prénom ✄ Anastasia Mara nom ✄ Tachaïkovski. âge ✄ Vingt-sept ans. sexe ✄ Attendez, je regarde sous ma jupe. nationalité ✄ je me fais passer pour une Américaine, mais je suis en réalité Russe origines ✄ Russe votre métier avant que tout cela ne commence ✄ J'étais un agent du KGB, les services secrets russes. J' occupais un poste de tireuse. qualités ✄ calme, réfléchit, pragmatique, intelligente, observatrice, fidèle, joueuse.. défauts ✄ solitaire, méfiante, rancunière, susceptible, froide. groupe ✄ kill you is my only obsession

Dans cette partie vous devez répondre aux questions suivantes en un minimum de cinq lignes. Elles serviront à mieux cerné votre personnage et également ses chances de survie.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ Vous croyez quoi, je suis passé par cette étape dans ma vie, j'ai tué mon propre père qui venait de se faire mordre sous mes yeux. J'aurai peut-être pu le sauver, tuer le zombie avant qu'il ne le morde, mais que voulez-vous, je n'ai pas été assez rapide - pour une fois. Alors si un jour un ami se fait mordre, je n'hésiterai pas une seule seconde à lui mettre une balle entre les deux yeux. Une vie pour dix, c'est ce que je me dis sans cesse.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Quand la peur vous prend au ventre, que votre coeur n'est plus qu'une boule qui frappe dans votre cage thoracique et que vos poumons sont en feu, vous pouvez courir jusqu'à être aveuglé par les larmes qui vous montent aux yeux, en tout cas c'est ça pour moi. Je peux courir aussi longtemps que la peur me nouera l'estomac, ce n'est qu'une question de survie. Courir, sans cesse courir.

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ L'amour ! Je pense sincèrement que c'est la seule raison pour laquelle on est encore tous vivants. Oui, pour l'amour d'une mère, d'un père, d'un frère, d'un homme, d'une femme, ou même l'amour de soi - pour ceux ayant un ego sur dimensionné. Donc oui, je serais capable de traverser la ville en courant pour retrouver celui que j'aime. Je l'ai d'ailleurs fait pour mon petit frère. Bien sur je le ferais que si la personne en vaut vraiment la peine, et seulement si je sais qu'elle aurait fait la même chose pour moi.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Je pense qu'en me posant cette question vous vous foutez de moi non ? Si moi j'ai déjà manié une arme ? C'est peu dire. Je fais partie du KGB, en tant que tireuse d'élite, donc oui, j'ai déjà bel et bien manié une arme, et pas n'importe laquelle. J'ai même - enfin j'avais - un bel arsenal.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ Je ne suis pas le genre de fille égoiste, et je peux vous dire que dans l'armée, on déchante vite. On apprend à tout partager, même sa culotte quand il faut - oui je sais c'est trash. Non mais sérieusement, j'ai appris à vivre en communauté, à partager ce que je possédais, mais si je vois que les personnes autours de moi ne font pas la même chose, vous pouvez être certain que je lui ferais savoir que ça va pas le faire longtemps.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Déjà éviter tout ce qui est immeuble, boutiques, maisons, vous pouvez être certain de trouver une population énorme de Zombies déjà bien infectés. Hum, j'aurais dit une base militaire mais on a pas toujours sous la main. Me réfugier ... où me suis-je réfugié d'ailleurs ?! Ah oui, dans une usine désinfectée, il y a peu de chance de croiser quelqu'un, sauf si un zombie désire lui aussi se réfugier dans un endroit désert, ce qui est très rare puisqu'ils recherchent la chair fraîche.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Je vérifie avant tout que les environs sont désert. Une fois que je me suis assurée d'être bien seule, je me cache derrière quelque chose et je tends l'oreille - les zombies ne sont pas discrets du tout. Je vérifie tout mes chargeurs au cas où, je regarde si je n'ai pas perdu un couteau en route, et je mange une barre de céréales, histoire de me redonner un peu de forces, ne pas oublier, c'est important si on veut encore courir quelques kilomètres pour sauver sa peau. .

