvais finalement plus rester, pas avec eux ici. Je suivis les instructions de mon père, j'enfilais sa tenue qui se trouvait dans le sac, les bottes, le pantalon, la veste et le masque à gaz pour éviter les éclaboussures au visage. Je n'avais pas pris les gants pour le cas où je devrais me servir du winchester. J'attrapais le sac que je mis en bandoulière et pris la hache avant d'ouvrir la trappe. Je balayais la salle du regard, à première vu il ne restait plus que deux pourris. Je me mis à courir et dans un accès de colère je leur fit exploser le crâne de plusieurs coups de hache. Une fois défoulé je relevais mon masque pour observer la rue, puis me mit à courir le plus loin possible.

Après cela j'ai vécu plusieurs mois en ne comptant que sur moi même. Cherchant d'abord à rejoindre l'ancien campement, je me suis dis que finalement j'étais bien mieux seul. Je ne restais jamais fixe, je voyageais à travers la ville et même me rendais dans d'autres villes du Texas. J'avais changé de manière de penser depuis les évènements du pub, au final tout est éphémère, rien ne compte alors j'ai arrêté de me prendre la tête. Cette vie est à présent la notre, on ne reviendra pas en arrière, alors j'ai décidé d'en voir les bons côté, on est libre, on peut faire absolument ce que l'on veut, de plus chaque jour on risque de se faire bouffer, du coup autant profiter un maximum du temps qui nous reste. Et puis cette violence gratuite que l'ont peut réaliser contre les zombies, c'est tellement bon pour se défouler, tellement mieux que la chasse. Au final je pourrais dire que j'aime bien cette vie, avant me tuant au McDo voilà que je mène à présent une vie d'aventure ! Alors certes, il y a des pertes, de lourdes pertes, mais il faut savoir passer à autre chose sinon on ne fera pas long feu dans ce nouveau monde. Cependant j'ai pris une décision dernièrement, jouer les aventuriers seul c'est bien marrant quelque temps, mais les gens finissent par manquer, alors ayant croisé une jeune femme lors d'un pillage, on a décidés d'aller ensemble à Brazoria, une ville sécurisée il paraîtrait. On a donc pris la route, faisant un rapide passage par ma ville natale pour récupérer quelques affaire et emmenant avec nous d'autres personnes plutôt inattendus. C'est ainsi qu'on a atterrit là bas.


t'es qui toi ?
pseudo ✄ The Weird Boy prénom ✄ Loïc age ✄ 18ans. pays ✄ France. sexe ✄ Homme comment es-tu arrivé ici ? ✄ Par Bazzart que penses tu du forum ? ✄ Il est super ! Simple et efficace. Il y a juste un truc qui manque sur la bannière, oui, il manque un peu de ... MOI ! 8D avatar ✄ Dane Dehaan personnage inventé ou scénario ? ✄ Personnage inventé un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ Don't feed the zombie ! Ah et aussi que d'habitude j'écris à la troisième personne, donc soyez indulgent le temps que je reprenne mes marques s'il vous plait Razz


Dernière édition par Mattheus Crichton le Ven 11 Mai - 13:18, édité 1 fois
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Invité
Invité



Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! _
MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 11:19

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 833574364
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Sheena

Sheena "Mouse" Westbrook

ZOMBIES TUES : 996
INSCRIPTION LE : 24/04/2012


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Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! _
MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 11:19

Oh moi aussi j'ai commencé à écrire à la première personne, c'est chaud au début quand on est de la vieille école Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 1881463262
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche (si elle est pas déjà finie) Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 1132514435
Si tu as des questions n'hésite pas I love you
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Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! _
MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 11:21

Merci beaucoup ! *-*
Et grave ! C'est chaud de prendre le coup quand on a été habitué à jouer à la troisième personne depuis le début. x)

Autrement non, je n'ai pas de question et en effet, ma fiche est terminée.
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Lùllaby A. Sparrow

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ZOMBIES TUES : 69
INSCRIPTION LE : 10/05/2012


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MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 11:25

Mon demi-frère I love you
Bienvenue ♥️
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N. Morgan Whitaker

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ZOMBIES TUES : 166
INSCRIPTION LE : 10/05/2012


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MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 11:30

Oh le garçon de CHRONICLE *O*

BIENVENUE SUR LE FORUM Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 3458505197
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Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! _
MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 11:38

Bienvenue I love you
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Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! _
MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 12:42

Ma demi-soeur ! \o/

Et merci à tous pour votre accueil ! Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 2124793060
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Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! _
MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 12:53

Bienvenue *o*
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MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 12:54

Han mon amour ! Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 2124793060
... Bon, pas encore, mais je t'aurais !
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Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! _
MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 12:54

Héhé Razz
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MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 13:04

Bienvenue Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 3458505197
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Rozen Hurtlake-Millstone

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ZOMBIES TUES : 151
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MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 13:34

j'aime beaucoup le prénom. I love you Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 2124793060 bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche. Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 3183675940 Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 3796487374 Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 4064327615
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Sheena

Sheena "Mouse" Westbrook

ZOMBIES TUES : 996
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MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 14:05

Ta fiche me semble complète je peux donc te valider Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 653229401
Tu peux désormais poster une fiche de liens ainsi qu'une fiche de topic. Tu peux aussi créé un scénario, mais n'oublie pas de bien suivre les règles I love you N'oublie pas d'aller faire ta demande de logements, tu pourras aussi faire une demande de mission et personnalisé ton rang. Soit sur d'avoir bien lu toutes les annexes pour bien te repérer (: Amuses toi bien parmi nous et n'hésite pas à te rendre sur la chatbox et dans la partie hors jeux pour pouvoir t'amuser Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 1132514435


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MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! EmptyVen 11 Mai - 14:06

Hey bienvenue parmi nous
Et bonne chance pour ta fiche !
Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! 3458505197
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MessageSujet: Re: Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie !   Mattheus Crichton ♣ Oh my god ! A zombie ! Empty

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