Prenom ✄ Lincoln Galaad Nom ✄ O'neill âge ✄ 26 ans sexe ✄ homme nationalité ✄ américain origines ✄ Irlandaise votre métier avant que tout cela ne commence ✄ professeur d'histoire & archéologue qualités ✄ sensible, courageux, patient, intelligent, romantique, protecteur. défauts ✄ solitaire, impulsif, franc, sarcastique, tête brulé, secret groupe ✄ kill you is my only obsession.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ Moi comme chacun d'entre nous, on sait tous que le jour où on vient à être mordu, le mieux à faire dans ce genre de cas c'est d'en finir au plus vite. Pas de sentiment et pas de blabla inutile. Enfin cela est de la pure théorie car en réalité ce n'est absolument jamais aussi simple. Quand cela arrive à l'un de nos proches, notre première idée est toujours de chercher un moyen de la sauver, du genre couper son bras ou lui trouver un remède. Mais ça ne dure que quelques secondes, après on sait qu'il n'y a rien à faire, que nous allons devoir mettre un terme à la vie d'une personne. Et là on éprouve juste un terrible sentiment d'impuissance. Alors si un ami à moi venait à perdre la vie suite à une attaque de mort-vivant, je le tuerai. C'est pas joyeux, ce n'est pas non plus une fin heureuse, mais c'est la seule fin que nous puissions avoir si nous risquons notre vie dans ce monde-ci.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Combien de minutes je pourrais courir avant de devoir me reposer ? Euh laissez-moi y penser. Voyons voir, peut-être autant que je le dois ? Si je suis à bout de force se sera après un long moment, ce sont des zombies qu'on a au cul, pas des coureurs experts. Alors au départ, on part au quart de tour puis quand on a une distance suffisante on continue à un rythme plus lent. Être en fuite ne veux pas dire être stupide. Gérer son effort est la clé dans ce genre de cas. Inutile de vous parlez du messager de la bataille de marathon ? De plus, avoir besoin de se reposer pendant une course montre un manque de préparation dans la mission. Mais bon ok si ça arrive par surprise alors pensez simplement à ce qui vous tiens en vie. C'est pas plus compliqué que ça pour survivre dans ce monde. Règle 1 : Avoir un bon cardio...

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Cette question n'a plus lieu d'être. Tous ceux que j'ai un jour aimés sont morts. Chaque personne à qui j'ai pu serrer la main, discuter ou prit dans mes bras est morte. Pour la femme que j'ai aimé un jour, arrêtez de me faire rire. Rien à foutre d'aimer ou non la personne, j'abandonne personne un point c'est tout. Mettez autant de zombies que vous voudrez sur mon chemin, si on ose pas risquer sa vie pour en sauver une autre autant se tirer une balle dans le crâne. J'ai peut-être plus personne dans ma vie mais d'autres eux ont encore leurs proches. J'irais dans cette ville pour chacun de vous, mais inutile de faire pareil pour moi je m'en tire toujours. Règle 17 : Jouer les héros

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Depuis tout gamin mon père m'a apprit à me servir d'arme en tout genre. Je ne compte même plus les dimanches avec ses anciens compagnons de l'armée dans les bois du Nevada. Ils pouvaient passés des heures entières à tirer sur cible avec des m16, m60, 9mm. Enfin bref, toute une gamme d'engins de mort que j'ai pu manier également. Je sais les démonter et les remonter à volonté. Oui c'était le petit jeu de mon père, nous mettre moi et mon frère en compétition à ce truc là. Mais j'avoue que je ne l'ai plus fait depuis fort longtemps. Pour ce qui est de mon armement personnel, j'utilise avant tout un arc. Il s'agit selon moi de la meilleure arme dans le contexte actuel, silencieuse et on est jamais à court de munitions tant qu'il y aura des forêts. Nous aurons de quoi faire des flèches. Pour continuer j'utilise deux couteaux de combat, un accroché à la jambe, quant à l'autre attaché horizontalement à ma ceinture dans le dos. Encore une fois le soucis du bruit demeure un soucis de base. De plus, de par mon vieux j'ai quelques notions de combat enseignées aux marines. Disons que depuis l'arrivée des zombies, j'ai eu le temps de pratiquer et améliorer cette méthode. Règle 9 : Les armes sont pour la chasse, pas de Zombie Killing

