prénom ✄ Neil Adam. nom ✄ Bradshaw. âge ✄ 31 ans. sexe ✄ mâle. nationalité ✄ américaine. origines ✄ anglaises et américaines. votre métier avant que tout cela ne commence ✄ directeur marketing. qualités ✄ patient, réaliste, logique, observateur, déterminé, sarcastique, indépendant, loyal. défauts ✄ imprévisible, calculateur, jaloux, irritable, têtu, rancunier, amer, susceptible. groupe ✄ dealing with hell on earth.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ Un sourire triste pourrait être sa réponse. Il a déjà eu à faire à cette situation, quoi que dans un contexte légèrement différent. Celui dans lequel ce vague ami est la fille dont il est fou amoureux, celle qu’il a épousé. C’était au début de l’épidémie. Ils venaient de semer un zombie qu’ils avaient croisés en rentrant chez eux. Une fois dans la sécurité de leur demeure, Neil s’était autorisé à respirer. Jusqu’à ce qu’il pose le regard sur sa femme. Elle se tenait le bras, tétanisée. Il se crut lui-même étouffer en observant la morsure écarlate lui barrant le bras. Après des paroles qui lui déchirent les entrailles encore aujourd’hui, il l’avait vu mourir dans ses bras. Il savait ce qu’il devait faire. Il en était incapable. Il l’enferma dans la salle de bain et pleura toutes les larmes de son corps en l’entendant se réveiller. Après des heures de grognements, battements et désillusions, il avait ouvert la porte et tiré une balle dans ce même cœur dont il avait juré de prendre soin. Autant dire que maintenant, il n’aurait aucun scrupule à tirer une balle dans la tête du premier mec infecté. Les amis, c’est plus vraiment dans ses priorités.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Neil n’est pas un grand sportif, mais il peut se vanter d’être assez endurant. Mais plus dans le contexte du footing matinal. Avec à vos trousses des créatures qui n’ont qu’un désir – faire de vous leurs prochain repas – Neil a bien plus de mal à contrôler son cœur affolé et a conserver un rythme régulier. Donc il ne s’écroulera pas au sol au bout de dix minutes, mais il ne tiendra pas bien longtemps non plus. .

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Ça doit être la question la plus stupide qu’il puisse exister. Dans un monde dominé par la mort, le chaos et où l’espoir n’est plus qu’une notion qu’on réserve aux enfants, passeriez-vous à côté de l’opportunité d’avoir au moins à vos côté une personne qui rende tout cela un peu moins insupportable? Bien sur que non. Neil le ferait sans hésiter ne serait-ce qu’une seconde s’il avait encore quelqu’un à secourir.

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Jusque là son tête à tête le plus intime avec toute forme d’arme, était celui qu’il avait chaque jour en découpant la viande dans son assiette avec un bon couteau. Un révolver résidait dans le tiroir de sa table de chevet – classique – mais il n’avait jamais eu à s’en servir. Quand il a dû commencer à se défendre, autant dire qu’il ne touchait pas la cible du premier coup, et pourtant les zombies ne sont pas connus pour leur rapidité de mouvement. Il se plait à penser qu’il s’est beaucoup amélioré. Il préfère y aller au couteau, c’est plus décisif, concret, et il aime avoir l’impression de prendre une vie à la source pour toutes celles qu’on lui a enlevé.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ C’est compliqué. Neil n’est pas complètement asocial, il fait sa part des choses dans la communauté. Pas plus, pas moins. Il ne cherche pas à se faire des amis et à engager des conversations, mais il n’ignore par les gens pour autant. Il se mêle aux autres puisqu’il aime être au courant de ce qui se passe malgré le fait qu'il considère ce camp de survivant comme une grosse blague. Ses mots baignent souvent dans le sarcasme et certains n’ont pas la patience de faire avec. Il y a juste des jours où il a envie d’être seul, où une simple parole l’irrite au plus haut point. Il y a des jours où il les déteste tous et d’autres où il se rappelle qu’il gère mal la solitude mais n’arrive pas à aller de l’avant. Neil n’est pas franchement enclin à partager. S’il trouve quelque chose d’utile, il le garde. S’il a une information utile, il ne la dévoilera qu'au moment qui lui semblera opportun.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Quand la chose était devenue une menace concrète, et plus une vague rumeur de mauvais goût, Neil avait tout laissé sur place et était rentré chez lui pour y retrouver sa femme. La voir saine et sauve et la sécurité que lui procurait les quatre murs de sa maison lui avait permis de se poser et de réfléchir aux mesures à prendre. Il avait voulu téléphoner à ses parents, ses frères, mais tout le monde avait dû avoir la même idée, puisque le réseau était saturé. A moins que les lignes téléphoniques n'aient succombées elles aussi à l'apocalypse. Les membres de sa famille étant dispersés dans divers états, il dû se retenir de ne pas partir sur le champ et aller vérifier par lui même - il fallait réfléchir où aller en premier avec intelligence, l'essence allant se faire précieuse - et implorer à qui veut l'entendre de faire en sorte qu'ils soient en bonne santé.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Neil vérifierait sans doute les alentours une bonne dernière fois pour être sur qu'il est bien en sécurité et hors de portée des zombies. La paranoïa n'est certainement plus un défaut de ces jours. Il chercherait sans doute s'il y a quelques chose de bon à récupérer, de la nourriture, des armes, n'importe quoi. Pas particulièrement le genre tête brûlée, Neil resterait sans doute dans cette cachette un bon bout de temps, pas tenté le moins du monde de se confronter de nouveau à l'extérieur.

