prénom ✄ Vivien Avery. nom ✄ Sinclair. âge ✄ trente ans. sexe ✄ féminin. nationalité ✄ américaine. origines ✄ anglaise, américaine. votre métier avant que tout cela ne commence ✄ avocate. qualités ✄ courageuse, habile, prudente, protectrice, stoïque. défauts ✄ rancunière, méfiante, solitaire, impassible. groupe ✄ you’ve no idea of what i can do.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ Tout dépend de la personne avec qui vous êtes. Par exemple, si c’est un inconnu ou un simple membre de mon groupe avec qui je n’ai pas réellement eu de connexion, je fais de mon mieux pour l’aider tout en ne me faisant pas prendre moi aussi, mais si je ne peux plus rien pour cette personne, je n’hésiterai pas à m’enfuir. C’est dommage de penser ainsi, mais dans cette situation, c’est chacun pour soi, vaut mieux fuir que de se faire bouffer tout cru. Seulement, dans le cas contraire cette personne s’avère être un membre de ma famille, je vais prendre beaucoup plus de risque pour sauver cette dite personne, voire même me sacrifier pour qu’elle puisse survivre.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Normalement, je suis capable de courir pendant une bonne vingtaine de minutes avant de ressentir le besoin de me reposer. Avant cette épidémie, j’avais l’habitude de faire un jogging pratiquement tous les jours, ce qui m’a permis de me garder en bonne forme. C’était ma façon de me changer les idées et retirer le stress de mon travail. Seulement, dans cette situation, je crois peut-être pouvoir courir un peu plus longtemps que ça, surtout si une horde de zombies me poursuit. Dans ce cas, l’adrénaline entre en jeu.

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Sans hésitation, oui. Ma nièce se trouve d’ailleurs à l’extérieur de la ville. J’ignore si elle est devenue comme l’un de ces morts-vivants ou si elle s’en est sortie. Je souhaite la deuxième option. Avant de me retrouver à Brazoria, j’ai cherché les alentours de la ville, mais rien. C’est un peu plus difficile maintenant de faire les recherches et ça m’agace un peu. J’espère simplement que si elle est toujours en vie, elle trouvera un moyen de rejoindre Brazoria. Elle est la seule personne qui compte à mes yeux sur cette Terre.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Venant du Texas, je peux vous dire qu’effectivement, j’ai déjà manié une arme, plus qu’une même. Mon père était un fanatique de chasse et n’ayant eu que deux filles, j’étais l’élu des deux pour l’accompagner dans les bois. Quoi que je ne fusse pas vraiment l’élu puisque ma sœur ainée n’était pas vraiment une fanatique de tout ce qui était chasse, pêche, mécanique, etc. J’étais beaucoup plus tomboy qu’elle, ce qui faisait de moi le premier choix. Enfin. Je me souviendrai toujours de la première fois où j’ai tenu un pistolet. Ça m’a carrément donné la piqure, même qu’à mes vingt-six ans, je m’en suis procuré un. Un magnifique P99. Un investissement qui m’a sauvé la vie.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ Si je m’adapte bien en société? Je dirais 50/50. Je ne suis pas antisociale, loin de là, mais j’aime garder mes distances. Pour tout dire, j’ai de la difficulté à faire confiance aux gens. Je vais être franche avec vous, je peux compter mes amies sur les doigts d’une main. Je n’ai pas besoin d’une panoplie de gens autour de moi pour être heureuse et le fait d’être entouré de tous ces gens à Brazoria a tout de même été difficile pour moi. On doit tous compter les uns sur les autres et puisqu’on est plusieurs, on doit doubler même tripler d’effort. Enfin, je n’ai pas de difficulté à partager la nourriture ou quoi que ce soit puisque c’est vitale, mais jamais je ne prêterai mon arme à quelqu’un dont je n’ai pas entièrement confiance et ces personnes se font pratiquement inexistante dans ma vie en ce moment.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Chez moi, dans mon sous-sol. J’essaie de contacter le plus de mes proches pour être avec eux lors de ce moment fatidique. Je vais au supermarché si j’en ai la chance pour faire des provisions et avec les autres membres de ma famille, on barricade l’endroit question d’être en sureté et on voit un plan de ce que l’on pourrait faire de plus par après. J’ai eu la chance d’avoir un père qui était dans l’armée, j’ai appris quelques techniques questions de bien me protéger en cas d’attaque. Je suis consciente que cette situation est quelque peu semblable, mais un peu plus à risque puisque je ne crois pas que ces zombies soient apte à se fabriquer un plan d’attaque.