prénom ✄Sven. nom ✄Zaddig. âge ✄24 ans. sexe ✄Mâle. nationalité ✄Américaine origines ✄100% Big Mac. votre métier avant que tout cela ne commence ✄ Chevalier et écrivain aux heures perdues. qualités ✄Goût de la vie prononcé, rusé, intelligent, audacieux, direct, chevaleresque dans un sens, pansexuel. défauts Distant, impulsif, instable, cynique inaccessible, grave, insensible, détaché, égoïste, égocentrique, orgueilleux, individualiste, , vulgaire, éhonté, effronté.groupe you’ve no idea of what i can do

Dans cette partie vous devez répondre aux questions suivantes en un minimum de cinq lignes. Elles serviront à mieux cerné votre personnage et également ses chances de survie.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? Ce monde est un calvaire, nos amis d'un jour sont nos massacreurs de demain. Il faut savoir s'adapter comme je l'ai toujours fait. Pas d'amis, pas d'attachement et aucun problème du type. Mais disons que soit, quelqu'un qui s'est démarqué des autres pour moi s'est fait mordre. Il lui reste quoi ? Quelques heures à vivre, il va d'abord souffrir, ensuite il se trainera sur ce putain de sol de damnés tel un chien qui a la rage. Le spectacle ne sera pas très charmant. Alors autant lui collait une balle dans la tempe directement. C'est lui rendre service et ça nous déparasse d'une saleté supplémentaire.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? Merde, t'es sérieux avec tes questions foireuses ? J'en sais rien moi, j'ai jamais été assez stupide pour me retrouver avec des dizaines de macchabées aux fesses. Il faut savoir que je ne suis pas du genre à jouer les héros à foncer tête baissée alors franchement, pourquoi j'irais me foutre dans un calvaire pareil ? S'il faut une réponse alors dans ce cas. Longtemps je dirais, s'ils sont pas affamés, sinon je devrais lâcher des affaires. Oh et puis. Pourquoi courir ? Il suffit de prendre la voiture.

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? Capable ? Oui. Certainement, ce n'est pas très compliqué si on connait un tant soit peu la ruche urbaine. Il suffit de quoi, passer par des endroits isolés, les toits ou autre et si jamais on rencontre un petit zombie, un coup de machette et c'est fini, ça ne cri pas les zombies, ou pas assez fort. Par contre pour ce qui est de l'envie. Je vous ai déjà dis que je ne m'attachais à personne. Ce genre de choses, ça pue le piège foireux. J'ai aimé mais aujourd'hui il n'y a que moi que je tiens absolument à voir vivant.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? On est aux USA ou pas ? Bien sûr que je sais m'en servir et oui j'en ai une, un 44.Magnum. Il y avait des stands pour ça, et des boutiques. Enfin personnellement, c'est mon père qui m'a appris à m'en servir. C'était un type bien qui était censé. Il a crevé trop tôt. Après soyons clair, une arme à feu ça fait du bruit. Donne moi une machette ou une batte, c'est plus silencieux.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? J'ai toujours été un solitaire, bien avant the end of the world. Oui je sais être hypocrite mais je n'aime pas l'être, ça pue à des lieux la lâcheté. Je pourrais très bien m'incruster dans une société nombreuse ou pas et finir par m'éclipser au moment opportun, le plus avantageux pour moi. Si je rejoins un groupe c'est pour profiter sur eux en prenant garde de ne pas me faire poignarder dans le dos bien sûr. Je sais comment fonctionne ce genre de machineries, je ne compte pas me faire avoir de si tôt.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄Disons que je suis une sorte de vagabond, alors forcement apocalypse ou pas je suis dans ma voiture. Et même face à un virus mondial je resterai dans ma voiture. D'accord, d'accord, vous allez me dire que les routes sont bloquées par les véhicules abandonnés mais ne vous inquiétez pas, j'ai mes méthodes. Je sais me débrouiller, que ce soit par des explosifs ou pas des manœuvres calculées je passe toujours. Bon bien sûr j'ai légèrement emménagé ma voiture pour que je puisse rouler sur un ou deux zombies sans à avoir à m'arrêter ou à me foutre en l'air. Mes essuies glaces sont très efficaces. Puis il faut avouer qu'être pris coincé dans une horde de zombies c'est assez excitant, l'adrénaline monte bien et ça permet de tester ses limites, un test qu'il faut réussir, j'ose avouer que finir grignoter par un zombie n'est pas très attrayant.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? Je ne me cache pas, j'évite les hordes. Se déplacer est la meilleure des solutions, rester trop longtemps au même endroit finit toujours par attirer les ennuis. Le problème avec cette méthode, c'est l’essence mais on se débrouille comme on peut avec les puits encore présents. Alors une fois dans ma voiture, je mets la musique et je roule. Car oui, j'aime la musique autant que voyager, chaque fois je peux voir une nouvelle facette du chaos qui s'est installé si rapidement, je rencontre parfois des survivants en détresse ou pas, je ne m'arrête pas, pourquoi faire. Dans ce monde qui est à présent le notre il faut mériter de vivre et seuls les plus forts s'en sortiront, ou les plus malins.