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ En tant que professeur d'histoire j'ai appris une chose simple, la loi du plus fort c'est de la connerie. Notre civilisation est remplit de faits qui prouvent que celui qui pense bien reste plus longtemps en course que celui qui frappe fort. Donc le partage des ressources et une composante vitale à toute société désirant prospérer. De plus, depuis le départ l'Homme a éprouvé le besoin de se rassemblait en petit groupe. Beaucoup trouveront rassurant le fait d'avoir d'autres humains avec lui, après tout nous restons des mammifères. Quand nous avons peur nous recherchons le nombre. Donc oui cela ne posera pas de problème important, du moment que la société est fondée sur un désir de justice j'y serais. Mais à partir du moment où un type aura l'audace de vouloir imposer une forme de pouvoir je m'en occupe directement. Règle 29 : Avoir des amis.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Quand tout a commencé je me rappelle, j'étais en bas de chez moi quand à la radio ils ont annoncés que la première personne infectée venait d'être identifiée. Ce n'était plus une rumeur lointaine de la côte-est mais une réalité sanglante. Je vais vous le dire où je suis allé, directement chez moi dans l'unique but de protéger ma femme et ma fille. À ce moment là, je n'avais qu'une clé anglaise sous la main, normal si j'étais entrain de bricoler la voiture. Je n'ai jamais monté aussi vite toutes les marches de notre immeuble. Donc non je sais parfaitement que ce n'est en rien original, mais un peu de réflexion est de mise. Je savais le nombre de marches à grimper pour arriver chez moi. Je sais aussi que notre voisine de gauche laissait souvent sa porte fenêtre ouverte pour ses chats, que celui de droite entreposait sur son balcon une pelle, pas l'arme du siècle mais en cas de besoin. Je suis donc allé dans l'endroit que je maitrisais le mieux, c'est tout bête. Règle 22 : Un homme averti connaît la sortie.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ La première chose à faire selon moi est de vérifier si la pièce ou l'endroit comporte une porte de sortie. Le but étant de se cacher et non de se condamner. Une fois cela fait, il convient naturellement d'inspecter l'endroit car beaucoup de zombies ne possèdent plus de jambes. Les dessous de lit ou bien encore de table demeurent des lieux dangereux. Puis une fois tout cela mit en place et que vous utilisez des armes à feux, faites le compte de vos munitions et n'oubliez pas de recharger avant de sortir. On ne le dira jamais assez mais c'est pas une fois dehors en plein combat qu'il sera temps d'y penser. Puis à la fin si tout est calme et l'endroit un peu sûr vous pourrez faire une petite sieste, car même dans un monde remplit de zombies, la forme physique reste primordiale. Règle 14 : Planifiez : la sortie et les armes.

* début enregistrement *

- Hey la mariée, vas-y vos enfants verront sûrement ce film. Raconte leur ta rencontre avec leur papa, par pitié tâche de rester correcte donc pas de truc sexuel dans l'histoire...

- Pour commencer les enfants ceci était votre oncle Terry. Vous ne l'avez jamais vu je sais, mais le pauvre est mort le soir du mariage !

- Ouille tu me blesse là...

- Bon je peux en placer une ? Alors alors moi et votre papa, comment tout cela a débuté. Je dirais quand nous avions environs 8 ans, il avait marchandé un bisous de ma part en échange de deux bonbons... mais je l'ai eu j'ai eu un cookie en plus.

- Ah ah et lui dix ans plus tard il a prit ta virginité !

- Vraiment spirituel Terry, passons. Votre père déjà à l'époque était un risque tout. C'est pour ça que son corps et recouvert de cicatrices en tout genre. J'ai du le dresser car les bagarres c'est mal. Bref on a grandit ensemble, il vivait en face de chez moi. Je suis allée à mon bal avec lui et il est venu à Standford pour moi. Pour moi la science, pour lui l'histoire, une vraie fouine votre père. Votre papi aurait voulu le voir être militaire à cause d'une sorte de tradition familiale je crois...

- Pppfff le frangin a jamais su dire non à cette fille. Elle dit, il fait. *imitation du claquement d'un fouet* Bon laisse un message à ton homme, il verra aussi la cassette après tout !

