| Sujet: (M) DANIEL HENNEY ∞ ❝ shoot the runner! ❞ Sam 26 Mai - 12:21 | |
| Get a kick ass partner and don't be a hero SHEMUEL ABISHAÏ LEVI ❝ shoot the runner! ❞prénom(s) ∞ shemuel, abishaï (origine biblique); négociables nom ∞ levi; négociable âge ∞ environ trente-cinq ans; reste au choix du joueur nationalité ∞ américaine origines ∞ sino-coréennes son métier avant que tout cela ne commence ∞ braqueur de banques, dealer de drogues, mafieux; un métier immoral au choix, qui reste dans la criminalité (notez qu’il doit aussi être obligatoirement proxénète — cf. histoire & relation) qualités ∞ laissés à l’appréciation du joueur défauts ∞ laissés à l’appréciation du joueur groupe ∞ «you’ve no idea of what i can do» ou «dealing with hell on earth» avatar ∞ daniel henney, trèèèèèèès difficilement négociable ce qui est négociable dans le scénario ∞ comme précisé dans les champs, les prénoms, le nom, l’âge, le métier et le caractère sont négociables. l’avatar reste très difficilement négociable mais si réellement vous ne pouvez pas encadrer cette bouille d’ange (*pleure toutes les larmes de son corps* é_è), on pourra en parler
A little sun screen never hurt anybodyL’histoire d’Abishaï est laissée totalement libre, je ne souhaite pas enfermer le joueur dans une ligne de conduite. Je vous soumets tout de même quelques suggestions qui colleraient au personnage, mais vous pouvez faire ce que vous en voulez. J’aime les surprises alors je préfère que le joueur s’approprie pleinement le scénario. → Les parents d’Abishaï étaient particulièrement exigeants quant à sa réussite scolaire en vue d’un avenir professionnel prestigieux; il n’a pas dérogé à la règle et il a suivi des études (au choix) dans une grande école → Les origines chinoises et coréennes d’Abishaï ont toujours été mises à l’honneur au sein de sa famille → Le père d’Abishaï était un riche homme d’affaires et sa mère était une femme exemplaire qui soutenait pleinement son mari; elle n’avait pas de travail mais profitait de l’argent gagné par son époux pour faire les magasins, organiser des soirées mondaines, vivre dans le luxe → Abishaï s’est très vite retrouvé aspiré dans une spirale criminelle qui l’a parfois conduit à mal agir; il est pourtant sorti du lot et s’est avéré être un jeune homme talentueux et malgré tout respectueux des valeurs humaines et sociales; la violence n’était permise que si elle était réellement nécessaire; il n’a pas tué par plaisir → Abishaï était propriétaire d’une maison close; il était particulièrement attentionné et protecteur envers ses filles et ses garçons qui offraient leur corps aux clients; il a uniquement partagé le lit d’un seul de ses protégés (Avshalom) et faisait regretter amèrement les amateurs de sa maison close qui se montraient irrespectueux et violents → Abishaï est du genre viril comme vous l’aurez deviné, notamment avec la bannière du dessous
No life wait for you my friendCHENAIAH AVSHALOM DESHAUN ❝ you said it’s too late to make it, but is it too late to try? ❞
Relation du genre dominant-dominé. Abishaï surprotège Avshalom, il veille sur lui coûte que coûte et ils sont dévoués l’un à l’autre. Abishaï est un homme téméraire et sachant manier les armes à feu. D’abord proxénète d’Avshalom, il est ensuite tombé sous le charme du jeune homme, même s’ils avaient une dizaine d’années de différence d’âge. Abishaï n’avait jamais partagé le lit de ses prostitués mais a fait entorse à sa propre règle en entretenant une aventure avec Avshalom. Il s’avère qu’il a toujours été avantagé et l’amour naissant les a encore plus rapprochés. La relation est à approfondir davantage mais voici quelques passages de mon histoire où le couple est mentionné :
