| Sujet: Abel ☎ You make me super suicidal[100%] Sam 12 Mai - 20:35 | |
| ❝ Abel Klaus Bartown ❞prénom ✄ Abel, Klaus. nom ✄ Bartown. âge ✄ 26 ans. sexe ✄ Mâle. nationalité ✄ Anglaise. origines ✄ Écossaise et Anglaise. votre métier avant que tout cela ne commence ✄ Préparateur de corps. Cela veut dire ? C'est moi qui me suis occupé de rendre présentable ta défunte grand-mère qui avait roulé sous un camion et qui avait été mangé par des chats. qualités ✄ méthodique - intelligent - franc - calme - blagueur - observateur - patient - aucune gêne. défauts ✄ froid - distant - obsédé par la mort - associable - égocentrique - observateur - arrogant - pervers. groupe ✄ kill you is my only obsession.
Night full of death and some say end of timesDans cette partie vous devez répondre aux questions suivantes en un minimum de cinq lignes. Elles serviront à mieux cerné votre personnage et également ses chances de survie.
Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ Cela dépend !? Il me doit de l'argent ou pas. Non. Non, sérieusement. La mort n'est qu'un passage. Il faut pas la pleurer, mais la célébrer. C'est mon ami - surement le seul en plus vu mon caractère - alors il mérite de mourir correctement et dignement. Moi, je me plaisante pas avec la mort. Alors je pense que je vais plus miser sur le tranchage de tête, car je trouve cela barbare de lui marteler la boite crânienne à coup de pelle. Par contre, une fois que c'est fait, je le laisse pas là. Je vais m'occuper de sa dernière sépulture. Quoi un zombie ne peut espérer à rejoindre l'éternel ? Laissez moi croire le contraire.
Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Je dirais une bonne heure. Je me base sur mon jogging que je faisais tous les matins avant ce virus. J'adore courir même si je suis de type solitaire, à rester enfermer dans ma petite salle de torture. J'adorais à l'époque me lever tôt pour courir quand il faisait encore nuit. La ville endormie, c'était pour moi beau, cette obscurité qui dévorait les immeubles et les corps. Les lumières de la ville m’obsèdent et la nuit on voit des choses, combien de fois je me suis arrêté de courir car un accident sur la route avait arrêté la circulation ? M'approchant pour découvrir ses corps couverts de sang et à l'agonie. Moi, obsédé par la mord ? Complétement !
Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Oui, mon petit-frère et personne d'autre. Désolé ! Je n'ai jamais aimé personne d'autre en vingt-sept ans et j'en suis fier, même pas mes parents. J'ai toujours préféré mes cadavres. Je sais cela fait bizarre dit comme ça, mais je me comprends quand je dis ça. Eux, je pouvais leurs parler. Nous avions ces moments privilégiées ensemble ou j'étais maître de leurs destins. Une sorte de seigneur sur un peuple décédé. J'aimais gouverné, imposé ma loi. Mais, je suppose que maintenant je vais devoir me rapprocher des vivants. Beurk ! Je parie qu'ils ont pleins de maladie...
Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Oui ! Du scalpel à la tronçonneuse. Ou tout ce qui aide à découper ou a l'ouvrir. Par contre, je n'ai aucune connaissance des armes à feux. J'aurais pu apprendre avec l'apparition des premiers zombies, et j'en ai pas peur. Le problème des armes pour moi, c'est que cela s’enraille, quand tu n'as pas de munition tu es vert, qu'un bon hachoir de boucher ou une hache, c'est bien plus pratique pour moi. J'ai donc sur moi mes outils de mon ancien métier. J'ai visité une ancienne boucherie et je me suis fait une ceinture avec des couteaux et le fameux hachoir, très pratique, je vous conseil.
Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ * rire * Je suis associable. Ding. Ding. Je déteste les vivants et je préfère les morts - les vrais. Quand le monde était encore débout, je vivais entre mon travail et mon appartement. Je passais mes commandes par internet. Je devais adresser la parole à un être vivant une fois tous les mois: mon postier. Je n'ai rien contre les gens. C'est juste que j'aime ma solitude, mon monde et ma vie. Personne n'aime entendre parler de la mort. Je peux le comprendre. Moi, je suis obsédé par elle. Je n'ai rien contre le partage par contre. Je ne suis pas égoïste. C'est vraiment deux choses complétement différente. Je ne laisserais jamais mourir quelqu'un, mais qu'on me demande pas de faire la route avec et de lui faire la conversation.