pseudo ✄ B'choux. prénom ✄ Anaïs ♥. age ✄ 18 -19 jours. pays ✄ France. sexe ✄ je ne connais pas beaucoup de mecs s'appelant Anaïs (a) comment es-tu arrivé ici ? ✄ Topsite :D. que penses tu du forum ? ✄ Il eest suuuperbement beau, j'aime beaucoup, puis je cherchais un forum fantastique qui ne soit pas trop sombre, je suis bien tombée ! . avatar ✄TERESA PALMER LAPLUSBELLE. personnage inventé ou scénario ? ✄ Scénario duplusbeau Evender un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ RHAAA j'vais tous les buter ces saletés de zombies ... et j'espère que vous m'intégrerez bien (a)

Les rues vides de Chicago me donnaient envie de courir, de me barrer d’ici. Qu’est-ce que je foutais là d’ailleurs ?! C’était comme si j’étais en plein cauchemars, ou en plein jeux vidéo, du genre call of Duty mission zombie, Oh encore mieux, comme si ma vie faisait partie de ce film « Zombieland ». Mon dieu, c’était comme si tout venait de partir en fumée - POUF. Et tout me revenait soudain en plein visage.
Ma mère était morte deux ans après la naissance de mon petit frère, ça avait été tragique pour moi. Ma mère et moi avions toujours été très proches, et sa disparition dévoila une autre facette de ma personnalité. Je n’avais que douze ans lorsqu’elle est morte, ce qui a littéralement ruiné ma vie. Perdre un parent trop tôt est quelque chose qui vous transforme, c’est une expérience douloureuse, tout comme perdre un enfant – même si c’est bien plus difficile de voir son enfant partir avant soi, ça n’est pas dans la logique des choses. Mais Irina Tchaïkovski était tout pour moi, elle m’avait appris tout ce que j’avais eu besoin d’apprendre – peut-être avait-elle pressentit qu’elle partirait trop vite. C’est donc moi, à a peine douze petites années de vie, qui dû m’occuper de mon père qui se noyait de tout son saoul dans l’alcool – et ce n’est pas peu dire, les Russes sont tous tombés dans la marmite de distillation de la vodka, ils sont donc bien plus que résistants à ses degrés – mais mon père se laissait aller dans l’abandon de lui-même, buvait une bouteille de vodka par jour, nous hurlait dessus, mon frère et moi. Il était devenu une larve incapable de se bouger le cul, ce n’était plus qu’un légume qui s’hydratait à grand verre de vodka pure, ce fut donc moi qui dû élever mon petit frère, seulement âgé de deux ans. Je savais pertinemment que pour Dimitri c’était dur, être élevé par une sœur, et non par une mère et un père, comme dans toutes les familles. Mais déjà petit il était résistant.

Les années passaient, mon frère grandissait tant bien que mal, et je ne faisais plus attention à mon père. Ma seule préoccupation était que mon petit frère grandisse bien, qu’il ait une éducation et que sa vie se passe sans tracas. J’étais plutôt une très bonne élève. Passionnée par les langues, j’en eu rapidement appris huit, c’était simple, et ça allait me permettre d’aller n’importe où, de vivre n’importe où d’ailleurs, car je comptais bien quitter cet endroit pourrit qui me rappelait beaucoup trop de choses et qui me tuait à petit feu. A 18 ans – Dimitri était âgé de huit ans et savait se gérer seul – j’eu la sublime idée de m’engager dans l’armée. J’avais envie de tenter de nouvelles choses, de voir de quoi j’étais capable et puis j’avais besoin de me prouver à moi-même que j’étais forte, après être passée par des tonnes de choses, j’avais envie de voir jusqu’où mon mental d’acier allait me mener. Je ne fus pas déçu. Je rentrais tous les weekends afin de ne pas laisser mon petit frère tout seul trop longtemps, il n’avait que huit ans et je ne pouvais certainement pas compter sur notre père. Heureusement, tout comme ma mère l’avait fait avec moi, j’avais appris tout ce qu’il fallait à Dim’. Ainsi il savait faire à manger tout seul, faire le ménage, faire tourner la machine à laver et le lave vaisselle, savait prendre le bus seul, faire les courses … comme je l’avais fait moi-même. Et il s’en sortait très bien. De toute évidence, nous étions une famille de débrouillards. Nous n’avions besoin de personnes, sauf peut-être l’un de l’autre.