prénom ✄doyle. typiquement british, son père est un anglais exilé en amérique nom ✄tairdelbach. son réel nom de famille est conan. mais ce n’est pas supportable pour lui, alors sur sa carte d’identité, tu verras tairdelbach. parce que doyle conan, y’en a que ça ferait rire. âge ✄trente-deux ans. sexe ✄mâle. nationalité ✄américaine. origines ✄anglaise et irlandaise. votre métier avant que tout cela ne commence ✄agent de police de la L.A.P.D. le genre de mec qui crie « LAPD ! LESMAINSENL’AIRCONNARD! » en défonçant des portes sans trop comprendre pourquoi. qualités réécrituuure no jutsu. groupe ✄dealing with hell on earth.

Dans cette partie vous devez répondre aux questions suivantes en un minimum de cinq lignes. Elles serviront à mieux cerné votre personnage et également ses chances de survie.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? Je le scrute pendant quelques secondes. J'hésite à l'achever parce que j'ai très certainement tous nos souvenirs qui remonte à mon esprit. Mais je sais que si je le laisse ainsi, il va revenir en monstre et lui, il n'hésitera pas à me bouffer. Je sors mon pistolet et je presse la détente. Un tire net dans le cœur comme j'en ai le secret. Une prière ou deux plus tard, je marche en m'éloignant de lui, comme un héros dans les Experts. En fait, c'est le cerveau qu'il faut viser, j'ai oublié. Il se relève comme mort-vivant, je panique, je fais tomber mon arme. Je lui donne des coups de pieds dans la gueule, je deviens incontrôlable un peu comme un dinosaure dans Jurassic Park et WAZA YAAAAAAAH. Finalement, j'arrête de lui asséner des coups et je renferme le Hulk en moi. Je tousse, je vérifie que personne n'a vu la bavure et je m'éloigne à nouveau. Plus loin, je plonge ma main à l'intérieur de ma veste. « Merde, mon flingue ! »

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? J'ai subis l'entrainement spartiate de la L.A.P.D, s'il vous plait. Je peux courir en sprint pendant au moins trente bonne minutes et en petite foulée, je tiens facilement une heure et demie. Je suis plutôt sportif, comme type. Je ne vais pas affirmé que je peux courir comme Forest Gump mais je ne rougis pas face à sa prestation. Après, la tonne de donuts que j'ai avalé du temps de mon service, je nourris le cliché des policiers avec de l'embonpoint qui bouffe des donuts à outrance, ne m'aide pas à tenir le rythme comme avant. Cependant, même dans la zone sécurisée, je fais des petits footings. Quand il est question de zombie, c'est autre chose. Généralement, je perds le contrôle de ma respiration et je finis étalé sur la route quelques minutes plus tard. J'ai une peur atroce du vide donc je ne peux pas grimper aux arbres.

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Oui, je pense. En tant qu'ex-flic, il me reste du courage coincé dans une partie de mon crâne. Mais très sincèrement, je ne pense pas qu'un scénario à la Coup de foudre à Nothing Hill soit possible, dans le contexte actuel. Une version du film où les deux protagonistes se font manger les intestins à la fin, en tout cas. Je ne crois plus vraiment en l'amour. Alors on va dire que je le ferais par principe et que je serais de toute manière le seul con volontaire pour y aller. Et une femme à sauver, ça fait de la meilleure cuisine dans mon ventre. On ne peut se permettre une femme. Qui ferait la lessive, le repassage, la cuisine, le ménage... [...] et me pomperait le... je vois, on ne retient que le plus important, hein !

