prénom ✄ Nicolas Samaël-Jox. nom ✄ River. âge ✄ 27 ans. sexe ✄ Masculin. nationalité ✄ Américaine. origines ✄ Né à Port Hudson en Louisiane mais a grandi à Boston. votre métier avant que tout cela ne commence ✄ Arnaqueur. qualités ✄ drôle, observateur, réfléchi, posé, séducteur, débrouillard, intelligent, franc, sarcastique, méticuleux, ordonné, garde son sang froid, indépendant. défauts ✄ borné, tête à claques, blessant, manipulateur, imprévisible, solitaire, égoïste, intéressé, handicapé des sentiments. groupe ✄ ❝ you’ve no idea of what i can do ❞.

Dans cette partie vous devez répondre aux questions suivantes en un minimum de cinq lignes. Elles serviront à mieux cerné votre personnage et également ses chances de survie.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ C'est bien triste mais s'il est mort je ne peux plus rien y faire à part éviter de me faire grappiller à mon tour. J'aurais toujours l'occasion de le venger plus tard en étant mieux armé. Si c'est déjà le cas alors je me débarrasse sur le champ de cette saloperie de tête creuse avide de chaire fraiche avant qu'elle ne me considère comme le dessert. Et dans l'éventualité où mon soit disant ami – car je ne suis pas vraiment le mec le plus sociable de la zone – n'a été que mordu, il est préférable pour lui que je lui tire une balle entre les deux yeux afin d'abréger ses souffrances car de toute manière il est condamné.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Je suis pas ce que l'on pourrait considérer comme un grand sportif mais je me défends, surtout depuis la contamination. Adepte à l'époque du jogging du matin, mon médecin m'avait toujours dit que c'était bon pour le coeur. S'il avait su que ça serait pour échapper à des saloperies de morts-vivants...Quoiqu'il en soit j'ai appris à résister de plus en plus, allant jusqu'à tenir presqu'une journée en ne faisant que de rares pauses. Ça paraît beaucoup comme ça mais croyez-moi que l'instinct de survie dans ce genre de cas vous fait pousser des ailes, que vous soyez affamés, déshydratés ou tout simplement épuisés. L'adrénaline est un excellent remède.

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Franchement il y a quelques mois de cela je vous aurais dit sans hésiter que la dite personne allait devoir sauver son cul toute seule et par ses propres moyens mais il y a quelques mois aussi jamais je n'aurais pu imaginer que Thriller de Michael Jackson serait transposé dans la vraie vie. Alors maintenant tout est possible je dirais bien que c'est loin d'être gagné. Oui j'ai tendance à voir mon intérêt avant tout. C'est malheureux à dire néanmoins mais mes chances de survie sont multipliées par deux dans ce cas, voir par trois.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Mon père adoptif était un féru de chasse à la carabine et il ne pouvait s'empêcher de m'emmener avec lui à chaque fois pour chasser toute sorte d'animaux. Donc oui j'ai déjà manipulé une arme. D'ailleurs dès que la propagation des zombies a commencé, j'ai tout de suite – comme beaucoup d'autres – vandalisé les magasins d'armements et tout ce qu'il me reste aujourd'hui c'est mon 9Mn avec plusieurs recharges sur lequel je veille jalousement, ne l'utilisant que dans les cas extrêmes pour éviter de créer des hordes supplémentaires dont on se passerait bien. Sinon à côté de ça j'ai aussi un couteau de combat que je porte continuellement à ma ceinture et que j'ai emprunté au cadavre d'un militaire mort pour protéger sa patrie, enfin.. du moins ce qu'il en restait. Pour finir, il m'est déjà arrivé aussi de dégommer du mort-vivant à l'aide d'une batte de baseball. Tous les moyens sont bons pour leur éclater la tête.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ En apparence oui, du moins à l'époque car c'était mon métier de tromper les gens. A présent au vu du fait que les masques sont tombés, que plus personne n'a besoin de faire semblant, pas vraiment non. Et je ne cherche pas à me faire accepter. Assez indépendant, j'ai tendance à vouloir me débrouiller par mes propres moyens et éviter de m'attacher aux gens, histoire peut-être de m'empêcher de souffrir en cas de perte. Dans ce monde apocalyptique nombreux vous direz que la cohésion fait la force mais personnellement ce n'est pas mon cas bien que depuis mon arrivée dans la zone j'ai tendance à un peu plus m'ouvrir sans pour autant être le mec que tout le monde veut avoir en ami. C'est sans doute mon côté terre à terre, pragmatique et trop franc qui heurtent la plupart des gens. Toutefois, bizarrement, je n'en ai strictement rien à carrer. A côté de ça je ne suis pas du genre poule mouillée à éviter de sortir de la ville sécurisée, loin de là. Casse cou et téméraire j'aurais même tendance à me porter volontaire pour y aller car ce n'est plus vraiment comme si ces cadavres ambulants me faisaient peur désormais.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ "Chez moi" (car je n'en ai pas véritablement) pour récupérer tout ce dont je vais avoir besoin. Toujours en train de bouger au vu de mon activité, il ne m'a pas fallut longtemps pour comprendre que la contamination s'étendait à tout le pays, voir bien plus et qu'il fallait un maximum éviter les grandes villes où la population était tellement concentrée qu'elle servirait trop facilement d'appâts pour les morts-vivants. Juste après ça, je suis allée récupérer un maximum de provisions dans les centre commerciaux ainsi que de quoi me protéger.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Un périmètre de sécurité. Je vérifie l'endroit, pose des pièges ou des signaux qui pourraient m'indiquer l'arrivée d'éventuels rôdeurs car il est hors de question que je me fasse bouffer alors que j'ai enfin réussi à trouver le sommeil. L'idéal sont les abris en hauteur. Ne serait-ce qu'une branche bien solide d'un arbre pour s'assoupir quelques heures.

