prénom ✄ Lùllaby, Ann. nom ✄ Sparrow. âge ✄ 25 ans. sexe ✄ feminin. nationalité ✄ américaine. origines ✄ américaines et écossaises. votre métier avant que tout cela ne commence ✄ infirmière. qualités ✄ dynamique, extravertie, franche, déterminée. défauts ✄ colérique, impulsive, râleuse, têtue. groupe ✄ kill you is my only obsession.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ Inutile de rester dans les parages s'il est mort ou condamné, le mieux est de quitter rapidement la zone en ayant pris soin d'abattre le zombie avec discrétion. Éviter les coups de feux pour ne pas en attirer d'autres mais détruire celui là pour ne pas se faire suivre. C'est sans doute ce que ferait Lùllaby dans une telle situation, au passage, pourquoi pas achever le dit ami, après tout, le laisser là agonisant ou mort - sur le point de devenir un zombie - n'est pas forcément la meilleur idée possible. Mieux vaut lui éviter le calvaire de se transformer en l'une de ces choses. En tous cas, si une chose pareille devait lui arriver, elle voudrait qu'on lui éclate la tête avec le premier objet à disposition juste pour ne pas avoir à devenir l'une de ces créatures régit uniquement par le besoin de chaire humaine et elle n'est sans doute pas la seule à penser de la sorte.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Lùlla est une fille plutôt sportive en principe. Cela dit, elle n'est pas championne d'athlétisme, disons qu'elle a fait de la danse classique pendant de nombreuses années alors elle à du souffle, et puis tout dépend du rythme de la course, elle tenait longtemps quand elle faisait son jogging matinal avant que le monde ne change, elle pouvait tenir relativement longtemps, c'est le but du jogging de toute façon. Maintenant, à pleine vitesse, on pousse plus sur les muscles, donc sur le cœur et les poumons ont du mal à suivre, disons qu'au bout de vingt-minutes il est bon de faire une pause pour réguler le système respiratoire, mais le corps humain peut tenir beaucoup plus longtemps quand il s'agit de survire, il peut même être surprenant.

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Sans aucun doute. Au yeux de Lùllaby, ça ne sert à rien de continuer à vivre dans cet enfer sans les personnes que l'on aime alors il va de soit qu'il faut être capable de tout pour les retrouver. Ça ne sert à rien de rester patiemment dans son coin à attendre que les choses bougent d'elles-mêmes. La jeune rouquine n'a pas l'impression qu'un jour ce cauchemar prendra fin et qu'à ce moment là, il sera temps de se refaire une vie. Non, il faut ce qu'on tenter de garder ce que l'on a le plus longtemps possible, qu'importe les risques.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Avant que le monde ne se barre littéralement en sucette, non, elle n'avait jamais manié d'arme de sa vie. Elle en avait bien une caché au fin fond d'un placard depuis des années et qui avait largement eu le temps de prendre la poussière. Un genre de cadeau de la part de son père, pour qu'elle puisse se défendre, enfin, elle n'en avait jamais eu besoin avant ça. Elle était fiancée avec un inspecteur de police, du coup, lui, il avait son arme de service et en cas de soucis, c'était à lui de défendre la maison pas à elle, chacun son rôle (bien qu'il ne faille pas lui demander de se comporter en parfaite ménagère, elle n'y arriverait pas). Bref, depuis que le monde est devenu un repère à zombie, elle n'a pas eu d'autres choix que d'apprendre à s'en servir sur le tas. À l'heure actuelle elle possède donc l'arme offerte par son père et elle a donné l'arme de son défunt fiancé à sa petite sœur, mais elle préfère si possible éviter d'avoir à l'utiliser, après tout les munitions de tombe pas du ciel et elle a appris dans les jeux vidéos que rien de valait le couteau de l'armée. Cela dit, elle n'en a pas et elle n'a pas la chance de appeler Leon Scott Kennedy et de pouvoir faire du corps à corps avec un zombie sans soucis ! Si les herbes magiques de resident evil existait ce serait déjà plus simple (oui, elle avait un certain côté geek avant que tout ça n'arrive).