L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Je suis curieux. Je dirais que je me trouverais une zone sécurisé en hauteur pour observer. Je suis vraiment curieux, moi qui ne laissait ses histoires de zombie que dans les livres et les comics. Et, je me dis que les observer, cela m'aider à survivre non ? Je vais donc prendre des jumelles et m'installer en haut d'une zone tout en mangeant des M&M's. Faire ce que je faisais quand je bossais encore. Quoi, c'est dégoutant de manger prêt de cadavres ? Si vous saviez tout ce que je faisais prêt des cadavres. Aahahha ! Non, je plaisante. Mais, je dois dire que le chaos m’obsède et je suis curieux de le voir se mettre en place. Voir les gens hurler, crier et courir dans tous les sens. Sadique ? Non ! Juste curieux. Tellement curieux.
Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Je sécurise le périmètre. Aahha ! J'ai toujours rêvé de dire cette phrase. Je vérifie si je peux trouver à manger ou à boire. C'est que moi j'ai besoin de sucre et vu l'apocalypse. Je suis prêt à présent à tuer pour un paquet de bonbon. Puis, après je me repose tout en nettoyant mes couteaux. J'aime pas quand les choses sont sales. Ah, oui ! Je prends une douche si c'est possible. Je déteste puer la mort et être en sueur. Moi, qui avait l'habitude de prendre trois douches par jour, je suis à la limite de la crise de nerfs. Après, je suppose que je ferrais un peu le tour de la place, pour voir si je vois des cadavres. Bah, oui, je suis un homme, j'ai des besoins à satisfaire....Vous êtes bêtes !! Vraiment ! C'est trop facile vous de vous menez en bateau. Sincèrement, bande de pervers.
I'm coming back from the dead and ill take you home.
« Abel, vient là ! Vient le sentir ! Il a bougé ! » me demanda ma mère. J'étais une vraie pile électrique, je bougeais et sautais partout. Je m'approchais le visage et les mains couvertes de terre. Pourtant, ma mère ne me regardait pas avec colère, son ventre rond me faisait un peu peur, néanmoins elle m'attrapa avec un profond amour. J'allais avoir un petit-frère, où en tout cas un demi-frère, car ma mère venait de ce remarier. « Tu le sens ? » J'agitais la tête. Je le sentais même bien cette petite vie. Il semblait être prêt à sortir d'un moment à l'autre. Ma mère se colla à moi, alors que mon nouveau père s'approchait avec des boissons fraiches. « Tu vas devoir t'occuper de lui ? Cela va être ton rôle d'être un bon frère d'accord, Ab' ? » Je continuais de hocher la tête machinalement, pourtant dans ma jeune tête je ne savais pas quoi penser. Oui, j'étais heureux, j'allais avoir un nouveau compagnon de jeu. Mon nouveau père me caressa la tête avec entrain. Puis il me regarda plus attentivement. « Et, bah ! Tu as encore trainé où, toi ? » « J'ai joué à la bagarre avec Timmy et Paul ! C'est moi qui est gagné, Bob ! » Il ne s'appelait pas Bob du tout, mais j'aimais bien l'appeler comme cela. Je lui montrais que tout n'était pas gagné avec moi. Qu'il avait peut-être gagné l'amour de ma mère, mais que le mien, il allait devoir se battre pour l'obtenir. Une perle de sang goutta de mon nez, ma mère poussa un petit cri. J'essayais de la rassurer, ce n'était rien, j'avais dû me cogner. J'étais déjà une petite tête brûlée. Les voisins me prenaient pour un petit sauvageon, cependant je m'en moquais. Nous étions le parfait portrait d'une famille qui se reconstruisait dans cette nouvelle maison.