- Chéri si tu vois ce film, c'est que nous n'avons pas divorcé !.... Sérieusement ? Aujourd'hui n'est pas le plus beau jour de ma vie car la meilleure partie de mon existence a commencée quand je t'ai rencontré. Peu importe ce qu'on a pu traverser, tu as toujours été présent pour moi et je ne compte pas le nombre de fois où tu as tout risquer pour écarter le malheur de ma vie. Nous aurons une grande famille, ainsi qu'une grande voiture pour tous rester ensemble. *rire* Je veux passer jusqu'à mon dernier jour avec toi car dieu ou non tu seras toujours mon ange à moi....

* fin enregistrement *

5 ans plus tard

« Maman ? Où il est papa ? Il me manque... » Sa mère aurait aimé lui donner une réponse rassurante mais elle-même en proie à la peur ne sut quoi dire. Amoureuse d'un fou, elle avait accepté de vivre avec cette boule au ventre. Chaque départ de son mari devenant au fur et à mesure une souffrance des plus atroce. Mais le voir vivre son rêve, Seven n'avait jamais eu le coeur de lui demander de rester, mais cette fois tout son être sentait que le silence allait la tuer. Elle ne pourrait plus le voir partir encore une fois sans savoir si il reviendrait un jour car lui allait là où les autres refusaient. Dans les pays en guerre ou pire encore, dans l'unique but de sauver autant que possible l'histoire humaine avant qu'une bombe ne vienne tout effacer pour toujours. Partit en Colombie, le jeune homme n'avait plus donné de nouvelles depuis une semaine.

Katleen avait fait tout son possible pour en apprendre plus, allant même jusqu'à menacer des agents de police. Au moins avaient-ils apprit que nul n'aurait pu se mettre entre elle et son homme. « Papa il est... il va revenir promis », malgré la peur étreignant son coeur elle savait qu'il allait bien, elle le connaissait mieux que personne, il était débrouillard, savait survivre grâce à son vieux père chasseur depuis gamin. Et puis il n'était pas bête du tout, si il fallait calmer les esprits il y parviendrait à coup sûr. Il avait ce don de rassurer les gens autour de lui, ayant toujours le bon mot pour redonner courage, même si tout au monde semblait vous dire que c'était la fin.

Quand enfin la clé tourna au coeur de la serrure de la porte, Katleen ne bougea pas d'un poil. Elle n'avait que trop rêver de ce moment là, pour au final se réveiller seule en sueur au beau milieu de la nuit mais sa petite fille elle, beaucoup moins inquiète sur le sujet, courut à toute vitesse vers l'entrée, sautant quasi automatiquement dans les bras de son père, éclatant de rire sous les chatouilles de ce dernier. Katleen serra le poing de plus en plus fort, laissant des larmes apparaîtrent sur ses joues, figée tel une statue de marbre. Elle ne poussa qu'une bouffée de soulagement au moment où les mains de son mari virent se glissées au contact de sa nuque. « Je te promet que je ne partirais plus jamais. C'était mon dernier voyage. Dès ce jour je serais un professeur normal, rentrant à la maison chaque soir... »


Trop beau pour être un rêve peut-être, mais après avoir encore faillit perdre la vie dans un pays lointain, un seul désir hanté l'esprit du jeune homme, ne plus perdre un instant avec sa famille. Il ne voulait pas devenir comme son propre père, juste une ombre absente au quotidien. Tout allait être différent à présent, du moins il ferait tout pour. Sa petite femme le mérité bien, dieu sait pourquoi elle l'aimait. Quand elle se tourna vers lui, elle put voir que le visage de son beau avait subit quelques malheurs. « J'ai du faire des choses... d'horribles choses pour revenir en vie. Je veux simplement avoir une vie normale rien de plus... »

Peu de gens y sont confronté durant leur vivre mais être face à sa propre mortalité ça vous change un homme. Quoi qu'il arrive après cela rien n'est pareil mais avec l'amour de Katleen et de sa petite fille, Lincoln parvint à reprendre un quotidien des plus paisible, partageant son temps entre l'enseignement au lycée du coin et sa vie de famille. Le temps avait été long mais enfin le jeune homme menait la vie de ses rêves.