My life on the road.

Les ténèbres ont envahi le monde, les arbres autrefois gardiens de la forêt sont des silhouettes menaçantes au milieu des ombres. La lune est pleine mais cachée masse démesurée de nuages elle est incapable d'étendre la lumière rassurante qui éclaire nos nuits. Une légère brise de vent circule dans l'air emportant avec elle les résidus de notre monde vivant. Les bêtes sauvages sont libres ce soir, elles traînent sur la terre, silencieusement avec leurs habitudes de prédateurs, elles sont prêtes à sauter sur le premier buisson qui bouge, le premier frémissement de l'air. Cette guérilla installe un silence dramatique au plus profond des sapins. Le lapin s'aventure sur la route, il a bien mangé quelques minutes auparavant mais il ne remarque pas la voiture qui le percute le projetant sur le bas côté, mort, soulevant au passage ces particules de poussières si gênantes. Tes mains serrent violemment le guidon et tu roules, roules, roules. Où ? Tu ne sais pas, tu veux juste aller le plus loin possible, t'éloigner d'un monde qui n'est pas le tien, celui qui te promet une vie qui n'a pas de prix mais qui pourtant te rejette. La pluie de tristesse qui envahit ton visage t'empêche de voir correctement la route mais tu la connais par coeur. Une larme indocile vint se percher sur ta lèvre supérieure. Son visage te revint en tête quelques secondes seulement, la dispute aussi. Et ses mots, les promesses envolées, l'espoir perdu. Tu pousses un cri de rage en appuyant avec plus de force sur l'accélérateur déjà enfoncé au maximum. Tes affaires sont sur la banquette arrière, tu es prêt à faire un grand voyage, pas un voyage, tu vas vivre comme l'aigle qui vole lorsque le soleil est à son zénith, libre. Dans un sens tu es parti sans réfléchir mais, simple coïncidence ou prévention involontaire, tu as créé un compte à la banque privé à ton seul nom pour une seule carte, la tienne. Et s'étant servi dans la fortune familiale à présent décimée tu sais que tu peux vivre pendant ces prochaines années sans soucis. Et tu t'enfonces profondément dans un nouveau que tu veux maîtriser.

Une ville ? Un village ? Tu ne sais pas. Ce n'est pas un détail qui requiert ton attention mais ça t'amuse. Après tout tu fais n'importe quoi pour oublier cette vie passée qui t'arrache le coeur à chaque fois que tu y penses. Ça fait combien de temps maintenant ? Sept mois environ que tu as quitté l'arizona. Tu t'habitues peu à peu, mais ce mode d'existence est difficile, tu t'y attendais certes mais tu as tout de même été surpris. Se forgeant par l'expérience tu sais qu'il ne faut jamais se ramener avec sa caisse dans un coin aussi paumé dans le désert. Tu te gares à l'ombre, éloigné de quelques kilomètres des habitations. Tu n'as pas peur de marcher surtout que le soir arrive et que la température commence déjà à chuter. Tu embarques avec toi ton arme à feu, ça peut toujours servir et tu sais déjà qu'elle va très certainement te servir. Tu marches donc sur cette mer aride où l'horizon est masquée par une chaîne de montagnes imposantes, tu es habillé simplement, une chemise à carreaux, un tee-shirt blanc et un jean. A vrai dire, tu n'as pas beaucoup d'habits et les laver n'est pas toujours facile, tu le fais souvent toi même lorsque tu trouves une rivière ou quelque chose du même type.

Le bar est bondé. Sous les regards acerbes des riverains tu t'installes au comptoir et tu demandes un whisky. Un peu d'alcool ne peut te faire que du bien. Le bruit de fond résonne une mélodie tranquille et te berce comme le jeune homme fatigué que tu es. «Salut ma jolie.» Tu ouvres l'oeil que tu avais fermé, intrigué par cette voix assez horripilante. Un homme accoste une jeune homme qui ne semble pas apprécier sa compagnie. Tu soupires, ce sont leur histoire après tout, tu n'as pas à t'y incruster. «Si tu venez avec nous ce soir ?» Tu passes une main sur ton visage fatigué où pousse une barbe de plusieurs jours, en fait tu ne supportes pas la voix de l'autre abruti. «Tu vas passer un bon moment ne t'inquiète pas» Héros que tu es tu te redresses et te tourne avec nonchalance vers les deux gens. «Monsieur, excusez moi..» L'autre tourna à peine un regard vers lui. «Jt'ai pas causé toi, retourne chez ta mère.» Bon. Tu glisses de ta chaise tu t'avances et tu lui agrippes durement l'épaule avec tes doigts et tu le fous par terre. «Humpf ! Toi là, j'vais te buter !» Cette fois tout le bar les regarde, ce n'est pas très bon et il sait déjà ce qui l'attend à jouer les défenseurs. Alors qu'il se relève tu mets un genou à terre et tu sors ton arme la pointant directement sous la mâchoire de cette brute. Dans un souffle tu lui dis avec un sourire. «Maintenant, ferme ta putain de gueule ou je t'explose ta tête cabossée, bien sûr tu vas laisser la jeune femme tranquille, d'accord ? » L'autre n'a rien pour riposter et se contente d'hocher la tête, filant rapidement. La fille le remercie et s'en va aussi soulagée d'avoir été débarrasser du gêneur. Lorsque tu sors tu vois déjà la dizaine d'hommes en demi-cercle face à toi. Ils savent que tu ne vas pas tirer.