pseudo ✄ Citizen •WaR ©. prénom ✄ Marina. Age ✄ 20 ans. pays ✄ France. sexe ✄ Féminin (enfin je crois.. xD). comment es-tu arrivé ici ? ✄ Projet sur Bazzart . que penses tu du forum ? ✄ C'est de la bomba, de la pure folie & j'ai trop hâte de trucider du zombie. avatar ✄ Joseph FUCKINGHOT Morgan. personnage inventé ou scénario ? ✄ Inventé. un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ BAZINGA !! .

« Il était une fois » ... Oh non trop banal. Et si je commençais par « il fut un temps où » ? Et puis quoi encore je ne suis pas né au Moyen Age ! Bon réfléchissons ... ah ça y est j'ai trouvé !! La vie est comme des montagnes russes, il y a des hauts et des bas mais jamais de constante. Quoi que, il y a bien plus de bas que de hauts, j'entends par là qu'on se rappelle plus de nos souffrances que de nos bonheurs éphémères. Et oui que voulez-vous je suis un éternel pessimiste mais j'ai mes raisons. Vous le seriez aussi si votre père vous aviez abandonné à la naissance et que votre très chère mère avait tenté de vous noyer dans la baignoire. Je suis cinglé c'est ce que vous vous dîtes ? Croyez-moi j'aimerais l'être sur ce plan là mais c'est bel et bien la vérité. Celle qui m'avait mis au monde était une fervente catholique ne vivant que par la Bible et ses préceptes. Tu parles d'une existence ! Quoiqu'il en soit, après seulement quelques mois de vie, les premiers symptômes de ma maladie se manifestèrent et pris de panique, elle fut persuadée que sa relation sexuelle avant le mariage avait été frappée par le diable d'une malédiction. J'étais atteint de crises d'épilepsie chroniques étant enfant et en gros j'avais été puni parce qu'elle avait batifolé avec mon paternel avant les lois sacrées de l'union que prônent inlassablement l'Église. Si ce n'est pas injuste ça. Condamné à être le fléau de Belzébuth, ma mère se mit en tête de me « laver de tout pêché ». Et quoi de mieux bien sûr que de me noyer dans les eaux aromatisées et bulleuses de la salle de bain ? La folie ça doit être de famille. Heureusement pour moi, des voisins un peu trop curieux à l'époque aperçurent le triste spectacle à la fenêtre et l'empêchèrent de commettre l'irréparable. Beuglant à qui voulait bien l'entendre qu'elle devait le faire pour protéger tout le monde, elle fut rapidement enfermée à l'hôpital psychiatrique le plus proche. Elle passa un nombre incalculable d'années là bas avant finalement d'arriver à mettre fin à ses jours en s'étranglant avec ses propres draps. Mais si je me souviens bien, le suicide … ce n'est pas interdit dans la religion catholique ? Après tout ce qu'elle a fait pour se repentir, là voilà finalement qui s'offre un allez simple pour l'Enfer si on en croit le Nouveau Testament. Quand je vous disais que la folie coulait dans nos veines. Pour ce qui est de mon père, je ne sus jamais qui il était ni à quoi il ressemblait.

