prénom ✄ Siobhan Emily. nom ✄ Wheeler. âge ✄ 27 ans. sexe ✄ féminin. nationalité ✄ américaine. origines ✄ américaine. votre métier avant que tout cela ne commence ✄ Journaliste d’investigation / Reporter. qualités ✄ Téméraire ♠ Combative ♠ Curieuse ♠ Débrouillarde ♠ Sociable ♠ Indépendante ♠ Cultivée ♠ … . défauts ✄ Bornée ♠ Colérique ♠ Méfiante ♠ Parano ♠ Cynique ♠ Jalouse ♠ Impulsive ♠ … . groupe ✄ dealing with hell on earth.

Spoiler:

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisée, un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ C’est peut-être cruel, mais ce que j’ai appris durant cette dernière année c’est qu’un mordu est un perdu. Alors on peut dire ce qu’on veut, que je manque de compassion, mais je suis simplement réaliste, alors je demanderais à quelqu’un de faire ce qu’il faut pour qu’il ne se relève pas, tout simplement. Je pourrais fort bien le faire moi-même… ou peut-être pas.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Franchement ? Si vous croyez que c’est le genre de question que je me suis posée, vous vous trompez. Je ne me suis jamais chronométrée, mais mon métier fait que je suis endurante et que je fais… faisais mon footing tous les matins lorsque je me trouvais à la capitale. En quelques mots, tout ce que je sais c’est que je cours suffisamment vite et que je suis capable d’être endurante, surtout quand j’ai une armée de zombie à mes trousses. La motivation et l’esprit sont la clé !

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Je suppose. J’ai déjà pris des risques incommensurables pour un reportage, alors pourquoi pas pour une personne à laquelle je tiendrais vraiment ? En vrai je n’en sais rien, je n’ai jamais été dans une telle situation. Peut-être. Sans doute. Sûrement. Ou peut-être pas du tout. Nous verrons bien quand je me retrouverai dans cette situation, si un jour je m’y retrouve.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Oui j’ai déjà manié une arme, oui j’en possède une et… non je ne sais pas très bien m’en servir. Je sais à peu près viser lorsque c’est proche, de loin vous pouvez laisser tomber. Je n’ai pas eu de formation de tireuse d’élite. Disons que j’ai commencé par apprendre sur le tas et que je me suis rendue compte que j’étais capable de me débrouiller lorsqu’il le fallait.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ Je n’ai jamais eu de problème de ce côté-là. Mon père était un homme souffrant d’une forte et influente réputation, et qui n’a jamais vraiment approuvé mon choix de carrière, puisqu’il aurait voulu que je fasse la même chose que lui. Mais on n’a pas toujours ce que l’on désire… la preuve, il est mort aujourd’hui. J’ai fait mes premiers pas dans la société en assistant à des dîners ennuyeux à mourir. Et en fin de compte, cela m’a servit dans ma carrière, lorsqu’à mon retour de mes séjours à l’étranger, je devais à mon tour y assister, bien présenter…

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Là où je sais que l’armée se rendra : à Washington. Pourquoi ? Parce que je connais des militaires, et qu’en fin de compte, l’endroit le plus sûr pour être protégée, c’est là où ils se trouvent. Après, je m’y trouvais déjà quand l’apocalypse a commencé, et sincèrement, cela n’a rien changé du tout. C’était juste un foutoir monstre.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Si je suis toute seule, je vérifie chaque entrée, chaque sortie, et j’essaie de faire en sorte que si quelqu’un approche, cela me le signale… un fil accroché à une bouteille en équilibre, ou une connerie du genre. Une personne l’évitera, un zombie passera comme un gros bourrin. Merci les films, mais ça m’a évité quelques déboires quand j’étais à l’étranger… comme le coup de la bouteille de bière en équilibre sur la poignée. Si je suis avec d’autres personnes… je m’assure que ces personnes savant s’y prendre… dans ces cas-là, je suis, même si je n’hésite pas à donner mon avis. Dans le cas contraire, je prends les choses en main, tout simplement parce que je n’ai pas envie de mourir ou de me transformer en ces choses.

« C’est comme vivre un rêve, un rêve qui ne s’arrêterait pas. Un cauchemar. »

Siobhan est née dans une famille relativement aisée et n’a à vrai dire jamais manqué de rien. Son père, un avocat important, aimait terriblement sa mère, et a partagé le chagrin de sa fille lorsque cette dernière est morte d’un cancer. Une fatalité face à laquelle la petite fille s’était montrée forte, du moins en public. Mais lorsqu’elle se retrouvait dans sa chambre, elle se laissait aller. Mais elle n’est pas restée prostrée indéfiniment, bien au contraire… La petite fille a repris le cours de sa vie, et a finalement surpris son père lorsqu’elle a décidé d’emprunter un chemin éloignée du droit, études à laquelle il la destinait depuis toujours, pour embrasser des études dans le but de devenir journaliste. Il considéra, à tord, que ce n’était qu’une lubie, et l’a laissé faire, sans plus s’en préoccuper. Mais le temps lui donna tord, tandis qu’elle réussissait à force de travail et d’obstination à obtenir chaque diplôme sanctionnant un niveau d’étude, puis, plus tard, à entrer dans les écoles de journalisme tellement sévère.