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Ça dépend de l’endroit. Si c’est une maison, je fais le tour de l’endroit à la recherche de survivant ou zombie question de ne pas se faire bouffer tout cru dans notre sommeil. Par la suite, je vais à la recherche de ressources utile comme de la nourriture, des trucs médicinaux, des armes, etc. Ensuite, je tente de barricader du mieux que je peux l’endroit et espère du mieux que je le peux de pouvoir survivre quelques jours dans cette maison avant de partir à la recherche d’un nouvel endroit. Selon moi, il vaut mieux toujours être en mouvement, mais comme je l’ai dit, c’est selon moi.

pseudo ✄ JEZABELS. prénom ✄ Kim. age ✄ 21ans. pays ✄ Canada/Quebec. sexe ✄ féminin. comment es-tu arrivé ici ? ✄ Bazzart. que penses tu du forum ? ✄ . avatar ✄ Rhona Mitra. personnage inventé ou scénario ? ✄ inventé. un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ on va tous leur faire sauter la cervelle .

« Miss Sinclair? Vivien Sinclair? » L’agent de police se trouvait devant moi, au pied de ma porte. Je posai mon regard derrière lui un bref instant pour y apercevoir son partenaire toujours assis dans leur véhicule. « Oui, c’est bien moi. Je peux vous aider? » Dis-je sur un ton qui se voulait dure et méfiant. Je ne vais pas vous mentir, mais j’ai un mauvais pressentiment sur la présence du jeune homme. Enfin, je ne vois pas vraiment ce qu’il pourrait faire ici, surtout que je n’ai rien fait de grave, enfin, à ce que je sache. Je ne suis pas mariée, donc aucune chance d’avoir de mauvaise nouvelle à ce sujet. Mon père est décédé d’un cancer il y a deux ans de cela et ma mère a quitté le Texas pour retourner en Angleterre prendre soin de sa mère et pour tout dire, je ne crois pas que la police se serait déplacée pour m’annoncer le décès de celle-ci. Ce qui laisse place à la dernière possibilité, la seule et unique personne à m’être chère étant toujours au Texas se trouve à être ma sœur ainée. L’homme en face de moi arborait une expression mélangé de dureté et de sympathie. « J’ai le regret de vous annoncer que votre sœur, Christine Sinclair, et son mari sont décédés lors d’un accident de voiture survenu un peu plus tôt dans la journée. Votre nièce se trouvait aussi à bord, mais elle ne subit que quelques blessures mineures et repose maintenant au Centre Médical de Pine Creek. » Je n’écoutais plus vraiment ce qu’il disait. Dès qu’il prononça les mots « votre sœur, Christine Sinclair, et son mari sont décédés lors d’un accident de voiture », mes oreilles résonna, comme si ce qu’il venait de dire était invraisemblable. Ma gorge se serra, je retins quelques larmes de perler sur ma joue et sentis tous les muscles de mon corps se raidir avant de se ramollir d’un coup, me faisant quelque peu perdre l’équilibre. Je vins me retenir à l’aide du meuble qui se trouvait à mes côtés et le policier fit un pas en avant pour me retenir. J’étais désorientée. Pourquoi moi? Pourquoi ma sœur? Après quelques secondes qui eurent l’impression de minute, je posai à nouveau mon attention vers le jeune homme. « Et ma nièce, est-ce qu’elle est saine et sauve? » Cette "nouvelle" m’avait complètement brouillé l’esprit et je n’arrivais plus à me souvenir clairement des paroles qu’il m’avait dit après l’annonce du décès de ma sœur. « Oui, votre nièce est brièvement blessée et repose à l’Hôpital. Vous pourrez lui rendre visite dès ce soir. » Le jeune homme se recula, se repositionnant au pied de la porte. Il se racla la gorge faiblement et sortie une lettre de la poche de son imperméable. « Voici une lettre qui indique les procédure à suivre en cas de décès par accident. Je sais que c’est encore tout frais pour vous, mais vous devrez venir avec nous pour pouvoir identifier les corps. » J’acquiesçai de la tête. Avec le décès prématuré de ma sœur, j’étais consciente qu’une multitude de responsabilité s’obligeait à moi dont principalement, la garde de ma nièce.