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« Pierre, feuille, ciseaux…ah mince » . Neil esquissa un sourire et fit mine d’écraser de son poing les doigts fins écartés en forme ciseau de son adversaire. « Il est prouvé que la plupart des gens choisissent les ciseaux puisque c’est le dernier mot qu’ils entendent » répondit-il d’un ton léger. Un soupir faussement offensé lui répondit « Vous n’auriez bien sur pas pu me faire part de cette théorie plus tôt ?» siffla-t-elle, sa propre voix dissimulant mal son amusement. Neil fronça les sourcils, cédant bien vite au grand sourire qui avait voulu s‘étirer de chaque côté de son visage depuis le début de cette conversation. « Nous n’avons pas établis dans les règles le partage mutuel de notre culture générale. Par contre, la récompense était bien claire… Si vous voulez bien m’excuser» Acheva-t-il avant de se faufiler entre les invités, non sans délivrer un dernier signe de tête et un sourire qu’il espérait charmeur. Une fois la divine créature dans son dos, un long soupir lui fit relâcher la tension dans ses épaules. Il se laissa tomber un peu plus loin dans un siège près du bar et accepta volontiers le whisky qu’on faisait glisser vers lui. « Quel lover tu nous as fait, Neil. J’étais à deux doigts de prendre des notes» résonna une voix amusée à son oreille. Neil tourna la tête vers son ami et lui donna un coup de coude léger dans les côtes. « La ferme ! » . Neil s’était attendu aux plaisanteries. Neil Bradshaw. Directeur marketing d’une grosse boîte à tout juste 31 ans. Il avait grimpé les échelons en étant impitoyable, un vrai requin en affaire, un sens du management hors pair et une créativité appréciée. Oui, Neil était une bête dans son milieu. Un talent qui l’amenait chaque soir à échanger un dîner avec sa télévision, un plat à emporter refroidissant devant lui. Il avait eu quelques relations bien sur, comme tout homme normalement constitué et pas totalement laid, mais rien de bien sérieux. Il était pourtant horriblement social, divertit par chaque conversation digne d’intérêt et y participant largement. Sa mère lui avait toujours dit qu’il aimait le son de sa propre voix. Oui, Neil était apprécié pour ses manières et son humour piquant qui faisait de lui un bon camarade et collègue. Mais pas un bon amant. Car l’un dans l’autre, Neil doutait beaucoup de lui-même, ses insécurités dictant sa vie sociale, et parler à une femme lui semblait bien plus difficile que n’importe quelle autre négociation. L’importance qu’il accordait à son boulot, sa jalousie et son incapacité à recevoir la critique, n’aidaient pas du tout sa cause. Ce soir là il s’était une fois de plus rendu à une soirée organisée par l’entreprise. De nombreux invités, de la bonne bouffe et le vin coulant à flot. Toujours la même chose. Sauf que non. Ce soir il l’avait aperçu. Dans une robe rouge qui encadrait parfaitement sa silhouette, ses cheveux bruns tombant en cascade sur ses épaules. Elle était en pleine conversation avec un petit groupe d’homme et chaque rire que lui décrochait l’un deux lui donnait envie de l’arracher de là. Neil se plaisait à croire qu’il était impassible. Et il l’était. Au boulot. Dans la vrai vie il avait toujours eu un mal fou à cacher ses sentiments, que ce soit la colère ou la joie. Ou l’affection. « A Neil » dit-il en levant son verre devant lui « qui après des mois et des mois à rêver d’une fille, à enfin eu le courage d’aller lui parler » . « Elle était casé » maugréa Neil dans un semi murmure. Et elle l’avait été. Plus maintenant. « Des excuses » répondit son ami avant de boire une gorgée. « J’ai pas pu m’empêcher d’entendre… » enchaîna-t-il d’un ton curieux, « qu’est ce que tu as gagné ? » . Neil fit tourner son verre entre ses doigts un moment. « Un dîner. » Un sourire se dessinait sur ses lèvres. « Juste un dîner » .

