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 DAWSON † l'enfer, c'est les autres.

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DAWSON † l'enfer, c'est les autres. _
MessageSujet: DAWSON † l'enfer, c'est les autres.   DAWSON † l'enfer, c'est les autres. EmptyVen 15 Juin - 9:42

PAUL RAY DAWSON
PRÉNOMS NOMS → Paul Ray Dawson. SURNOM → Ray, d'ailleurs, on ne l'appelle plus que comme cela depuis... disons, les récents événements. AGE → 34 ans. VILLE ET PAYS D'ORIGINE → New Orleans, LA. ORIGINES → Irlandaises. ÉTUDES ET/OU MÉTIER → Serveur dans un café. GROUPE → dealing with hell on earth
DAWSON † l'enfer, c'est les autres. Tumblr_lpy3sjRKAc1qcnhhzo1_500

TACITURNE SECRET RÉFLÉCHI VIF ATTACHANT




✎ Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ?Cette question est absolument stupide. Si cet individu est condamné, pourquoi tenter le diable ? J'ai déjà perdu suffisamment d'êtres chers pour savoir qu'on doit accepter la mort quand elle survient. Quel que soit le lien que je pourrai avoir avec cette personne, je ne me poserai pas la question bien longtemps de savoir si je dois ou non m'en débarrasser. Mordue, griffée, tuée, cette personne sera condamnée à devenir un rôdeur quoi qu'il arrive. La seule chose que je ferrai, ce sera de l'achever, pour le bien de la communauté.
Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? J'ai été serveur depuis mes 18 ans, et courir à droite à gauche est en quelque sorte mon job. Pendant toute une journée, je marche à travers une salle, dans un ballet d'allers-retours incessant, et grâce à cela, j'ai acquis une rude endurance. C'est ce qui fait mon principal atout pour la survie. Je peux courir longtemps sans m'épuiser, très longtemps. Être pourchassé n'est pour moi pas un problème. Les zombies se lasseront avant moi.
Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? L'être que j'aimais est mort. Je ne vois donc pas pourquoi j'irai m'aventurer dans une ville infestée de zombies pour le sauver. Je lui ai fait la promesse de rester en vie, et je ne compte pas trahir ma propre parole.
Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? Tout dépend de l'arme en question. Cela fait un an que je survis seul, et j'ai appris à me débrouiller. Les armes à feu ne sont pas vraiment mon fort, je n'ai pas eu l'occasion d'en utiliser une jusqu'ici. En revanche, les armes blanches et les objets lourds sont tout à fait de mon ressort. Si je me tient le plus possible à l'écart des combats et préfère utiliser mes véhicules pour écraser les rôdeurs, je sais très bien me servir d'un bon marteau, et je n'hésite jamais à en faire l'usage. Je possède quelque couteaux de chasse sur moi, toujours au cas où. Mon chien se charge du reste.
Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? Mon métier me permettait d'être constamment en contact avec les autres. J'étais très apprécié de mes clients, et je sais me montrer courtois, aimable et serviable avec autrui. Depuis l'apparition du virus, je survis seul, alors je n'ai pas été confronté au problème de partage des vivres, mais je saurai m'en accommoder facilement, j'en suis persuadé.
L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? En dehors des aires urbaines. Le meilleur moyen d'éviter les zombies, est d'éviter les zones autrefois surpeuplées. Là où il n'y avait que peu d'habitant, il y a peu de zombies, c'est évident. J'ai erré pendant un an dans des fermes, dans des petites bourgades perdues dans le fin fond de la Louisiane, afin d'éviter au maximum le contact des rôdeurs et les attaques. Et cette stratégie m'a maintenu en vie.