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Durant une de mes habituelles rave-parties, j’ai rencontré un certain Abishaï. Alors que la musique battait son plein, faisant vibrer nos âmes en perdition au rythme du son, nos regards se croisèrent parmi la foule. L’excitation montait en moi telle une flèche. Je ne pouvais expliquer cette réaction. La drogue. La bière. La musique. Ses yeux persistants. Je me faufilai à travers les gens, tâchant de passer sans me tôler. J’agrippai rapidement son avant-bras, posant ma main moite contre sa peau humide de sueur et d’alcool. Je me sentis alors happé par la foule qui tressauta au moment où les vibrations de la musique se firent de plus en plus fortes. Les cris d’euphorie emplirent mon crâne et je me laissai tomber en arrière. Ma main qui tenait le bras d’Abishaï commença à glisser mais je l’emmenai dans ma chute avant même de pouvoir lâcher complètement prise. Par chance, certains eurent la fabuleuse idée de s’écarter, nous accordant suffisamment de place pour nous écraser lourdement dans l’herbe boueuse. Je poussai un râle. Merde, c’était froid et dégueu. Au moment où j’ouvrai les yeux pour me rendre compte de cette situation pitoyable, je vis Abishaï qui me dévorait littéralement du regard. Je plaquai sans ménagement mes mains salies contre ses joues, approchant dangereusement ses lèvres des miennes. Je pouvais sentir sa respiration haletante. Nos lèvres se cherchèrent un instant et finirent par se trouver. Ma langue s’aventura dans sa bouche avec parcimonie. Juste ce qu’il fallait, pas plus. On est resté à terre une bonne dizaine de minutes, s’emballant comme de jeunes adolescents en émoi. Finalement, on nous a relevé, nous hurlant de dégager parce que les flics avaient débarqué. Sans chercher à comprendre, Abishaï me tira par la main et commença à courir. Je le suivis tant bien que mal, titubant presque sous les effets de la drogue et de l’alcool. On se frayait un chemin à travers l’émeute qui commençait à se produire. Au passage, je me pris deux ou trois coups de bras. Je pissais le sang par le nez, ma vue se troublait légèrement. Finalement, je me laissais presque baller contre Abishaï qui me tint sans grande difficulté.
Cette rencontre changea le cours de ma misérable vie car j’intégrais ensuite la maison close d’Abishaï. Même s’il était proxénète, il restait un homme de valeurs. Abusivement protecteur, il ne laissait aucun client faire de mal à ses bijoux et entretenait une relation fusionnelle avec chacun d’eux. Toutefois, n’ayant jusqu’alors jamais partagé le lit de ses prostitués, il fut déconcerté quand il se rendit compte des sentiments qu’il éprouvait à mon égard. J’étais la seule personne à qui il se confiait et auprès de qui il passait ses nuits une fois la journée terminée.
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Le froissement des vêtements. Les respirations haletantes. L’envie grimpante. L’alignement des billets. Une nouvelle passe pour moi dans ma petite chambre du motel. Je fermais la porte de mon pied et poussais davantage l’individu dans la pièce. L’homme était un cinquantenaire, cheveux poivre et sel, un petit ventre rebondi. Il était tout aussi grand que moi, si ce n’est un peu moins. Dans ce genre de moment, quand le client me répugnait au plus haut point, je tâchais de penser à l’amoncellement d’oseille. Une vague de doute s’empara de moi quand je sentis bientôt les mains robustes de l’homme descendre dangereusement vers mes fesses à travers mon jean. L’image d’Abishaï me revenait en pleine tronche comme un uppercut. Je me faisais violence pour ne pas me mettre à pleurer. Je réalisai à quel point j’étais fou de lui. Cet homme me faisait vibrer comme personne n’avait jamais su le faire. Quand je ne le savais pas près de moi, je m’inquiétais. Je me demandais ce qu’il pouvait bien faire de son temps libre, s’il pensait à moi, s’il s’adonnait à des activités extraconjugales, s’il se saoulait… Notre relation n’était peut-être pas commune aux autres, mais c’est ce qui faisait notre force.