« Tu es ridicule » . Neil se stoppa net, son corps pivotant pour faire face au sien. « Ridicule ? » répéta-il d’un ton acide, comme si le mot lui écorchait la gorge. « Tu sais ce qui est ridicule ? Attendre toute une soirée à une table et répéter à la serveuse que son invité ne va pas tarder, tout en essayant d’ignorer les regards de pitié qu’elle vous lance » continua-t-il, la colère déformant ses traits. Il n’avait jamais eu aussi honte de sa vie. Quand on lui fit gentillement comprendre qu’il fallait qu’il cède la place à d’autres client s’il ne commandait pas, il s’était levé furieusement et avait quitté le restaurant. Quand il était rentré chez eux pour apprendre qu’elle été restée au travail pour aider un collègue, il avait abandonné tout calme. Elle ne dit rien, son irritation cédant place à l’embarras. « Tout ça pour appendre plus tard que tu était occupée avec ce cher Steve » . Elle ouvrit la bouche pour le reprendre, mais en décida autrement. A la place elle avança lentement vers lui et posa une main sur son avant bras avant d’y exercer une légère pression. Le contact attira l’attention de Neil et il dut s’accrocher au sentiment de trahison qui coulait dans ses veines pour ne pas craquer sous le regard qu’elle lui lançait. « Il ne s’est rien passé Neil » murmura-t-elle. Neil serra la mâchoire. Cela faisait un an depuis ce fameux dîner. Un an qu’il avait à ses côtés la femme de ses rêves, celle qui faisait ressortir le meilleur en lui. Un an qu’il trouvait cela trop beau pour être vrai et qu’il attendait ce moment. « Il ne s’est rien passé » répéta-t-elle, sa voix craquant sous la conviction qu’elle y mettait. Enfin il s’autorisa à rencontrer son regard et il sentit toute volonté le quitter. La tristesse inonda chacun de ses traits. « Ce n’était qu’un dîner » continua-t-elle comme pour conclure le débat. Neil émis un rire sans joie et posa son front contre le sien. « Non » murmura-t-il « ce n’était pas qu’un dîner » . Ses doigts tracèrent le contour de la boîte dans le fond de sa poche avant de retomber mollement contre sa cuisse.

La pression était son domaine. Il avait appris à la gérer à et à la faire sienne. Aujourd’hui cette même compagne le paralysait et chacune de ses insécurités ressurgissait, faisait sortir sa respiration en souffles saccadés. Les mains jointes devant lui, son regard fixait les deux grandes portes dans le fond. Une main se posa sur son épaule et il dû retenir un sursaut. Des mots de réconfort furent glissés à son oreille et il acquiesça, pas le moins du monde rassuré. Il ne comprenait pas son angoisse. Tout allait très bien. Bien sur ils se disputaient parfois et avec leurs caractères respectifs c’était toujours un peu explosif, mais cette même passion alimentait leur amour. Oh qu’il l’aimait. Il en était dingue. C’est pour cela qu’un après-midi il avait posé un genou au sol et lui avait demandé l’éternité. Il fut sorti brusquement de ses pensées en entendant la foule prendre un souffle tandis qu’il perdait le sien. Ses yeux dévoraient la silhouette blanche qui s’avançait lentement dans l’allée, son sourire perceptible à travers son voile, et Neil sentit le sien lui faire écho. Elle était là. Elle était sienne. Pour toujours. Tout allait bien se passer.