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ En principe, Lùllaby s'adapte particulièrement bien en société, c'est une fille extravertie et sociale. Seulement aujourd'hui, il n'est plus question d'aller frappe à la porte du voisin pour lui emprunter un œuf. Les choses sont différentes et autant, elle sait qu'elle doit faire confiance aux autres, parce qu'il n'y a qu'en restant unis avec eux qu'elle a une chance de s'en sortir, cela dit, il est clair qu'à l'heure actuelle, elle ne va pas aller raconter sa vie à n'importe qui. Pour ce qui est du partage, c'est une fille plutôt généreuse et elle pense que le partage est la base dans un camps de survivants alors oui, elle partage.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Un endroit le plus isolé possible. Si les zombies se rendent la où il y a le plus de monde pour se faire un casse-croute mieux vaut s'éloigner du reste de la population, pour aller dans un coin relativement désert, ça semble le plus logique. Il serait débile de se jeter dans la gueule du loup en essayant de rejoindre les commerces, ce qui en soit peut aussi être utile. Cela dit, il vaut mieux attendre que la première vague de zombies ait quitté les lieux.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ la première chose à faire est de sécurisé l'endroit, bloquer les issues, n'en laisser qu'une seule qu'il faudra surveiller en permanence. Pour vérifier si on a de la compagnie. Il faut savoir rester sur ses gardes et surveiller en permanence les lieux. Aussi, il faut prévoir de la nourriture, peut-être sortir pour aller en chercher dans l'endroit le plus proche parce que sans nourriture et sans eau, on peut être barricadé ça n'augmente pas beaucoup les chances de survies.

pseudo ✄ sweet poison. prénom ✄ anaïs. age ✄ dix-neuf ans. pays ✄ douce fraaance, paysage de mon enfaaaance. sexe ✄ fille, les meilleures quoi. comment es-tu arrivé ici ? ✄ bazzart of course. que penses tu du forum ? ✄ il déchire sa mémé en string de guerre, c'est le paradis sur terre, c'est les zombies quoi *o*. avatar ✄ karen gillan la plus belle. personnage inventé ou scénario ? ✄ inventé de toute pièce. un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ SAISON 3 DE TWD, vite *o* ce qui serait cool, ce serait de tuer laurie, parce qu'elle est trop conne u___u enfin déjà Shane est mort, n'en demandons pas trop (a) .

« Passe moi le sel s’il te plait … » La rouquine leva le nez de son assiette pour regarder l’homme en face d’elle quelques secondes avant de faire glisser la salière jusqu’à lui, sans ajouter un mot, elle replongea la tête vers son assiette. Un triste quotidien avec lequel elle s’était accommodée ses derniers temps. Elle n’avait rien envie de dire, rien envie d’agiter, en vérité, elle n’avait même pas faim, elle ne savait pas pourquoi elle restait là à avaler de la nourriture qui la dégoutait plus qu’autre chose. Elle entendit un soupire et leva rapidement les yeux vers sa sœur cadette qui se levait de table. L’ambiance était trop insupportable pour elle sans doute. Sans le moindre mot, elle déposa son assiette dans le lave vaisselle avant de quitter la pièce. Elle la regarda s’éloigner laissant le silence s’installer de nouveau dans la pièce puis elle se remit à fixer le contenu de son assiette sans y toucher. « Il faut qu’on parle Lùllaby … » Elle releva les yeux vers lui avant de hausser les épaules, elle n’avait pas envie de parler. Elle ne voulait pas revenir sur le désastre qu’était sa vie. Sa mère avait vite comprit qu’elle serait complètement ratée si bien qu’elle n’avait cherché à comprendre, elle avait quitté l’écosse quelques temps après la naissance de sa sœur cadette. Sans un au revoir à ses filles, sans un mot à son petit ami, elle avait prit la fuite pour rentrer chez elle, dans son Texas natal. Ce n’était pas qu’une rumeur alors, les Texans étaient des enfoirés. C’est ce qu’elle avait longtemps pensé, toutes ses années où elle avait tâché de détester sa mère de tout son être. Son père n’avait jamais vraiment réussi à refaire sa vie, il était un jeune père et avait mit sa vie sentimentale de côté pour avoir plus de temps avec ses deux filles. Elle