BLACK RAIN™
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 ❝AVSHALOM.

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❝AVSHALOM. _
MessageSujet: ❝AVSHALOM.   ❝AVSHALOM. EmptySam 26 Mai - 7:52

❝AVSHALOM. Tumblr73
❝ chenaiah avshalom deshaun ❞
prénom(s) ▽ chenaiah, avshalom. nom ▽ deshaun. âge ▽ vingt-deux ans. sexe ▽ masculin. nationalité ▽ américaine. origines ▽ britanniques. votre métier avant que tout cela ne commence ▽ prostitué. qualités ▽ altruiste, honnête, obéissant, doux, fleur bleue, courageux. défauts ▽ anxieux, hyper sensible, influençable, bavard, pessimiste, maladroit. groupe ▽ i’ll run away screaming.


Night full of death and some say end of times
Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisée et un zombie vient de mordre votre ami. Vous savez qu'il est condamné, que faite-vous ? ▽ Avshalom doit bien avouer qu’il ne s’est jamais posé la question. Il évitera d’ailleurs de répondre à celle-ci si quelqu’un lui demande. Il bégaiera, fera une moue étrange, prétextera une fausse excuse et partira en baissant les yeux. C’est le genre de garçon peureux qui fera tout pour contourner le danger, même s’il vient bien souvent à lui de lui-même, en bon maladroit qu’il est. Dans tous les cas, il tentera sûrement d’aider quelque peu la personne avant de devoir partir. Il ne lui viendra jamais à l’idée d’abréger les souffrances du blessé, même s’il le lui demandait. Au mieux lui trouvera-t-il quelque chose pour en finir, mais il ne s’occupera jamais de le faire personnellement.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ▽ Avshalom était un jeune homme plutôt sportif, mais c’était davantage pour entretenir sa santé et sculpter son corps. Il n’a cependant jamais apprécié la course à pied. Il pourra certainement courir une vingtaine de minutes à un rythme soutenu avant de devoir cracher ses poumons. Par contre, avec l’adrénaline, il risquera fort de taper un sprint étonnant. Instinct de survie oblige.

Serez-vous capable de traverser la ville infestée de zombie pour retrouver l’être que vous aimez ? ▽ Avshalom est du genre courageux et impulsif. Mais il est également maladroit et stupide. Sa toute première idée sera idiote et il se mettra à courir sans réfléchir pour tâcher de retrouver cette personne. Il se rendra vite compte de la connerie qu’il aura faite et voudra rebrousser chemin rapidement. Il cherchera quiconque pourra l’aider pour revenir en ville avec l’attirail nécessaire. Et même s’il ne saura pas comment s’y prendre, il se sentira bien plus protégé avec une arme à feu qu’il aura piqué — bah oui, ne soyons pas naïf, personne ne voudra lui céder un tel joujou.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ▽ Avshalom s’est déjà amusé à tenir une arme dans ses mains. Il a même tiré quelques fois pour rire. Mais il n’est absolument pas un expert en la matière et rate bien souvent ses cibles — pour ne pas dire tout le temps. Avec un peu d’entraînement, il pourrait vite s’améliorer. Il n’a pas peur des armes à feu et trouve même ça plutôt cool. Pour l’instant, il se contente de sa batte de baseball et de sa machette qu’il sait manier à merveille. Après tout, ce n’est pas bien compliqué : quand vous l’avez bien en mains, suffit d’y aller de toutes ses forces.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ▽ Avshalom est une personne ordinaire. Il n’a jamais brillé en société et ne le souhaite pas. Il s’adapte à son environnement et aux personnes qu’il côtoie. Il est très malléable et influençable; il se plie aux exigences et fait bien souvent ce qu’on lui dit de faire. Il n’aime pas se sentir rejeté et apprécie qu’on l’aime. Alors quand quelqu’un lui demande son aide, il acquiesce sans réfléchir.

L’apocalypse vient tout juste de commencer, quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ▽ Avshalom a toujours vécu dans la maison close d’Abishaï. Il ne la quitte que très rarement. Le jour de l’apocalypse, il devait certainement se trouver aux côtés des autres prostitués. Il a dû suivre les instructions d’Abishaï à la lettre pour se sortir de cette merde. C’est une personne en qui il a entièrement confiance.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quelle est la première chose que vous faites ? ▽ Avshalom est obéissant, il fait ce qu’on lui dit. Il tâchera donc d’écouter les précieux conseils d’Abishaï pour protéger l’endroit et s’assurer que personne ne viendra les déranger. Trouver de la nourriture et de l’eau sera certainement l’une des premières choses à faire. En bon aventurier, il devra aussi vérifier qu’aucun rôdeur n’est dans le coin.