« Mon cher Paul,

si tu lis cette lettre, cela signifie que je suis mort, et que dieu merci, tu es encore en vie. J'aurai aimé te revoir une dernière fois avant de rendre mon dernier souffle, mais malheureusement, je n'ai pas eu la force de continuer, et j'espère au plus profond de mon être que tu me le pardonnera un jour. Les événements se sont enchaînés si vite, tant d'horreur et de malheur se sont produits autour de moi que ne plus t'avoir à mes côtés pour me soutenir m'a plongé dans un profond désespoir qui m'a tristement été fatal. J'ai tenté de me battre, de lutter, mais malgré tous mes efforts, j'y ai succombé. Je ne pouvais supporter ton absence, t'imaginer si loin de moi, livré à la terreur de ce monde que je ne reconnaissais plus. L'hypothèse de te savoir mort m'a anéanti, et même si tu m'as toujours répété d'être fort et de tenir bon, je n'ai pas été à la hauteur. Pardonne moi, pardonne moi Paul, car j'ai tout tenté. Je n'ai jamais cessé de penser à toi, à chaque instant, à chaque seconde, à chaque souffle, car l'amour que je te porte est si grand qu'il semblait capable de me porter et de me faire vivre malgré le peu d'espoir qu'il me restait. Tu étais tout ce dont j'avais besoin, et j'étais tout ce dont tu avais besoin. Je sais que tu pensais à moi, car je n'ai cessé d'en rêver. Je me rappelle de notre rencontre, lorsque nous étions innocents et lorsque la vie entière s'offrait à nous. Je me souviens de ce regard furtif échangé dans la salle de ton café, cet instant coupable où nous ne savions encore ce qui nous attendait. Nous ne pouvions nous l'avouer mutuellement, mais comme toi je sais qu'au fond, j'avais compris. Je t'ai aimé, dès l'instant où ton regard à croisé le mien. Je t'ai aimé depuis ce jour, et je t'aimerai à jamais. J'espère que tu restera fier de moi malgré mon geste, car tu m'as toujours soutenu de me fier à mon cœur et de ne pas regarder autour de moi, et même si je ne suis plus là aujourd'hui, je resterai à jamais auprès de toi. Ne l'oublie jamais, Paul, n'oublie jamais que je serai toujours présent. Encore une fois, je te demande pardon. Je t'aime.

Ne perds jamais espoir.
David»


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Le regard embué et le visage baigné de larmes, il ne pouvait s'empêcher de parcourir inlassablement les lignes que composaient les dernières paroles de l'homme qu'il avait aimé. Les mains tremblantes, le visage ravagé par la douleur et le chagrin, Paul contemplait les vestiges de ce qui autrefois constituait l'essentiel de sa vie. Le testament, la lettre de David était à présent toute humide des sanglots qui se déversaient continuellement sur le papier. L'écriture elle-même de l'auteur traduisait une indéniable souffrance, tant la morphologie hésitante des lettres était prononcée. Par endroits, l'encre avait coulé, visiblement suite aux larmes que David n'avait pu retenir en rédigeant ses adieux. Après d'inlassables minutes où toute volonté semblait avoir quitté son esprit, Paul reprit courage, comme David le lui avait demandé, plia le morceau de papier et le glissa lentement à l'intérieur de sa veste, contre son cœur. Le regard vide, perdu dans le lointain et le visage dénué de la moindre expression, les joues ruisselantes de larmes, Paul fixait la boîte de somnifères qui gisait sur la table de chevet de son amant. Un drap blanc était rabattu sur le cadavre de David, étendu au fond de son lit. Paul saisit tendrement la main ouverte de celui-ci, qui dépassait de la mince couverture. Le cœur serré, il ferma les yeux un instant, caressa de son pouce la peau froide et lisse, et s'éloigna de la chambre. Tout était terminé. A présent, l'espoir n'était plus. Paul avait tout perdu, ses proches, ses amis, sa famille, et à présent l'être qui lui était le plus cher au monde. Il avait subi tant de perte depuis la propagation du virus, tant de victimes... Après quelque temps, Paul avait eu tant de morts à déplorer que cela l'avait quasiment rendu insensible. Il n'avait plus rien éprouvé, ni la moindre douleur ni la moindre peine à la vue d'une dépouille... jusqu'à ce jour. David était tout ce qui lui restait, et à présent, il était parti lui aussi. Il avait néanmoins fait le choix raisonnable du suicide, au lieu de se livrer à la sauvagerie des rôdeurs. Paul n'aurait jamais pu imaginer cela de lui auparavant, David ayant toujours été pour lui un exemple de bravoure et de courage incroyable, mais après la catastrophe qui les avait tous sans exception plongés dans le chaos... il comprenait. Paul passa alors la porte de la maison de campagne qui constituait à présent le tombeau de son bien-aimé David. Se dirigeant vers l'abri de jardin qui se trouvait à quelques mètres plus loin, il se saisit d'une pelle, et entreprit de creuser un profond trou rectangulaire sous un magnifique saule pleureur qui trônait majestueusement au centre du terrain. Des tombes, il lui semblait en avoir creusé des centaines... mais jamais avec un sentiment aussi troublant que ce jour là.