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ J'ai appris à l'école de police. Mon instructeur était très exigeant et à force de lui tirer des balles en caoutchouc dans le pied, j'ai maitrisé l'art de toucher ma cible. A un tel point que maintenant, je peux tirer comme il faut, à une distance normale. Plus sérieusement, il se trouve que j'ai toujours eu une grande faculté à tirer de loin et que j'emmerdais juste mon chef en lui tirant dessus. Même si j'ai finis agent de police avec un beretta, j'ai toujours envié un poste dans les tireur d'élites. C'est comme ça que je voulais finir ma carrière, en tout cas. Actuellement, je possède le beretta standard qu'on attribuait à la feu L.A.P.D ; il est usé mais j'en prends un minimum soin. On me confie souvent la tâche de tout surveiller en hauteur, à la zone sécurisée. Du haut d'une tour par exemple. Je suis un des meilleurs tireur à longue distance, après tout. J'ai donc mon arme favorite qui n'est jamais loin de moi, pratiquement toujours sanglé à mon épaule ; un M40 basé sur le Remington 700, fusil de précision que j'ai emprunté au cadavre d'un soldat Ryan sur la route.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ D'ordinaire, on ne m'a jamais reproché d'être un solitaire. Je suis plutôt souriant et je vais facilement vers les gens. Après, que cesdits gens me supportent, c'est pas gagné. Je ne sais pas pourquoi, ils ont vite la manie de me traiter de décérébré ou de débile. Ça veut dire la même chose ? Ah. Mais globalement, je suis quelqu'un qui n'aspire pas l'antipathie. J'ai du mal à m'adapter à un groupe composé uniquement de femmes. Je deviens vite le seul homme censé dans le groupe, avec plus de force et d'intelligence. Elles se mettent toutes à médire à mon sujet. Pourtant quand je dis qu'il ne faut pas qu'elles se cassent un ongle si elles se mettent à faire des efforts d'hommes, je le pense vraiment. Comment veulent-elles papoter pendant leurs vernissage sans ongles ? On me dit sexiste. Je ne pense pas qu'une femme soit inférieur à moi, on a juste pas le même A.D.N de base, c'est la nature qui m'a donné un avantage. Sinon, sans être altruiste et donner mon dernier bout de pain à mon voisin, ça ne m'ennuie de partager mes vivres, mes munitions avec les autres. J'ai plutôt l'habitude, en tant que flic.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Je pense me rendre tout d'abord à mon appartement. Rassembler des munitions pour mon arme et des vivres que je fous dans mon sac à dos. J'ai vu beaucoup de films qui parlent d'invasion de zombies alors je sais ce qu'il me reste à faire. Je dois me trouver un groupe de survivants. Une femme avec des super-pouvoirs comme Alice dans Resident Evil m'aiderait sûrement mais je suis réaliste, une telle femme dans le monde réel, ça n'existe pas. Je serais avec, autrement. Je pense qu'il faut que je me trouve un endroit sécurisé où je peux me poser. Une sorte de gouffre de Helm.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Je pense que je réagis à peu près comme toutes les personnes saine d'esprit dans la même situation que moi ; je ferme la porte à clé. C'est con, ça ne sert pas à grand chose si une meute de zombies est déterminée à entrer mais ça sécurise beaucoup. En supposant que cet endroit possède une porte. Enfin, il en a une, et des murs aussi. Sinon, ce n'est pas un endroit sûr pour moi. Je ne suis pas du genre à survivre tout seul à l'extérieur, dans la nature, à devenir fou et à faire ami-ami avec un ballon de volley-ball. Je préfère me terrer à un endroit. Le mieux, c'est en hauteur. J'ai le vertige, je sais. Mais personne ne peut m'atteindre avec mon fusil de précision.

pseudo ✄ mik. prénom ✄miss banananana (ça change pas, hein). age ✄ 19 piges. pays ✄france. sexe ✄femme, baby. comment es-tu arrivé ici ? ✄double compte qui aime bien les tatouages. que penses tu du forum ? ✄ AWESOME. avatar ✄jeremy renner. personnage inventé ou scénario ? ✄inventé. un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ IT’S RE ME. j’ai vu que Renner était déjà tenté… mais je suis fou et j’essaye quand même. JE SUIS FOU.

YEARS – 4 avant le bordel apocalyptique.