I'm coming back from the dead and ill take you home.
Avant l'apocalypse : première personne du singulier; Après la zombisation du monde : troisième personne du singulier.

« J’en ai vraiment RAS LE FION de toi et tes putains de crise. Tu fais chier. » Je sortis de ma chambre, furibond, poursuivi par ma mère en nuisette. Elle avait les cheveux en pétard. Son mascara dégoulinait sur son visage telle une vieille route mal goudronnée. Ses lèvres étaient gercées et meurtries par endroit. Elle avait sa mine de tous les jours. Je me ruai dans le salon, me laissant tomber à plat ventre sur les restes de pizzas et les cadavres de bières qui gisaient sur le canapé. « INSUPPORTABLE. J’en peux plus de vivre ici avec toi. Tu m’en fais voir de toutes les couleurs. Je vais craquer… » Sanglotait-elle, une main posée sur la hanche, l’autre tenant une clope. Ses jambes si maigres et violacées tremblaient toutes seules. « ARRÊTE DE CHIALER, CONNASSE. C’est MOI qui te supporte plus. T’es complètement tarée ma parole ! Faut te faire soigner. » Je me redressai, attrapant une petite boite métallique posée sur la table-basse. « J’comprends pourquoi celui qui t’a baisé pour me faire s’est barré aussitôt. » Du coin de l’œil, je vis les doigts de sa main droite tressauter. J’avais volontairement évité d’employer tout terme évoquant une quelconque relation paternelle avec cet individu. J’ouvris la boîte, sortant un petit sachet de poudre blanche. La coke ou l’héro, mes deux seules amoureuses. La réponse de ma mère ne se fit cependant pas attendre plus longtemps et une claque phénoménale me décrocha pratiquement la tête. Rapidement, je me relevai, faisant face à cette stupide femme de mon mètre soixante-quinze. « Si tu crois me faire peur, tu te trompes. Putain. » Je sifflai entre mes dents, serrées comme un étau, à tel point que ça me donnait mal au crâne. Ma main se porta instinctivement sur le buste de ma mère, pour remonter jusqu’à sa gorge. J’exerçai une légère pression sur sa trachée. « Vire de chez moi. » Et je me laissai tomber à nouveau dans le fauteuil. Je vis son regard de folle furieuse me mitrailler. Elle poussa un hurlement strident et commença à exploser sur le carrelage toute la vaisselle qu’elle put chopper à portée de main. « T’AS GAGNÉ, J’ME TAILLE. » Je ramassai quelques affaires dans ma chambre, enfilai une veste avec rapidité et je claquai la porte d’entrée pour de bon.

Après cet épisode, dès que j’eus atteint le point de non-retour, on me vira de mon lycée. Je n’y avais jamais mis les pieds et le directeur ne s’était pas fait prier pour m’exclure. J’avais dix-huit ans, j’étais sans diplôme, sans emploi, sans attache. J’étais livré à moi-même, bien plus qu’auparavant. Que pouvais-je faire seul à Jacksonville ? Je ne faisais que ce que je savais faire de mieux : fréquenter les mauvaises personnes, m’amuser jusqu’à en vomir mes tripes dans les caniveaux, me droguer jusqu’à en perdre toute notion du temps et de l’espace. Je vivais aux crochets des autres, taxant des clopes à mes potes, piquant de l’argent dans le portefeuille des mecs que je baisais, me procurant de la drogue auprès de quelques dealers fiables.