Cela faisait de nombreuses semaines que le virus, où quoi que ce soit qui ait pu être à l'origine de l'épidémie s'était propagé à l'échelle mondiale. Les rues n'étaient plus peuplées que par ces êtres revenus d'entre les morts, ravagés auparavant par une fièvre fulgurante et revenus à la vie à l'état de créature enragée et avide de sang, ou ayant été mordus par d'autres congénères. Les survivants étaient rares. Les rôdeurs étaient sans pitié, et ne laissaient que peu de rescapés. Paul avait pourtant réussi à leur échapper. En se tenant à l'écart de ces monstres, en se déplaçant sans cesse de ville en ville à l'aide de véhicules qu'il dérobait à des propriétaires dont les restes devaient sans doute se trouver dans les estomacs d'une horde de zombies. Paul ne s'estimait pas fier d'avoir survécu, lui qui n'était auparavant qu'un simple serveur, un type du quotidien, qui passait ses journées à servir des cafés et à rendre la monnaie à toutes sortes de clients plus ou moins habitués. Son boulot ne consistait qu'à faire des aller-retours incessants d'une table à une autre en effectuant quelques intervalles au comptoir, et cela depuis des années. Paul avait toujours aimé son job, et ne s'était jamais plaint de sa condition mais... pourquoi lui, plutôt qu'un autre ? Pourquoi ne s'était-il pas fait dévorer les entrailles, comme tous les autres ? Il avait été épargné, miraculeusement, même si pour lui cela n'était en aucun cas l’œuvre de Dieu, le même qui avait fait disparaître sur Terre toute forme d'humanité. Après cette apocalypse, cette terrible catastrophe, Paul avait perdu toute foi en la religion. Perdre celui qu'il aimait le plus au monde, perdre tout ce qui lui était cher, et se retrouver confronté à la solitude, à la peur et à l'angoisse constante de se faire dévorer ne pouvait être un acte divin. Il n'y avait plus rien d'autre d'important que la survie, dans ce nouveau monde. L'ordre des choses établi par les hommes depuis des millénaires avait été aboli par l'apparition des rôdeurs, et désormais, la loi du plus fort prônait. C'était tuer, ou être tué.
De sa Nouvelle Orléans natale, en Louisiane, Paul avait parcouru des kilomètres de route à la recherche d'autres survivants. Accompagné de son chien, un robuste berger allemand du nom de Max, qu'il avait trouvé errant auprès d'un poste de police de la ville, il sillonnait la région, tantôt à pied, tantôt en voiture, lorsque les provisions d'essence le lui permettaient. L'animal qui le suivait était pour lui d'une aide précieuse. Doté de réflexes hors du commun de part l'entraînement militaire qu'il avait reçu lors de son dressage par la police de la Nouvelle Orléans, il se révélait grandement utile lorsqu'il était question de venir à bout d'un zombie récalcitrant. Paul n'avait jamais apprit à utiliser une arme à feu, son métier de serveur n'étant pas véritablement propice à leur utilisation. Ainsi, il n'était pas très à l'aise avec le maniement d'un pistolet, et préférait de loin les objets contondants comme les battes de baseball ou les marteaux pour réduire en bouillie les boîtes crâniennes des rôdeurs qui osaient s'approcher un peu trop près de lui. Le fidèle Max, vif et rapide comme l'éclair, l'avait pour cette raison de nombreuses fois aidé à achever les ennemis qu'il assommait préalablement d'un coup dans la tête. Mais si le combat n'était pas son point fort, Paul avait en revanche un avantage évident sur les rôdeurs : son endurance. Servir des boissons à des clients toute la journée pouvait sembler être une tâche facile et banale, mais cela lui avait permis de développer une grande capacité à tenir un rythme effréné de course sans se fatiguer. Cette qualité lui avait permis de rester en vie jusque là, bien que Paul évitait au maximum tout contact avec les zombies. Il préférait de loin s'aventurer sur les routes de campagnes et les petites bourgades autrefois tranquilles que les grandes villes. Remettre les pieds à la Nouvelle Orléans avait pour lui été depuis longtemps exclu.