Apocalyptic boy.

Treize heures. Et le soleil n’a pas encore pointé le bout de son nez. Les nuages peuplent le ciel grisâtre d’un temps capricieux. La pluie s’ajoute bientôt au vent terrible qui souffle non pas en altitude pour chasser les amas d’eau flottants mais à ras du sol emportant avec lui poussières et détritus. Le torrent s’abat sur la ville, ruisselant dans les gouttières, inondant les égouts. On ne voit pas à plus d’une dizaine de mètres et le monde autrefois vivant et coloré n’est plus que noir et blanc. « Cours ! Ils sont juste derrière ! » Tu cours le plus vite possible, à en perdre haleine, ton cœur semble vouloir exploser mais tu l’en empêches, puisant jusque dans tes dernières forces pour éviter le pire. Ton visage est déformé non pas par la peur ou le désespoir mais plutôt par une rage incontrôlable. Tu serres les dents et tu balances tes bras pour gagner de la vitesse. Tu ne sais plus ce qui t’entoure mais tu entends, tu entends le bruit de pas de course de Jeod, tu entends les gouttes qui frappent le goudron et ta peau et surtout tu entends ces grognements affamés de créatures immondes. Ton compagnon te rattrape rapidement, il est plus vieux que toi de plus de vingt ans, il t’a sauvé la vie dans ce village de fous en plein milieu du désert et maintenant vous essayez d’échapper ensemble à une mort prématurée et certainement douloureuse. « Putain les cons, ils cavalent vite pour des types sans cervelle ! » Tu souris bêtement à cette remarque siphonnée et tu accélères ta course. Bientôt, tu ne vois plus Jeod à tes côtés, tu vas trop vite. Tu n’entends plus le bruit de sa course et d’un coup, déchirant la pluie et le brouillard, son cri parvint jusqu’à tes oreilles. Tu t’arrêtes directement, une arme, il te faut une arme, pas une qui fasse du bruit. Une barre de fer par terre, parfait. Tu t’en empares de ta main trempée et tu fais marche arrière. Jeod s’est fait avoir, il se débat alors qu’un macchabée essaie de le mordre. Tu frappes celui-ci au niveau de la nuque, un craquement sonore et il ne bouge plus. D’autres arrivent. Tu frappes, frappes, frappes de toute ta force en mettant toute ta rage dans chacun de tes gestes. C’est fini, des cadavres plein de sang jonchent le sol, le liquide rouge est vite répandu par l’eau. Tu t’approches de ton ami et tu remarques rapidement la morsure et au niveau du bras. Assis par terre trempé jusqu’aux os comme toi, tu arrives à voir sous les cordes d’eau son sourire tendre qu’il t’adresse. « Ce fut une belle aventure. Continue-la sans moi, tu me raconteras. » Tu n’arrives pas à t’empêcher d’avoir la larme à l’œil, tu veux pleurer mais tu veux te montrer fort devant lui. Tu sors ton arme à feu. Te prenant par la nuque il vint doucement déposer un baiser sur ton front. T’emparant de sa propre nuque tu plaques ton front contre le sien. Les larmes coulent et se fondent dans l’eau qui ruisselle sur ton visage. « Au revoir Jeod. » Il rit, un dernier rire pour la fin et tu appuies sur la détente. Un grand bruit, du sang qui gicle sur ton visage et un corps vide de vie qui s’écroule par terre. Tu te relèves sans un mot, tu ranges l’arme, tu renifles et ravale tes larmes et tu t’en vas en marchant. Le bruit allait attirer les zombies et les cadavres les ralentiraient te permettant donc de t’enfuir de cette ville pour retrouver la voiture garée dans la banlieue proche.

pseudo ✄ .cloud inside prénom ✄Lucas age ✄17 ans pays ✄ France sexe ✄Homme comment es-tu arrivé ici ? ✄Une amie m'a ramené. que penses tu du forum ? ✄ avatar ✄ Richard Madden personnage inventé ou scénario ? ✄Inventé un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