6 mois plus tard

*début de l'enregistrement*

- Coucou mon coeur, tu te souviens de la fois où quand nous étions à peine sortit de l'enfance, nous avions regardés un film d'horreur que tellement terrifiée, je ne pouvais pas trouver le sommeil. Tu es resté avec moi toute la nuit, la fatigue a finit par m'avoir mais toi tu n'avais pas fermer l'œil. Si un monstre arrive, tu penses bien que je dois le voir venir !

Je n'ai jamais eut peur avec toi, même quand tout cela a commencé. Tu m'as dis que tout irait bien, depuis tu as tout fait pour. Mais... car oui il faut bien un mais, je me suis demandais si notre fille aurait un avenir dans tout ça. Dehors tout s'écroule, puis je te vois toi risquant de plus en plus ta vie pour nous mais le monde devient fou, les gens se tuent entre eux. Dis-moi quand viendra le jour où tu ne reviendras plus.

Je ne peux pas supporter cette idée. À notre mariage, j'avais dis que tu serais à mes côtés jusqu'à mon dernier jour, nous y voilà mon coeur. Pour moi la route s'arrête ici, notre fille et moi, nous allons nous endormir. Puis je sais qu'un jour tu viendras nous retrouver. Ce n'est en rien de ta faute, tu as été l'homme le plus parfait du monde, je ne regrette pas un seul jour. J'aurais tant aimé devenir toute vieille avec toi, mais j'ai du faire un choix pour protéger notre famille. Pardonne-moi. Sache que je t'aime maintenant et pour toujours mon ange... mon trésor...

* fin de l'enregistrement*

Trois jours, peut-être quatre que Linc était prostré sur le canapé, regardant encore et encore le message de sa femme. Son visage portant toujours les traces de larmes désormais desséchées. À cet instant le ciel aurait pu s'écrouler sur lui, le monde partir en flammes qu'il n'aurait pas bougé d'un poil. Son plan fut simplement le suivant : attendre de mourir. Mais depuis quelques temps les raclements d'ongles se faisaient entendre sur la porte d'entrée, un mort-vivant prêt à dévorer notre ami, attiré par la chair bien fraîche. Linc trouva le courage de se lever, trainant péniblement les pieds vers cette porte qu'il déverrouilla, donnant libre accès à la créature souhaitant sa mort. « Tu vis... tu meurs. Décides-toi maintenant fiston.... décides-toi.... décides-toi »

Le mort-vivant lui savait déjà quoi faire, le pauvre bougre se trainant tant bien que mal vers Linc. Ce dernier ayant fermer les yeux, la main décharnée s'agrippait de plus en plus au mur, faisant tomber par la même occasion les dessins d'enfant de sa petite princesse. Le bruit du papier froissé fit réouvrir les yeux de notre ami, voyant les dégâts causés par le monstre. L'un des dessins représentait Linc, soulevant sa fille, avec son écriture à elle. L'enfant avait raturé sur le dessin. « Mon papa c'est le plus fort comme ça du monde » Un homme normal n'aurait rien eu à faire de ce type de gribouillage enfantin, mais pour un père comme lui tout était différent. Sa fille croyait en lui tout comme sa femme. Elle avait vu en lui un homme solide, un homme ne reculant jamais. C'est grâce à cette pensée que Linc trouva le courage de ne pas finir de façon aussi misérable. Le professeur se précipita donc vers le mort-vivant pour ensuite se mettre sur lui dans l'unique but de lui anéantir la boîte crânienne à coup de poing. Plus les os craquèrent plus du sang vint s'écraser sur le visage de Linc.

Une fois le visage du mort-vivant quasiment en miette, Lincoln se mit à rire. Un immense sentiment de soulagement lui parcourant le coeur. Voila qu'il se sentait de nouveau vivant. Il devenait maintenant clair pour lui que ces monstres ne pourraient pas gagner. À cet instant précis la guerre avait commencée. Peut-être ces créatures n'avaient plus rien d'humain mais Linc également. Mais son rire finit par disparaître quand il réalisa qu'il n'y aurait plus de retour en arrière. Plus de famille, que sa seule route serait la mort. Mais en la suivant, une chose lui devint claire, il n'arriverait pas au bout de cette dernière sans avoir emporter le maximum de saloperies avec lui.