La journée avait été longue. Il devait être dans les environs de vingt et une heure trente et je venais tout juste de terminé d’étudier la prochaine cause dont je représentais l’accuser. Étant un gros dossier et je me devais d’être à mon meilleur. Dans ma voiture, j’insérais un CD que j’avais gravé de plusieurs chansons qui passait de Adèle au Rolling Stones. Il y avait étonnamment beaucoup de circulation sur les routes, mais lorsque j’arrivai chez moi, les rues avoisinantes se faisaient désertes ou presque. Arrivée, la lumière du salon était ouverte. Ma nièce devait probablement encore être éveillée. J’ouvris la porte et seul le son de la télévision bourdonnait à mes oreilles. Je m’approchai vers la pièce en question et posa mon regard sur le téléviseur. Un message d’urgence était afficher sur l’écran et les mêmes paroles se répétaient sans cesse ; URGENCE, UN VIRUS SE PROPAGE DANS LA VILLE, VEUILLEZ ÉVACUER LA VILLE LE PLUS RAPIDEMENT POSSIBLE. DES AGENTS DE SÉCURITÉ VOUS DONNERONS PLUS D’INFORMATION À LA SORTIE DE LA VILLE. Immédiatement, je fouillai la maison à la recherche de ma nièce. « ALEEEEEXYS!!! » Je courrai dans toutes les pièces de la maison jusqu’à ce que je monte au deuxième étage, vers la chambre de celle-ci. Le haut des marches était maculé de sang. Non, ça n’arrivera pas, pas une seconde fois. Pas question de perdre la dernière personne qui compte plus que tout à mes yeux. Je courrai vers sa chambre et y découvrit un corps inerte. Heureusement, d’une certaine façon, il ne s’agissait pas de ma nièce, mais d’une jeune femme. Une de ses bonnes amies si je ne me trompe pas. Je m’approchai de celle-ci, son corps était encore tiède et sa peau se faisait de plus en plus bleuté. Je ne pouvais clairement plus rien faire pour celle-ci. Je fouillai la pièce, la maison au grand complet. J’accouru à l’extérieur. « ALEEEEEXYS!!! » Rien. Je retournai à l’intérieur de la maison, amassa plusieurs vêtements que je mis dans un grand sac sport sans oublier mon précieux pistolet, un P99, avant de reprendre la route tout en suivant la circulation. Une photo de ma nièce en main, je questionnai les agents à la sortie de la ville, espérant qu’ils aient aperçu ma nièce. « Non, madame. Circulez, vous pourrez toujours vous renseignez à l’extérieur de la ville lorsque vous serez au point de ralliement. Elle s’y trouve probablement déjà. » Je me rendis à l’endroit en question, elle n’y était toujours pas. J’attendis quelques heures. Rien. J’en avais marre. Je me levai du banc sur lequel j’étais assise et décida de quitter l’endroit. Des agents tentaient de me retenir, d’autres leurs disaient de me laisser aller et que c’était mon problème si je venais à me faire bouffer. Je n’avais pas vraiment compris pourquoi il avait mentionné le terme bouffer, mais bon. Je repris mon véhicule et j’étais en route, à la recherche de ma nièce.