« - Doyle, sérieusement, tu crois que c’est sérieux d’arrêter une prostituée parce qu’elle ressemble à Poison Ivy dans Batman ?
- Bah vous l’auriez vu, chef…
- Je veux pas savoir. Tu vas te retrouver à la circulation si j’entends encore parler de toi et de ta crétinerie ! »

Il me tourne le dos et claque la porte de son bureau, le son retentit presque dans tout le commissariat. Je soupir en me grattant le menton. Je pivote à mon tour et mon sourire aux lèvres, je fais face à mes collègues. Ils me fixent tous et je sens qu’ils se retiennent tous de rire. Je hausse un sourcil, ce n’est pas la première fois que le patron m’engueule ainsi et à chaque fois, ça fait le tour du bâtiment en quelques minutes. Tous des commères. Je m’assois à mon bureau, raclant ma gorge pour signaler à mes amis flics qu’il faut passer à autre chose et je commence à pianoter sur mon clavier, l’air de rien. Le fond sonore bruyant d’une cinquantaine de personne qui discutent en même temps réapparait et j’arrête de faire semblant de travailler. Actuellement, je n’ai aucune affaire. Je devais surveiller les rues fréquentées par des prostituées et leurs macros, mais je n’aimais pas les surveillances, parce que bien souvent, je m’endormais sur le volant, même après m’être enfilés trois tonnes de café. Je joue avec un crayon de papier, que je fais valser partout sur ma table, sur des dossiers, quand il heurte le cadre à photo. Je rattrape ce dernier de justesse avant qu’il ne s’écrase par terre et attire une fois de plus l’attention des autres sur moi. Puisqu’il est entre mes mains, je l’observe. C’est moi et mon ex-copine. Je ricane seul dans mon coin. Quelle salope. Sous prétexte que je la traite comme une bonne et que je suis un crétin, elle couche avec un autre. J’ouvre mon tiroir fourre-tout, qui contient des trucs que j’ai envie de jeter à la poubelle mais je ne suis pas prêt émotionnellement pour – comme des capotes usagées, des bonbons périmés et d’autres choses- « Hasta la vista, baby. » Je penche la tête, et la photo s’écrase lamentablement dans la boite en métal que je referme immédiatement, d’un coup de genou. Je sifflote, le temps passe plus vite en sifflotant. Je joue à nouveau avec mon crayon quand un dossier se glisse par magie sous mes yeux. Je plisse mes paupières, les lèvres en cul-de-poule et je regarde ma collègue, sur ma gauche. « Nouveau dossier pour toi, Doyle. La nana sort de prison. Tu la surveilles. » Je souris. Bitch please. Je suis un agent de police, pas baby-sitter. Deux doigts sur le dossier, je le fais glisser vers ma collègue. « Désolé, appelle Madame Doubtfire pour la garder, j’ai des choses plus sérieuses à faire. » Elle ricane en me donnant une tape sur le crâne. « Comme sauver Gotham ? C’est un ordre du chef, t’as pas le choix. » C’est comme ça qu’il se venge. Je soupire et j’ouvre le dossier. Et en plus une femme taularde. Pourquoi elle ne pouvait pas rester dans une cuisine à faire des sandwich au lieu de commettre des délits ? Enfin, je regarde la photo. Elle est bonne. Donc ça me dérange pas de la surveiller.

LE bordel apocalyptique.