Durant une de mes habituelles rave-parties, j’ai rencontré un certain Abishaï. Alors que la musique battait son plein, faisant vibrer nos âmes en perdition au rythme du son, nos regards se croisèrent parmi la foule. L’excitation montait en moi telle une flèche. Je ne pouvais expliquer cette réaction. La drogue. La bière. La musique. Ses yeux persistants. Je me faufilai à travers les gens, tâchant de passer sans me tôler. J’agrippai rapidement son avant-bras, posant ma main moite contre sa peau humide de sueur et d’alcool. Je me sentis alors happé par la foule qui tressauta au moment où les vibrations de la musique se firent de plus en plus fortes. Les cris d’euphorie emplirent mon crâne et je me laissai tomber en arrière. Ma main qui tenait le bras d’Abishaï commença à glisser mais je l’emmenai dans ma chute avant même de pouvoir lâcher complètement prise. Par chance, certains eurent la fabuleuse idée de s’écarter, nous accordant suffisamment de place pour nous écraser lourdement dans l’herbe boueuse. Je poussai un râle. Merde, c’était froid et dégueu. Au moment où j’ouvrai les yeux pour me rendre compte de cette situation pitoyable, je vis Abishaï qui me dévorait littéralement du regard. Je plaquai sans ménagement mes mains salies contre ses joues, approchant dangereusement ses lèvres des miennes. Je pouvais sentir sa respiration haletante. Nos lèvres se cherchèrent un instant et finirent par se trouver. Ma langue s’aventura dans sa bouche avec parcimonie. Juste ce qu’il fallait, pas plus. On est resté à terre une bonne dizaine de minutes, s’emballant comme de jeunes adolescents en émoi. Finalement, on nous a relevé, nous hurlant de dégager parce que les flics avaient débarqué. Sans chercher à comprendre, Abishaï me tira par la main et commença à courir. Je le suivis tant bien que mal, titubant presque sous les effets de la drogue et de l’alcool. On se frayait un chemin à travers l’émeute qui commençait à se produire. Au passage, je me pris deux ou trois coups de bras. Je pissais le sang par le nez, ma vue se troublait légèrement. Finalement, je me laissais presque baller contre Abishaï qui me tint sans grande difficulté.

Cette rencontre changea le cours de ma misérable vie car j’intégrais ensuite la maison close d’Abishaï. Même s’il était proxénète, il restait un homme de valeurs. Abusivement protecteur, il ne laissait aucun client faire de mal à ses bijoux et entretenait une relation fusionnelle avec chacun d’eux. Toutefois, n’ayant jusqu’alors jamais partagé le lit de ses prostitués, il fut déconcerté quand il se rendit compte des sentiments qu’il éprouvait à mon égard. J’étais la seule personne à qui il se confiait et auprès de qui il passait ses nuits une fois la journée terminée.

❝AVSHALOM. 644994newsfooterline
Le froissement des vêtements. Les respirations haletantes. L’envie grimpante. L’alignement des billets. Une nouvelle passe pour moi dans ma petite chambre du motel. Je fermais la porte de mon pied et poussais davantage l’individu dans la pièce. L’homme était un cinquantenaire, cheveux poivre et sel, un petit ventre rebondi. Il était tout aussi grand que moi, si ce n’est un peu moins. Dans ce genre de moment, quand le client me répugnait au plus haut point, je tâchais de penser à l’amoncellement d’oseille. Une vague de doute s’empara de moi quand je sentis bientôt les mains robustes de l’homme descendre dangereusement vers mes fesses à travers mon jean. L’image d’Abishaï me revenait en pleine tronche comme un uppercut. Je me faisais violence pour ne pas me mettre à pleurer. Je réalisai à quel point j’étais fou de lui. Cet homme me faisait vibrer comme personne n’avait jamais su le faire. Quand je ne le savais pas près de moi, je m’inquiétais. Je me demandais ce qu’il pouvait bien faire de son temps libre, s’il pensait à moi, s’il s’adonnait à des activités extraconjugales, s’il se saoulait… Notre relation n’était peut-être pas commune aux autres, mais c’est ce qui faisait notre force.

Le cinquantenaire me rappela à la réalité quand il palpa mon séant de ses mains baladeuses et tremblantes d’excitation. Je fermai les yeux, me contraignant à penser à quelque chose d’excitant. J’avais beau réfléchir, passer en revue nos moments d’amour avec l’autre débile, je n’avais pas envie de partager de telles pensées avec un client. Je m’y refusais catégoriquement. C’est seulement quand je repoussai un peu plus le vieux avec un sourire entendu qu’il sortit aussi vite son chéquier de sa veste, comme s’il avait tout prévu. Son stylo noir aux finitions dorées gratta fébrilement le rectangle de papier bleuté. « Tu sais pertinemment que je ne prends que les espèces, chéri. Ne me prend pas pour un con, veux-tu. Ou je remballe la marchandise. » Dis-je en me tenant le paquet d’un geste assuré. Il ria jaune, laissa son chéquier en plan et entreprit de prendre son portefeuille. Mes mains se croisèrent instinctivement dans une joie non dissimulée à mesure que les billets tombaient délicatement sur la table basse. Sauf que le prix commençait à atteindre des sommets étranges. Je me mordis la lèvre inférieure, tiraillé entre l’envie de faire cette passe et celle de rebrousser chemin illico-presto. Je savais exactement ce que voulait le vieux. Les cinq-cents billets annonçaient une nuit entière de galipettes. « Prépare-toi mon mignon, je reviens. » Et je filai dans la salle de bains.