Plusieurs jours se sont écoulés, j’ai dû faire quelques arrêts pour me procurer de l’essence et de la nourriture. C’est en allant dans un supermarché que j’ai compris ce que l’agent voulait dire par bouffer. Je peux vous dire que jamais de ma vie je n’avais pensé tomber face à face avec une créature de ce genre. J’étais dans l’allée des conserves et un zombie, anciennement une dame avec quelques livres en trop, s’approchait de moi. Un bruit provenait de la créature, un bruit qui se voulait être un genre de grognement. Elle devait être affamée cette dame. Je restai figée un bref instant avant de sortir mon pistolet de mon pantalon et visée la dame. Une balle dans le crâne. J’observai ce qui restait de la dame tomber sur le sol à la renverse. Je peux vous dire qu’après ce face à face inattendu, je ne pris pas de temps à me grouiller et prendre le plus de truc possible pour sortir de cet endroit le plus rapidement qui soit. J’ai survécu ainsi pendant quelques semaines, plus précisément, trois mois. L’essence se faisait de plus en plus rare, mon véhicule subit quelques bris technique à force de foncer sur les zombies que je croisais. Je n’avais plus d’autre choix que de me trouver un nouveau moyen de transport. Quelques véhicules se trouvaient au bord des routes. Je les essayai un par un, enfin, ceux qui semblait être les moins endommagés. Chacun était à sec d’essence, sauf un. Une moto sport qui se trouvait dans une petite crevasse au bord de la route. Elle était quelques peu égratigné sur le côté, son propriétaire ayant probablement chuté. Du sang recouvrait un peu le banc. Je plains le conducteur, sa mort n’a pas dû être des plus rapides, surtout qu’aucun corps ne se trouvait à proximité. Je l’essuyai du mieux que je pus et croisa les doigts pour qu’elle démarre. La chance fut de mon côté cette fois-ci. L’essence était à son maximum, le kilométrage était peu élevé. Je repris la route, m’hébergeant dans des maisons et cabanes abandonnées tout en étant toujours à la recherche de ma nièce qui était disparue depuis trois mois maintenant.

Brazoria. En faisant le tour du Texas, j’ai découvert cette petite ville qui maintenant est devenu une sorte de refuge sécuritaire contre les zombies. Entrer dans cette ville fut légèrement difficile. Disons que les aller et retour sont beaucoup surveillés et c’est compréhensible dans la situation dans laquelle on se trouve. À mon arrivée, plusieurs personnes m’ont gardés à l’écart une bonne quinzaine de minutes et deux d’entre eux vinrent me fouiller, vérifier que je ne portais pas de marque de morsure, que je n’étais pas infecté. Après avoir passé tous les tests, je fus accepté sans problème. Après tout, une personne ne fait pas de tord en ce qui concerne la recherche de ressource, mais niveau sécurité, c’est beaucoup plus de travaille. Seulement, ils n’auront pas vraiment de problème avec moi, je sais me défendre. J’ai évidemment demandé aux gens dans les alentours s’ils n’avaient pas vu ma nièce tout en leur montrant la seule photo que je possédais. Ce fut la seule fois que je leur parlais. Enfin, j’ai échangé quelques mots avec certaines personnes qui m’abordait, mais sans plus. Je ne compte pas vraiment socialiser d’avantage. Enfin, je suis prête à participer aux missions de ravitaillement et tout, mais m’attacher à ces personnes me désavantagerais et je le sais. C’est pourquoi la plus grande majorité du temps je passe mon temps à surveiller les alentours de la ville et nettoyer mon pistolet. Ça fait maintenant quelques mois que je me trouve à Brazoria et je n’ai toujours pas eu vent de ma nièce, mais je ne perds pas espoir.