« Y’a pleins de femmes sur cette planète, pourquoi je dois me retrouver avec un Rambo féminin ? » « Ta gueule. » Je souris et je regarde à travers la lunette de visée de mon fusil à précision. Six cadavres ambulants sur notre route. J’éloigne l’arme et je fais craquer ma nuque, de droite à gauche. A mes côtés, cette fille dont j’ai reçu le dossier il y a quatre ans. Je devais la surveiller. C’est ce que j’ai fait. Notre relation est simple. On s’engueule tout le temps, on se déteste mais on finit quand même sous la couette ensemble. Coucher avec mon travaille, ce n’est pas très professionnel mais à l’heure actuelle, je m’en fous. Je me positionne un poil mieux sur la carrosserie de la voiture derrière laquelle on se planque. Le bordel a commencé il y a quelques heures à Los Angeles. Au début, j’ai reçu un ou deux appels de secours, j’ai été réquisitionné pour des agressions, des gens violents qui se déchainent sur les autres. Et puis tout le monde a été submergé. Et moi aussi. La première connerie que j’ai faite ? Me rendre au domicile de la taularde que j’avais en charge. Et nous voilà les deux pris au piège. Une voiture de police en panne, la route devant nous et quelques rôdeurs cannibales sur le chemin. Je peux les avoir. Je tire. La balle atteint son lobe frontal en une fraction de seconde et il s’effondre. « Putain, Clint Eastwood serait fier. » Je souris alors que l’autre m’insulte encore. Je tire. Encore. Et encore. Ils tombent les uns après les autres. Véritable carnage et hécatombes de chairs mortes sur la route de bitume. Je me redresse après un soupir de soulagement. Je passe le fusil de précision dans mon dos, la sangle me coupe l’épaule, le torse et une partie de la hanche mais au moins, je suis rassuré. Une main sur l’étui de mon Beretta et les lunettes de soleil sur le nez, je ferais rougir n’importe quel flic des Experts Miami. J’attrape le sac de provisions que j’accroche à mon autre épaule et nous partons sur la route. Peut-être qu’on va tomber sur d’autres rôdeurs ou avec un peu de chance, une voiture qui marche.

YEARS +1 après le bordel apocalyptique.

« Œil-de-faucon à Lionne-en-chaleur, tu me reçois ? » « On avait dit qu’on stoppait les surnoms débiles, ducon. » « T’es pas drôle, tu sais, mais j’ai repéré un rôdeur à six heure de ta position, fais gaffe à ton jolie cul de Catwoman. » Le doigt sur la gâchette, je suis prêt à appuyer si le monstre se décide à se promener trop près de mon amie taularde. On nous a envoyé en mission. Chercher des trucs utiles dans la pharmacie abandonnée aux alentours de Brazoria. Déjà un an que c’est tombé sur nous. La mort, les cris. La taularde et moi avons voyagé ensemble. Et on s’est pointé les deux dans ce camp. L’endroit pue, je sais bien qu’il y a des rôdeurs partout mais en tant que flic, enfin, ex-flic, je remplis mon devoir. Et comme les gens de la zone sécurisée ont un sens de l’humour particulier, ils m’ont choisie comme partenaire Laurell. Je pose mon talkie-walkie à côté de moi. Je suis en haut d’une petite colline qui domine la petite ville. Ville, c’est un bien grand mot. Deux maisons, une épicerie, une pharmacie et une station d’essence. La bourgade entière rentre dans la lunette de mon fusil, pour dire. Je la vois pénétrer le bâtiment et silence radio total. Je ne me fais pas de soucis, je me contente de surveiller les alentours. Je pourrais descendre le macabé qui rode à quelques mètres mais tant qu’il ne la repère pas, j’économise mes balles. Je ne peux pas me permettre de gâcher des munitions. Et si mon père, ancien commissaire, m’avait dit que je me retrouverais à faire le sniper fou sur des zombies, je pense que j’aurais bien ris. Et j’aurais regardé trois fois plus de films sur l’invasion de mort-vivants. Pourquoi je pense à lui ? Il est sans doute mort, comme ma mère et ma petite sœur. Je n'ai aucune nouvelle d'eux depuis des lustres. Quand je suis passé chez eux pour voir s'ils étaient en vie, la maison de mon enfance était vide. Je secoue la tête et colle mon œil à la lunette de visée. La charpentière ressort et agite le bras avec un sac plastique. Elle a tout ce qu’il nous faut. Plus qu’à se barrer. Et rentrer dans notre chez-nous pittoresque.