Après avoir orné la tombe de quelques fleurs sauvages, Paul s'éloigna du jardin sans jeter le moindre regard derrière lui. Il avait enterré avec David les dernières traces de son passé, et à présent, il devait aller de l'avant, ne serait-ce que pour honorer sa mémoire. Son prénom, il l'oublia. Paul Dawson n'était plus. Paul Dawson était un homme différent, lié à jamais à David, et sa mort signifiait également la sienne. Le monde tel qu'il l'avait connu était parti, et il était temps pour lui de faire table rase de son propre passé. Ray. Ainsi se nommerait-il désormais. C'était une façon pour lui d'oublier sa peine et sa douleur, et d'avancer sainement. Le temps était clément ce jour là. La zone était visiblement épargnée par les zombies, ce qui laissait à Ray un peu de répit pour faire le deuil de son amour envolé. D'un pas ferme, il se dirigea vers la porte coulissante du garage de la maison, et l'ouvrant à l'aide de la clé métallique glissée sous le tapis de l'entrée, s'introduit dans l'espace clos et sombre. Ray émit un sifflement à l'adresse de son chien, qui l'attendait sagement sur le siège passager du pick-up garé dans l'allée. « MAX ! Viens là mon grand ! » Le berger allemand, alerté par la voix de son maître, bondit par la fenêtre ouverte et accourut auprès de Ray, auquel il adressa un aboiement joyeux. L'homme le flatta d'une caresse à l'encolure, et le laissa renifler les alentours, afin de repérer la présence d'un éventuel rôdeur dissimulé dans l'ombre et le désordre du garage. Mais Max n'émit aucun aboiement suspect. Le périmètre était donc sûr. Plus important encore, l'élément que Ray était venu chercher dans cette pièce, était bien là. La moto de David, un petit bijou de technologie et de puissance. Au niveau de la roue avant, se trouvaient quelques bidons d'essence remplis. Le Saint Grâal. Les clés se trouvaient sur le contact, et une note écrite à la hâte était posée sur le siège en cuir. « Elle te sera plus utile qu'à moi, fais en bon usage. » Ray esquissa un léger sourire, rabattit ses lunettes de soleil sur son nez, et entreprit de déplacer la machine à l'arrière du pick-up, ainsi que les bidons d'essence. Il entreprit alors de reprendre la route, et abandonna derrière lui ce qui avait été autrefois sa vie. Pendant des jours, Ray parcourut les routes du sud de la Louisiane, jusqu'à atteindre le Texas, où il découvrit alors Brazoria. En passant devant le panneau de la ville, Ray eut une sorte d'instinct. Il ralentit, fronça les sourcils et observa les alentours. Il savait au fond de lui que quelque chose de particulier se trouvait dans cette ville. Il ne savait pas véritablement quoi, mais quelque chose s'y trouvait, c'était certain. Ray conduit quelques mètres et gara son véhicule derrière un bosquet d'arbre épais, et descendit la moto qui se trouvait toujours à l'arrière du pick-up. Il enfourcha l'engin, et progressa lentement, afin que Max puisse suivre la cadence. Le bruit du moteur aurait dû alerter des zombies, s'il y en avaient eu mais... étrangement, Ray ne perçut aucun grognement suspect. A sa plus grande surprise, lorsqu'il pénétra dans la Brazoria intramuros, il aperçut... de l'agitation, mais pas l'agitation singulière des rôdeurs... non. Des gens. Après 1 an de solitude, après 1 à rechercher des survivants sans succès... enfin, il n'était plus seul.




T'es qui toi ?

pseudo ✄ Emmie. prénom ✄ mouhahaha. age ✄ 17 sous peu pays ✄ France sexe ✄ F comment es-tu arrivé ici ? ✄ Grâce à une pub sur Bazzart que penses tu du forum ? ✄ Il m'a l'air super ! Et puis... j'adore les séries et films de zombies alors... je pense que je vais bien m'amuser !avatar ✄ Michael Fassbender personnage inventé ou scénario ? ✄ Inventé autres personnages ✄ Que nenni! un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ j'aurai bien aimé écrire un grognement de zombie bien méchant mais... je sais pas trop comment en fait hahah

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Dasha A. Evans-Carter

Dasha A. Evans-Carter

ZOMBIES TUES : 175
INSCRIPTION LE : 10/05/2012


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MessageSujet: Re: DAWSON † l'enfer, c'est les autres.   DAWSON † l'enfer, c'est les autres. EmptySam 16 Juin - 3:34

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MessageSujet: Re: DAWSON † l'enfer, c'est les autres.   DAWSON † l'enfer, c'est les autres. EmptySam 16 Juin - 8:35

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MessageSujet: Re: DAWSON † l'enfer, c'est les autres.   DAWSON † l'enfer, c'est les autres. EmptySam 16 Juin - 10:38

Merci à vous tous DAWSON † l'enfer, c'est les autres. 2124793060 DAWSON † l'enfer, c'est les autres. 1524524252 DAWSON † l'enfer, c'est les autres. 2013935694
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