Le cinquantenaire me rappela à la réalité quand il palpa mon séant de ses mains baladeuses et tremblantes d’excitation. Je fermai les yeux, me contraignant à penser à quelque chose d’excitant. J’avais beau réfléchir, passer en revue nos moments d’amour avec l’autre débile, je n’avais pas envie de partager de telles pensées avec un client. Je m’y refusais catégoriquement. C’est seulement quand je repoussai un peu plus le vieux avec un sourire entendu qu’il sortit aussi vite son chéquier de sa veste, comme s’il avait tout prévu. Son stylo noir aux finitions dorées gratta fébrilement le rectangle de papier bleuté. « Tu sais pertinemment que je ne prends que les espèces, chéri. Ne me prend pas pour un con, veux-tu. Ou je remballe la marchandise. » Dis-je en me tenant le paquet d’un geste assuré. Il ria jaune, laissa son chéquier en plan et entreprit de prendre son portefeuille. Mes mains se croisèrent instinctivement dans une joie non dissimulée à mesure que les billets tombaient délicatement sur la table basse. Sauf que le prix commençait à atteindre des sommets étranges. Je me mordis la lèvre inférieure, tiraillé entre l’envie de faire cette passe et celle de rebrousser chemin illico-presto. Je savais exactement ce que voulait le vieux. Les cinq-cents billets annonçaient une nuit entière de galipettes. « Prépare-toi mon mignon, je reviens. » Et je filai dans la salle de bains.
Décroche bordel. La voix d’Abishaï et son habituelle insulte tonnèrent au bout du fil. J’étais assis sur le rebord de la baignoire. Ma jambe tressautait d’anxiété. « Je rentre pas. On veut me garder cette nuit pour cinq-cents billets… » Je savais que ça n’allait carrément pas lui plaire, que notre arrangement était de toujours rentrer à ses côtés, de ne jamais l’abandonner, de ne jamais faire de passe en dehors de la maison close. J’allais faire une première entorse à notre règlement qui scellait notre vie de «couple». Évidemment, il s’emporta et c’était tout bonnement légitime. J’entendis un bruit de verre cassé. « Et putain arrête de toujours tout péter quand quelque chose te plaît pas. Un jour tu vas finir par brûler la baraque ou carrément me buter… Soupirai-je. Et puis tu peux très bien te passer de moi pour te finir à la main devant un de tes petits pornos avec ces connasses. » Je détestais ces filles. Elles étaient ma hantise. Qu’il parte avec une gonzesse était une réelle phobie. À tel point que je m’en rendais malade. Et il se jouait de ça, même s’il savait qu’au final il souffrirait à son tour en me voyant dans un sale état. Finalement, hurlant de rage, il coupa court à la discussion et me raccrocha au nez après une énième insulte. Je me levai de la baignoire. Je posai mon portable sur le rebord du lavabo et mes yeux se posèrent sur le miroir face à moi. Je restai silencieux, me sentant terriblement coupable de le savoir si malheureux par ma faute. Mais je l’avais prévenu; il savait que je ne changerai pas. Au final, ne m’avait-il pas choisi pour ce que j’étais ? Je me réfugiais derrière cette excuse pour ne pas devoir faire face à mes responsabilités, pour ne pas devoir me montrer faible et céder à mes sentiments. L’amour était quelque chose que je redoutais profondément tant j’avais peur d’être meurtri. Sauf que j’étais déjà tombé pour lui… Je l’aimais. Vraiment. Et dans un élan désespéré, retenant atrocement mes larmes, je me ruai sur mon téléphone pour en retirer la coque. D’un geste fébrile, je décrochai la batterie. Une petite photo d’Abishaï virevolta un instant pour venir s’écraser telle une plume sur le carrelage. Je la pris entre mes doigts pour la fixer. La minute qui suivit, je sortis de la salle de bains. La nuit fut éprouvante.