Après un long et douloureux adieu à ce qui fut autrefois sa raison de vivre. Linc mit le feu à l'appartement puis il s'en alla pour quelle destination, à vrai dire aucune. Peu importe l'endroit où se posa son regard au départ, il ne rencontra que mort et désolation. Le plus choquant fut avant tout de croiser en grand nombre, de l'argent sur le sol. Autrefois tant recherché par les hommes, voilà que la fortune était devenue le dernier soucis de la planète entière. Mais outre cela, les débuts de la survie de notre ami furent des plus rudes. Linc mit du temps à mettre en pratique les techniques de survit de son père. La peine entourant la mort de sa famille resta encrée un long moment dans son âme. Il passait donc la plupart de son temps à tuer des morts-vivants dans l'unique but de faire taire en lui la moindre parcelle d'humanité. Il en vint à trancher tellement de chair humaine que même pour lui cela devint insoutenable. Si peu le séparait encore d'un animal. C'est là qu'au court d'une virée en ville, au coeur d'une armurerie, le jeune homme tomba sur une arme qui allait changer sa vie.

C'est au milieu des ruines du magasin qu'il trouva la perle rare. Un véritable arc de compétition rétractable, léger et pratique. Cela l'aiderait à pouvoir survivre de façon plus convenable. « Pour un prof d'histoire, quel ironie... » C'était même dit Linc en le prenant pour la première fois en main. Par la suite le jeune homme s'entraîna dur avec. La maîtrise d'une telle arme ne vient pas en un jour. De plus, cet instrument avait le don d'apaiser le jeune homme qui pu enfin partir à la conquête de l'Amérique. Quelque part en route et pour la première fois depuis des mois, Linc rencontra un signe de vie en la personne d'une mère et de son petit garçon. Dieu sait d'où ils pouvaient venir mais ces deux-là couraient en ayant une horde de zombies aux trousses. Linc aurait du les laisser dans leur merdier, après tout l'heure était à la survie, mais son naturel toujours présent le poussa à s'en mêler.

Le jeune homme grimpa sur une voiture, non loin de la scène, puis après un léger moment passait à viser, l'archer décocha sa première flèche qui perfora le crâne d'un mort-vivant. Puis il continua à les tuer les uns après les autres passant d'une voiture à l'autre après chaque tirs. Finissant par ranger son arc pour prendre en main un de ses couteaux qu'il se fit une joie de planter dans la joue du dernier monstre en vie. Mais ce que Linc n'avait pas prévu c'est qu'après avoir sauvait une fois leur vie, il serait désormais de sa responsabilité de les amener en sécurité. Ils ressemblaient tellement à sa famille. C'est donc avec eux puis par la suite bien d'autres lui faisant tout aussi confiance, que la route continua. Autrefois survivant solitaire, Lincoln était désormais à la tête d'un groupe pour un homme ne voulant plus de liens.


Lui et son groupe arrivèrent enfin en lieu sûr, une petite ville où d'autres survivants avaient élu refuge. Finalement son job était accomplit, il pouvait repartir seul voir du pays comme on dit. Mais ceux de son groupe ne voulaient pas le voir partir, bien trop peur de ne jamais le voir revenir et puis surtout ils s'étaient attachés à lui. Linc fit donc le choix de ne pas quitter le coin. Il n'eut pas vraiment de mal à s'adapter à une vie un peu plus tranquille. Tout le monde l'aima plutôt bien mais lui-même savait qu'il ne faisait pas partit de leur groupe. Son but n'étant en rien de se lier avec les autres. Linc ne fit jamais plus confiance à personne suite au décès de sa femme mais pour la plupart des gens, il était resté le garçon gentil, serviable et plein d'humour. Cette vision qu'ils avaient de lui convenait parfaitement à notre ami qui ne désirait pas vraiment que quelqu'un ne vienne creuser un peu plus dans sa vie et son passé.

pseudo ✄ orpheuss & fripon. prénom ✄ S. age ✄ 23 ans. pays ✄ france. sexe ✄ homme. comment es-tu arrivé ici ? ✄ bazzart. que penses tu du forum ? ✄ très bon, de l'ambiance et de l'amour, je suis amoureux des admins mais chuuuuttt. avatar ✄ Jensen Ackles. personnage inventé ou scénario ? ✄ inventé. un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ i win so...i win.