Après ce début de vie prometteur je vous laisse imaginer pourquoi l'on m'a donné le nom de Samaël. Non vraiment ? Alors lisez ceci : « Samaël est une importante figure du Talmud. Il est décrit comme le délateur, séducteur et destructeur du monde. Parfois assimilé à Satan, Samaël est considéré comme le nom angélique du Diable. Ce nom signifie étymologiquement " le venin de Dieu ", l'ange de la mort ». Charmant n'est-ce pas ? C'est une preuve irréfutable de l'amour que pouvait me porter ma mère.

En ce qui me concerne, je fus confié à une modeste famille de Boston qui m'éleva dans les préceptes les plus dignes et respectables de la région. Non vous y croyez ? Sincèrement je ne serai pas ce que je suis aujourd’hui si j'avais eu une enfance normale et dénuée de vices. Mon père adoptif, paix à son âme, avait très vite compris que dans son métier de commercial, ma gueule d'ange de premier de la classe et ma capacité à apprendre très vite pouvaient lui être d'une grande utilité. Enfin je dis commercial par ce que c'était sa couverture, on aurait pu plutôt le qualifier de trafiquant ou d'escroc dans le monde des affaires. Ma mère de substitution, elle, était trop naïve pour se rendre compte de quoi que soit. Et après on s'étonne que je sois pessimiste ! Bon je vous l'accorde, c'est grâce en partie à lui que j'ai pu développer ce don précieux qu'est ma remarquable mémoire photographique, ainsi que de suivre ses traces dans la noble activé d'arnaqueur. Oui j'ai bien dit arnaqueur. Vous ne pensiez tout de même que j'allais rester pour le reste de ma vie le bébé frappé par la marque de Lucifer ?
Malheureusement ce genre de métiers peut être dangereux et mon père adoptif en fit les frais en se faisant tuer dans un règlement de compte. Au niveau héritage c'est sans doute à cause de ma véritable mère que j'ai développé une phobie prononcée pour les clowns. Ne me demandez pas pourquoi, un instinct dira-t-on, car après tout j'ai 50% de son ADN en moi. Du coup je suis techniquement composé de la moitié de son imagination morbide débordante. Ah ironie quand tu nous tiens..

(...)

« Règle 5 : Pas d'attachement, et oui car un homme qui est prêt à retourner dans la salle pour sauver un être cher est sûr d'y rester lui aussi ! »

Une règle parmi tant d'autres que je m'imposais quotidiennement depuis la contamination. La quoi me direz-vous ? Une saloperie de virus semblerait-il qui s'est mis à éradiquer la population du pays en ramenant les morts à la vie. Il faut croire que George Romero avait vu l'avenir. D'ailleurs je me demande s'il a survécu à tout ça. Peut importe en fait, l'essentiel c'est que moi par chance, ou malchance, ça dépend de la vision qu'on a des choses, j'étais toujours debout et surtout pas en ressemblant à un cadavre ambulant. Quelle bande d'abjection sur pattes ces trucs là sérieux. Là première fois que j'en ai vu un c'était dans mon lit. QUOI ?!! Ne me jugez pas si vite ! Je ne suis pas nécrophile ou zombifile appelez ça comme vous voulez. C'était juste que j'avais passé la nuit avec mon prochain pigeon lorsqu'on à mon réveil celle-ci s'était transformée en l'une de ces saloperies de morts-vivants. Du coup je l'aurais bien laisser en vie (si on peut dire ainsi) mais elle a commencé à avoir faim, donc j'ai pris la première chose qui me venait sous la main à ce moment-là, en l'occurrence la Bible de la chambre d'hôtel dans laquelle je me trouvais, et je lui ai explosé la boîte crânienne. Pour une fois que Dieu me venait en aide !.. L'épisode de la chambre d'hôtel fut la première fois où je dus en tuant un et depuis je ne les compte plus. D'ailleurs honnêtement chasser c'est sympa quand on est à couvert et qu'on est sûr de ne pas se faire surprendre par l'une des ses affreuses bébêtes, mais le mieux parfois est de tracer sa route et de se faire discret. C'est ce que j'ai fait pendant longtemps, repartant même à Boston pour récupérer ma mère adoptive. Salopard je veux bien, mais j'ai mes limites quand même. Hélas celle-ci avait préféré mettre fin à ses jours quand elle s'était rendue compte que la ville était condamnée. C'est après ça que je me mis à tracer ma route, évitant soigneusement les grandes agglomérations pour éviter de me retrouver coincé et dévoré vivant comme beaucoup d'autres, avant de finalement poser mes valises à Brazoria, au Texas, un petit patelin partiellement à l’abri du chaos ambiant que connait l'humanité en ce moment.