Je travaillais pour ce magazine people depuis seulement deux mois et déjà j’avais envie de me pendre. Oui car certes, même s’ils arrivaient à avoir des photos compromettante de chaque célébrité, certes qu’ils arrivaient à les descendre ainsi et avoir la confiance des lecteurs – si on peut parler de confiance – ils restaient sots. Je n’avais pas besoin de posséder le meilleur appareil du monde ni d’être vingt-quatre heures sur vingt-quatre aux trousses de ces pauvres célébrités qui tentent de se faire discrètes, je possédais déjà tous les secrets de toutes nos stars favoris. Ce que mes collègues ne savent pas c’est que je m’amuse à les faire chanter, oui je leur donne rendez-vous, ou leur envoie des messages c’est bien plus drôle de voir comment ils réagissent plutôt que de les regarder étonnés devant un magazine people – quoiqu’ils doivent avoir l’habitude maintenant, mais bon. Je préfère les contacter sous le pseudonyme de Truth, ainsi ils ne savent ni mon identité, ni où je travaille, ils ne savent rien.