Décroche bordel. La voix d’Abishaï et son habituelle insulte tonnèrent au bout du fil. J’étais assis sur le rebord de la baignoire. Ma jambe tressautait d’anxiété. « Je rentre pas. On veut me garder cette nuit pour cinq-cents billets… » Je savais que ça n’allait carrément pas lui plaire, que notre arrangement était de toujours rentrer à ses côtés, de ne jamais l’abandonner, de ne jamais faire de passe en dehors de la maison close. J’allais faire une première entorse à notre règlement qui scellait notre vie de «couple». Évidemment, il s’emporta et c’était tout bonnement légitime. J’entendis un bruit de verre cassé. « Et putain arrête de toujours tout péter quand quelque chose te plaît pas. Un jour tu vas finir par brûler la baraque ou carrément me buter… Soupirai-je. Et puis tu peux très bien te passer de moi pour te finir à la main devant un de tes petits pornos avec ces connasses. » Je détestais ces filles. Elles étaient ma hantise. Qu’il parte avec une gonzesse était une réelle phobie. À tel point que je m’en rendais malade. Et il se jouait de ça, même s’il savait qu’au final il souffrirait à son tour en me voyant dans un sale état. Finalement, hurlant de rage, il coupa court à la discussion et me raccrocha au nez après une énième insulte. Je me levai de la baignoire. Je posai mon portable sur le rebord du lavabo et mes yeux se posèrent sur le miroir face à moi. Je restai silencieux, me sentant terriblement coupable de le savoir si malheureux par ma faute. Mais je l’avais prévenu; il savait que je ne changerai pas. Au final, ne m’avait-il pas choisi pour ce que j’étais ? Je me réfugiais derrière cette excuse pour ne pas devoir faire face à mes responsabilités, pour ne pas devoir me montrer faible et céder à mes sentiments. L’amour était quelque chose que je redoutais profondément tant j’avais peur d’être meurtri. Sauf que j’étais déjà tombé pour lui… Je l’aimais. Vraiment. Et dans un élan désespéré, retenant atrocement mes larmes, je me ruai sur mon téléphone pour en retirer la coque. D’un geste fébrile, je décrochai la batterie. Une petite photo d’Abishaï virevolta un instant pour venir s’écraser telle une plume sur le carrelage. Je la pris entre mes doigts pour la fixer. La minute qui suivit, je sortis de la salle de bains. La nuit fut éprouvante.

Mes yeux fixaient le plafond tandis que je tirai lentement sur ma clope. Le vieux ronflait à côté, le cul à l’air. Mon regard se posa un court instant sur ce séant répugnant et flétri. J’eus un haut-le-cœur et je me levai précipitamment, laissant tomber ma cigarette sur ma cuisse. La douleur m’empêcha de vomir mais je me mordis violemment pour ne pas hurler, prenant la clope entre mes doigts pour venir l’écraser dans le cendrier posé sur la table de nuit. Je m’habillai en vitesse, prenant au passage les cinq-cents billets pour les mettre dans ma veste. Je ne pris pas la peine de réveiller le vieux. Il était à présent sur le dos. Toujours à poil. L’horreur. J’attrapai son stylo de bourge sur la table basse et entrepris de lui écrire «merci» sur son bide gonflé. La minute qui suivit, j’avais quitté le motel.