aurait aimé qu’il en soit autrement pour lui, parce qu’il méritait mieux que ça. Il méritait mieux qu’une idiote qui le laisserait avec leurs deux enfants pour repartir chez elle. C’était un homme extraordinaire. Le meilleurs de tous sans aucun doute et on pourrait presque avoir l’impression qu’elle souffrait encore du complexe d’Œdipe tant elle l’admirait. Remarquez, ce n’était pas de sa faute si aucun homme ne lui arrivait à la cheville. Bref, elle avait tant aimé cet homme qui aurait sans aucun doute tout fait pour elle et pour sa sœur. Maintenant il était mort, comme on le dit si souvent, c’est toujours les meilleurs qui partent les premiers. Il était mort d’un cancer, fichue maladie qui l’avait détruit petit à petit. Elle avait dix-huit ans à cette époque. Dix-huit ans et une sœur dont il fallait qu’elle s’occupe. Trop de pression pour elle. Elle n’était qu’une fêtarde, une adolescente qui voulait profiter de sa vie à fond, elle ne voulait pas tout mettre de côté pour s’occuper de sa petite sœur. Elle avait seize ans, elle aurait très bien pu s’occuper d’elle toute seule. Mais son père lui avait fait promettre de prendre soin sa petite et si fragile sœur. Elle n’était pas à la hauteur, elle risquait de se faire retirer sa garde et la pauvre irait de famille d’ailleurs en famille d’accueil pendant deux ans et après elle n’aurait plus qu’à faire un boulot minable pour gagner un tant soit peu sa vie. La seule solution que Lùllaby avait trouvé à ce problème c’était leur mère, cette femme tout aussi peu responsable qu’elle, celle qui les avait lâchement abandonné. Elle était dans cette ville du Texas, Forth Worth. Ainsi soit-il, elle avait décidé de la retrouver et de la forcer à prendre enfin ses responsabilités. Elle était arrivée dans cette grande ville ensoleillée elle la rouquine au teint pâle qu’on avait qu’à regarder pour deviner qu’elle venait d’Écosse ou d’Irlande. Elle n’avait jamais retrouvé sa mère, elle avait continué ses études, tâché de s’occuper de sa sœur et bien sûr elle était tombée amoureuse. La vie était belle, tout était parfait avec cet homme, le mariage était prévu pour le mois de juillet, un beau moins pour se marier et pourtant aujourd’hui tout ça était sur le point d’exploser, parce que le seul moyen de sauver ce couple c’était de parler et elle n’en avait pas la moindre envie. Parler de ce qui avait foutu leur couple en l’air, parlé de ce qui petit à petit l’avait faite se replier sur elle-même, elle qui d’habitude était débordante d’énergie et toujours souriante. Elle n’avait pas eu de chance. Elle était enceinte, à vingt-quatre ans, beaucoup disaient qu’elle était trop jeune et pourtant, elle était heureuse. Elle voulait ce bébé tout autant que lui et elle savait qu’ils formeraient une famille heureuse, parce qu’elle ne laisserait jamais tomber son enfant comme l’avait fait sa mère et parce que son fiancé était l’homme parfait à ces yeux. Elle nageait en plein bonheur jusqu’à ce soir où elle avait quitté le boulot particulièrement tard. Elle avait prit la voiture, était fatiguée et ses réflexes en étaient considérablement diminués si bien qu’elle n’a pas pu éviter ce malade qui a grillé le feu rouge et qui lui a foncé dessus. Enfoiré qui a prit la fuite et qui n’a même pas été retrouvé. Dans l’accident, elle a perdu le bébé. Sans doute la plus grosse déception de toute sa vie et depuis elle continue à vivre sans faire attention au reste du monde qui continue de tourner, elle est là à le fixer sans vouloir agir dessus. Elle ne parle quasiment pas, la plupart du temps, elle ne fait que s’engueuler avec son fiancé, comme si elle cherchait à ce qu’il lui fasse tous les reproches du monde, comme si elle était persuadée de les mériter. Elle le fixait encore ce soir sans rien dire, quand son bipper sonna. Sauvée par le gong. Elle regarda l’écran de l’engin alors que son fiancé levait les yeux au ciel. « Désolée je dois aller bosser. » Elle quitta la table, attrapa rapidement une veste avant d’enfiler ses chaussures et de quitter la maison. C’était mieux ainsi, elle ne méritait pas qu’il reste avec elle, elle qui n’avait même pas su protéger leur enfant.