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Quatre heures qu’il était là. Barricadé dans une petite épicerie, replié entre le mur du fond et le comptoir, la tête enfouie entre ses genoux et le corps tremblant sous ses sanglots. Caché aux yeux du monde, il s’autorisa à se laisser aller une dernière fois. Après tout, n’avait-il pas de bonnes raisons ? Il y a deux jours – ou peut être était ce trois – sa femme avait péri dans ses bras, oubliant la panique de sa mort imminente pour prendre le temps de lui dire que ce n’était pas grave, que tout allait bien se passer. Il l’avait tué. Elle était déjà morte, d’autres lui dirait, mais tout ça ce ne sont que des détails. Neil avait pris le temps de la coucher sur le lit, passé une dernière main dans ses cheveux, et l’âme à vif, était parti retrouver ses parents. Le spectacle qui l’y attendait acheva de le détruire. Il les avait retrouvés, côte à côte dans le canapé, chacun arborant une tempe dégoulinante. Le suicide. Neil leva ses yeux embués sur l’arme qui reposait à ses côtés. Il avait envisagé la solution. Il l’avait même apprécié. Beaucoup. Mais il n’y arrivait pas. Il était allé jusqu’à enfoncer le canon dans sa bouche mais n’avait jamais réussi à presser la détente. Et pour ça il se détestait encore plus. Chez ses parents, Neil avait laissé une note. Il avait encore deux frères dans la nature, et imaginer leur survie semblait être le seul fil maintenant son équilibre mental. Il lança un regard noir sur l’arme, l’accusant inutilement de ne pouvoir s’animer toute seule et le débarrasser du fardeau qu’était devenue la vie. Un bruit. Neil se saisit de son revolver et se releva d’un bon. Son cœur battait déjà la chamade, anticipant la vue d’un autre zombie assoiffé de son sang. Neil n’était pas quelqu’un de brave. Il n’avait pas pour ambition de libérer la race humaine en faisant sa part des choses pour éradiquer les zombies. Il voulait juste survivre, que le temps passe. Il avait espérer éprouver de la satisfaction en tuant son premier zombie. Mais rien. Juste du vide. Son besoin maladif de vengeance n’avait pas été une seule fois alimenté alors que la colère lui faisait abattre plus de fois que nécessaire le canon de son arme contre le crâne de son adversaire. Il avait bien vite compris pourquoi. Les zombies ne peuvent pas éprouver le remord. Ils ne peuvent pas le regarder dans les yeux avant leur mort certaine et un instant peut être, éprouver de la culpabilité pour avoir tué des innocents. Neil compta jusqu’à trois et se mit à découvert. Il lâcha un soupir en voyant un homme lui faire signe à travers la vitrine. Ne lâchant pas son arme, il ouvrit légèrement la porte. « Qu’est ce que tu veux ? » . L’homme le considéra un instant « Euh rien…j’étais venu voir s’il y avait quelque chose à récupérer ici » . Neil resserra sa prise sur l’arme à ses mots. « Et puis je t’ai vu et je me suis dit, cool, un humain! » . Neil haussa les sourcils et s’appuya contre l’encadrement de la porte « Donc, puisque toi et moi on préfère notre viande un peu plus cuite, ça nous oblige à avoir une conversation ? » ironisa-t-il. L’autre ouvrit la bouche et la referma, à défaut de réponse. « Ecoute » reprit Neil « J’ai franchement pas la patience, ni les ressources, pour te supporter bien longtemps, alors il serait préférable que tu continue ton chemin » . Le gamin, il ne devait pas avoir plus de 22 ans, fronça les sourcils à ces mots. « Je ne te demande rien. Mais je viens de passer les quatre dernières semaines sans voir une seule personne qui n’était pas morte, alors excuse moi de chercher le moindre contact humain ! » . Neil l’observa un instant, ses paroles résonnant douloureusement dans sa poitrine. Neil n’avait jamais aimé la solitude. Il savait qu’être confronté à lui-même et ses pensées allait le rendre dingue bien vite. Mais il n’était pas près à faire l’effort. Pas encore. « Tu passeras le bonjour au prochain survivant que tu croisera » glissa-t-il dans un mouvement pour refermer la porte. Un pied s’insérât dans l’encadrement, bloquant sa fermeture. Neil leva un regard irrité vers son interlocuteur mais l’autre réagit plus vite que lui. « Il y a un camp » . L’insulte naissant dans sa bouche s’évanouie. « Quoi ? » . « Un camp. De survivant. Au Texas. J'en ai entendu parler, c’est là bas que je me rends. » dit-il d’un air excité. « Tu devrais venir » ajouta-t-il après un moment. Neil ne dit rien pendant de longues secondes. « Je suis sûr que tu t’y plaira » murmura-t-il enfin d’un ton qui avait perdu toute hostilité devant l’espoir vain du jeune homme. Il fit mine de fermer la porte mais elle fut de nouveau stoppée. « S’il te plait. Viens avec moi. Tu vas mourir ici tout seul » . Neil aurait voulu lui hurler dessus, lui demander ce que ça pouvait bien lui faire, mais sa gorge s’était enrouée sous une pression désagréable. « D’accord » souffla-t-il. « D’accord » .

pseudo ✄ Freaky Business prénom ✄ Margaux. age ✄ 20 ans. pays ✄ France. sexe ✄ oh, je suis vexée... comment es-tu arrivé ici ? ✄ Bazzart. que penses tu du forum ? ✄ Ça m'a l'air bien naze, mais que voulez-vous, j'ai du temps à perdre...il est GÉNIAL oui . avatar ✄ Tom Hiddleston . personnage inventé ou scénario ? ✄ inventé. un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ Cacahuète.