En vérité, son père ne s’imaginait pas que sa petite fille avait envie de voyager, de voir du pays et d’endosser le statut de journaliste d’investigation et de reporter. Il aurait voulu la garder à Washington, mais cela n’arriva pas. Il fut pris de court, et mis au pied du mur comme tout un chacun, lorsqu’elle disparut vers l’un des pays où certains journalistes finissaient enlevés. Il avait fait jouer ses relations pour lui éviter la pige, mais ce qui se passait là-bas était hors de sa portée. L’un des premiers reportages qu’elle fit concernait la vie des militaires au sein de ses pays, aussi suivit-elle la vie de ces hommes à qui leurs petites amies, leurs mères, leurs pères, leurs familles, leurs femmes… manquaient terriblement. Tandis que les célibataires ne se gênaient pas pour tenter de la draguer, lui apprenant vaguement à tirer avec une arme histoire de pouvoir se coller un peu contre des formes féminines… Sa blondeur leur rappelant leur pays si loin, à tellement d’heures de vol.

Et puis un jour, dans la poussière soulevé par le vent, son caméraman dans la même voiture que lui, ils virent cette petite fille qui se tenait sur la route, allongée sur le bas côté… Le camion eut l’audace de ralentir parce que Siobhan le réclama… et de les faire tomber dans une embuscade. C’était une erreur qui lui apprit beaucoup. S’emparant d’une arme, elle a tiré sur l’un de ses hommes armés lorsqu’elle l’a vu sur le point de presser la détente sur l’un des militaires avec lequel elle s’était liée d’amitié. Elle visait l’épaule… et dans la folie, l’agitation, les mouvements… la balle le percuta en pleine poitrine, le laissant tomber au sol. Se retournant, Adam se précipita vers elle, en lui disant de rester cachée, de ne pas s’en mêler. Elle venait de lui sauver la vie et… Allez savoir, peut-être qu’elle n’aurait même pas dû s’en mêler. Silencieuse, bien que la colère bouillait en elle… elle se dissimula, les doigts crispés sur l’arme qu’elle tenait encore. Ce n’était pas le moment de piquer une crise de colère, et elle le savait.

Il la remercia par la suite, instaurant entre eux une relation différente, qui les laissa se rapprocher rapidement, jusqu’à ce qu’ils sortent ensemble. Du moins, jusqu’à ce qu’on la contacte pour l’informer du décès de son cousin, un flic qui avait périt dans une fusillade. Elle décida de rentrer à Washington pour l’occasion, d’autant plus que son reportage était dans la boîte, et qu’elle avait plus d’images qu’ils n’en fallaient pour le présenter à la chaîne. Ce qu’elle n’avait pas prévu… c’était cette émergence de morts-vivants, de zombies… qui massacrèrent en grand nombre la population, touchant le monde entier, la privant du moindre contact avec son petit ami à l’autre bout du globe.

Elle a vu son père mourir sous ses yeux, avant de chercher à quitter ce merdier monumental, remarquant à quel point les zombies étaient partout… sur sa route, elle a rencontré un militaire et d’autres personnes avec qui elle a voyagé durant un temps… Jusqu’à finalement arriver, pas tous malheureusement, jusqu’ici. Elle a tiré, de près elle ne s'en sort pas trop mal, de loin… grimacer ne serait pas une mauvaise idée. Le plus important est qu'elle sait courir, se taire lorsqu'il le faut.

Depuis qu'elle se trouve à Brazoria, Siobhan a trouvé sa place, elle aide comme elle peut, tout en gardant constamment une arme sur elle, et déteste être surprise. Toujours sur ses gardes, parano, c'est le cas de le dire, mais vous le seriez à moins si vous craigniez qu'un zombie ne vous attaque. Le monde s'est transformé, elle a vu d'autres horreurs, différentes de celles dont elle avait l'habitude dans son métier. Vu des pères attaquer ses enfants, ou bien encore le contraire. Tous peuvent devenir des monstres. Tous.

Quant à son petit ami ? Elle sait qu'il est mort, elle s'est fait une raison… après tout, cela fait déjà un an. Et de toute manière, elle ne le reverra plus.

pseudo ✄ Lsi. prénom ✄ Sev. age ✄ 1 000 ans XD. pays ✄ France. sexe ✄ Féminin. comment es-tu arrivé ici ? ✄ par le projet que m'avait montré Laora. que penses tu du forum ? ✄ J'adore ! avatar ✄ Blake Lively. personnage inventé ou scénario ? ✄ inventé. un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ On va massacrer quelques petits zombies (a) ?