❝AVSHALOM. 644994newsfooterline
« Vous faites vraiment chier sérieux… » Avshalom frappa du pied dans une bouteille en verre sur le sol. Le soleil frappait fort, l’air était irrespirable. Le Texas était une région horrible quand la chaleur s’installait réellement. Le jeune homme était accompagné d’Abishaï et de quelques autres personnes qu’ils avaient rencontrés. Un petit groupe qui s’affairait à trouver de quoi manger et se désaltérer. Le garçon s’était pourtant fâché quand ils avaient décidé de se séparer. C’était généralement un plan qu’Avshalom détestait, par peur de se retrouver seul à tomber nez-à-nez avec un rôdeur dans le but de chercher des trucs introuvables. Abishaï s’amusait à déambuler avec son fusil à pompe à la main tandis que les autres fouillaient dans les quelques voitures abandonnées et les sacs. L’ancien prostitué posait lentement un pied devant l’autre, semblant presque flâner en observant le ciel. « T’as le droit de donner un coup de main tu sais. Tu risques pas de mourir d’épuisement en tout cas… Ouais, mais je risque davantage de crever bouffé par un zombie qui sortira sa tête d’une portière que j’aurai ouverte. Et là tu chialeras toutes les larmes de ton corps parce que je finirai comme lui à essayer de mordre ton joli p’tit cul. Au lieu de dire de la merde, reste bien derrière moi trésor. » Avshalom et Abishaï avaient cette particularité d’être si fusionnels et de se suffire à eux-mêmes. Bien qu’ils eussent été accompagnés un temps par ce groupuscule, c’était surtout par instinct de survie. Les chances de rester en vie en étant à plusieurs étaient accrues : quand une horde de rôdeurs surgissait, il fallait tout simplement courir plus vite que les autres. L’apocalypse s’était emparé de la terre; quand quelqu’un se faisait dévorer, ça en devenait banal pour certains, mais ça restait quelque chose d’atroce pour Avshalom. Jamais il n’avait pu se faire à ce nouveau monde même si Abishaï tâchait de le booster un maximum. Bientôt, il allait devoir apprendre à utiliser une arme à feu. La batte de baseball s’avérait efficace mais plus les mois s’entassaient, plus les zombies devenaient nombreux. Et contre une horde, un simple bout de bois devenait futile.


t'es qui toi ?
pseudo ▽ che. âge ▽ la vingtaine. pays ▽ france. sexe ▽ masculin. comment es-tu arrivé ici ? ▽ via bazzart. que penses-tu du forum ? ▽ beau. ❝AVSHALOM. 2124793060 avatar ▽ harvey newton haydon. personnage inventé ou scénario ? ▽ inventé. un dernier mot avant l'apocalypse ? ▽ on va tous creveeeeeeeeer. ❝AVSHALOM. 3306457513


Dernière édition par C. Avshalom Deshaun le Sam 26 Mai - 11:14, édité 4 fois
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ICD
Hope E. Wenson

Hope E. Wenson
ICD

ZOMBIES TUES : 555
INSCRIPTION LE : 11/05/2012


ce qu'il y a dans mes bagages
inventaire:

❝AVSHALOM. _
MessageSujet: Re: ❝AVSHALOM.   ❝AVSHALOM. EmptySam 26 Mai - 8:02

Bienvenue, bon courage pour ta fiche I love you
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Invité
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❝AVSHALOM. _
MessageSujet: Re: ❝AVSHALOM.   ❝AVSHALOM. EmptySam 26 Mai - 10:08

Bienvenue ❝AVSHALOM. 833574364 I love you
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Sheena

Sheena "Mouse" Westbrook

ZOMBIES TUES : 996
INSCRIPTION LE : 24/04/2012


ce qu'il y a dans mes bagages
inventaire:

❝AVSHALOM. _
MessageSujet: Re: ❝AVSHALOM.   ❝AVSHALOM. EmptySam 26 Mai - 11:32

Très bon choix d'avatar ❝AVSHALOM. 2124793060 Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche ❝AVSHALOM. 1132514435 Si tu as des questions n'hésite pas I love you
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❝AVSHALOM. _
MessageSujet: Re: ❝AVSHALOM.   ❝AVSHALOM. EmptySam 26 Mai - 11:55

Ouais un nouveau vert ❝AVSHALOM. 4276145973
Ta fiche me semble complète je peux donc te valider ❝AVSHALOM. 653229401
Tu peux désormais poster une fiche de liens ainsi qu'une fiche de topic. Tu peux aussi créé un scénario, mais n'oublie pas de bien suivre les règles I love you N'oublie pas d'aller faire ta demande de logements, tu pourras aussi faire une demande de mission et personnalisé ton rang. Soit sur d'avoir bien lu toutes les annexes pour bien te repérer (: Amuses toi bien parmi nous et n'hésite pas à te rendre sur la chatbox et dans la partie hors jeux pour pouvoir t'amuser ❝AVSHALOM. 1132514435


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MessageSujet: Re: ❝AVSHALOM.   ❝AVSHALOM. Empty

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