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« Vous faites vraiment chier sérieux… » Avshalom frappa du pied dans une bouteille en verre sur le sol. Le soleil frappait fort, l’air était irrespirable. Le Texas était une région horrible quand la chaleur s’installait réellement. Le jeune homme était accompagné d’Abishaï et de quelques autres personnes qu’ils avaient rencontrés. Un petit groupe qui s’affairait à trouver de quoi manger et se désaltérer. Le garçon s’était pourtant fâché quand ils avaient décidé de se séparer. C’était généralement un plan qu’Avshalom détestait, par peur de se retrouver seul à tomber nez-à-nez avec un rôdeur dans le but de chercher des trucs introuvables. Abishaï s’amusait à déambuler avec son fusil à pompe à la main tandis que les autres fouillaient dans les quelques voitures abandonnées et les sacs. L’ancien prostitué posait lentement un pied devant l’autre, semblant presque flâner en observant le ciel. « T’as le droit de donner un coup de main tu sais. Tu risques pas de mourir d’épuisement en tout cas… Ouais, mais je risque davantage de crever bouffé par un zombie qui sortira sa tête d’une portière que j’aurai ouverte. Et là tu chialeras toutes les larmes de ton corps parce que je finirai comme lui à essayer de mordre ton joli p’tit cul. Au lieu de dire de la merde, reste bien derrière moi trésor. » Avshalom et Abishaï avaient cette particularité d’être si fusionnels et de se suffire à eux-mêmes. Bien qu’ils eussent été accompagnés un temps par ce groupuscule, c’était surtout par instinct de survie. Les chances de rester en vie en étant à plusieurs étaient accrues : quand une horde de rôdeurs surgissait, il fallait tout simplement courir plus vite que les autres. L’apocalypse s’était emparé de la terre; quand quelqu’un se faisait dévorer, ça en devenait banal pour certains, mais ça restait quelque chose d’atroce pour Avshalom. Jamais il n’avait pu se faire à ce nouveau monde même si Abishaï tâchait de le booster un maximum. Bientôt, il allait devoir apprendre à utiliser une arme à feu. La batte de baseball s’avérait efficace mais plus les mois s’entassaient, plus les zombies devenaient nombreux. Et contre une horde, un simple bout de bois devenait futile.
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Dernière édition par C. Avshalom Deshaun le Sam 26 Mai - 20:36, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: (M) DANIEL HENNEY ∞ ❝ shoot the runner! ❞ Sam 26 Mai - 12:43 | |
| SCÉNARIO TERMINÉ, DISPONIBLE ET EXTRÊMEMENT ATTENDU. Coucou toi qui passe par là ! Je te remercie déjà d'avoir pris le temps de lire ce petit scénario. J'ai volontairement présenté ça sous forme de points très courts dans l’histoire pour te laisser une grande liberté d'imagination et d'action, que tu ne sois pas fermé dans quelque chose de précis. J'aime les surprises et j'aime la créativité alors ça me plaît de découvrir le personnage quand j'en pose la première pierre pour un scénario. Comme indiqué, l’avatar est très très très très […] très difficilement négociable. J’ai conscience que Daniel Henney est peu connu et qu’on ne trouve pas d’avatars de lui sur Bazzart. Toutefois, des commandes peuvent être passées, je compte d’ailleurs en faire prochainement pour qu’un stock soit disponible. Je vous laisse ici deux-trois avatars. Et tumblr regorge de petites merveilles, huhu. - Spoiler:
Je finirai par une éloge habituelle. Ô mon amour, toi qui prendra mon scénario, je te promets d'ériger une statue en ton honneur et de me prosterner à tes pieds. C'est une relation qui me tient véritablement à cœur et j'ose espérer que ça enchantera quelqu'un. Je suis pressé de le voir arriver alors grouillez-vous de le prendre. |
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| Sujet: Re: (M) DANIEL HENNEY ∞ ❝ shoot the runner! ❞ Mer 30 Mai - 21:30 | |
| I'm here !!! Je commence ma fiche et ma recherche d'avatar demain |
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| Sujet: Re: (M) DANIEL HENNEY ∞ ❝ shoot the runner! ❞ Jeu 31 Mai - 0:07 | |
| OMAGAD OMAGAD OMAGAD. Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je désespérais, je me disais que Daniel Henney ne plaisait absolument pas ! J'espère que le fait qu'il faille passer des commandes de cette célébrité ne te rebutera pas ! =$ J'ai trop hâte de te lire. |
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| Sujet: Re: (M) DANIEL HENNEY ∞ ❝ shoot the runner! ❞ | |
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