Comment est-ce qu’elle en était arrivée là ? Au beau milieu de ce camps de survivants. Comment les vies de chacune des personnes ici présentes avaient pu changer aussi rapidement ? C’était incroyable. Ça avait parfois l’être d’être juste un mauvais rêve mais pourtant, elle ne se réveillait jamais. Tout avait l’air bien réel, aussi bien les cris d’angoisses qui retentissait sans arrêt dans sa tête, que le vent frais qui soufflait sur son visage. Sa vie avait changé su jour au lendemain. C’était une journée comme une autre pourtant, elle avait changé sa vie depuis environ un an. Il y avait eu ses choses sorties de nulle-part, ses gens malades qui ne voulaient qu’une seule chose : de la chaire humaine. Un véritable carnage. Des zombies comme dans ces jeux auxquels elle avait l’habitude de jouer. Elle était à l’hôpital quand tout avait commencé, comme souvent. Elle avait rejoint rapidement la maison pour y retrouver sa sœur cadette. Elles avaient prit quelques affaires, de quoi manger et avaient voulu attendre qu’il rentre du boulot. À cette pensée, elle fit tournée sa bague de fiançailles autour de son annulaire amaigrit. Elle ne l’avait pas revu, il était probablement mort. Il n’était pas revenu à la maison ce jour là. Elles avaient du partir. Il y avait eu ce zombie qui était entré et réflexe humain elle avait attrapé la première chose qui lui était tombé sous la main, à savoir une poêle posée dans le lavabo de la cuisine. Elle avait donné un premier coup pour le faire tomber au sol puis elle avait frappé, encore et encore jusqu’à ce qu’il ne reste plus grand-chose de sa tête. Elle savait que la boite crânienne d’un être humain n’était pas si résistante qu’elle en avait l’air, mais elle n’avait pas pensé être capable de faire une chose pareille, comme quoi l’instinct de survie est plus fort que tout. Elle avait compris à ce moment là qu’elles ne pouvaient plus rester là à attendre, qu’il fallait qu’elles quittent la ville, pour partir dans un endroit plus calme. Elle avait laissé un simple mot sur le frigo lui demandant de l’appeler quand il rentrerait puis elle avait sorti l’arme de son père de son armoire, celle de son fiancé du placard, armées, elles avaient quitté la maison. Maintenant elles étaient là, dans un camps de réfugier à essayer de survivre. Il ne l’avait jamais appelée, du moins, pas avant que son portable n’ait plus de batterie. Avec de l’aide, elles étaient arrivée jusque là et maintenant, elles devaient continuer à vivre aussi longtemps que possible, même si cela paraissait complètement inutile. Elle s’était souvent demandé à quoi bon vivre dans ce monde où elle avait perdu son propre enfant et maintenant qu’il ne restait plus rien de ce monde, bizarrement, la question c’était effacée, c’était devenue presque plus facile de vivre avec cette mort sur la conscience, pourtant, maintenant, c’était devenu presque inutile de continuer à vivre dans ce monde qui ne serait certainement plus jamais comme avant.