On me disait acerbe. C'est qu'on ne comprenait pas mon sens de la repartie. On me disait insensible. C'est qu'on avait rien compris à la vie. Je regardais la créature ménopausée qui s’égosillait face à moi, comme si elle allait bientôt imploser. Cela aurait été drôle, mais au lieu de cela, elle continuait à parler de mon attitude qui lui semblait inadapté à mon poste actuel. Son aspect amphibien me donnait la nausée, et ses joues qui continuaient de se gonfler et de se rétracter. J'avais mes chaussures sur le bord de son bureau, encore dans mon costume de. Je jouais futilement avec mon distributeur de Pez en forme de « Buzz L'éclair ». Sling...Sling...Mon doigt ripait sur l'embout avant de le relâcher. Cela semblait encore plus embêter la femme crapaud. Tant mieux, chacun sa souffrance, Bitch ! Je dois supporter ton speech fastidieux et bien j'allais te rendre folle, mais t’inquiète j'allais n'y prendre aucun plaisir. Et, tout cela pourquoi ? Je devais écouter l'autorité et en plus leur lécher le derrière ? « Un peu de souplesse, Jeune homme, ce n'est pas trop demander, si ? » Je décidais de me lever et ranger mon Pez dans la poche avant de ma veste de jeune militaire. « Monsieur Bartown ! Je n'ai pas terminé. » Cela ne survivait à rien qu'elle continue le crapaud. Si tout ce qu'elle avait pu me dire avait eu une chance de me faire changer. En plus, j'aimais pas sa manière de s'emporter. Je sais pas ce qu'il lui fallait, peut-être qu'elle se fasse retirer quelques toiles d’araignées ? Cela coinçait surement dans les rouages et lui donnait des sauts d'humeur, mais moi en tout cas, je pouvais rien y faire. Qu'on lui appelle Indiana Jones, Benjamin Gates, ou même Harry Potter pour lui aérer sa porte des secrets.« Il est où le problème ? Réellement ? Je ne suis pas le meilleur de vos employés ? Un préparateur de corps aux doigts de rêves ? Un magicien ? » Mon crapaud en perdit sa voix. Je m'approchais. Je retirais le dernier bonbon de mon distributeur Buzz l'éclair et je lui insérais entre les lèvres avant de tapoter gentiment sur sa joue. « Allez, on se voit demain, donc ? Et, Gillian, cheer up ! » La virginité à soixante-ans, c'est pas si grave...Je levais le poing au-dessus de mon épaule en signe d'encouragement avant de quitter son bureau.
« Comment tu fais pour manger cela ? C'est que du gras ! » demandai-je, le sourire aux lèvres devant mon frère qui avait déjà terminé son assiette et qui se léchait les doigts à la recherche de sa serviette. Je lui tendis la mienne avec ce petit éclat qui allait mourir au fond de ma rétine.« Je suis repu...» Je sentis son regard s'assombrir alors qu'il me dévisageait dans ma tenue de préparateur de corps. J'explosai de rire.« Désolé. J'ai pas eu le temps de me changer. Je suppose que tout le monde nous regarde. » Je me plongeai dans ses expressions toujours plus provocatrice malgré le restaurant bondé que nous avions choisis. Mon frère n'était plus gêné par mon travail comme il avait pu l'être. Il se leva avec enthousiasme, éparpillant quelques billets sur notre table. Il me tira de ma chaise et m'attira dans sa fuite en avant. Il prit possession de ma nuque et me déversa au creux de l'oreille :« On s'en moque des autres. » J'aimais quand il me parlait comme ça. Soudain, déçu, je réalisai que sa main avait quitté ma personne et qu'il venait de s'arrêter. « Ma couille ! Fred, cela fait une éternité. » Je restai en retrait, moi et mon excitation galopante. « C'est clair, mon pote ! Je croyais que tu étais mort. Tu as changé de service ou quoi, espèce d'enculé ? » Je les vis se prendre dans les bras comme deux bons amis.« Ouais, j'ai décidé d'arrêter de trainer avec les tarlouzes des stup'.» Je détestai quand il parlait comme ça. Ils se mirent à rire et moi je commençai à être exaspéré. L'inconnu me dévisagea. « Pardon, Fred ! Je te présente mon grand frère. Abel.» En général, je jouai le rôle du parfait grand frère pour lui faire plaisir. J'offris mon plus beau sourire à l'inconnu sans pourtant m’approcher pour lui serrer la main. J'aimais pas les gens. J'aimais pas les gens, c'était comme ça.
◊ Puis le chaos, la fin du monde. Mon instinct me hurlait de fuir mais je devais retrouver mon frère. J'avais bien essayé de l'appeler, mais il ne décrochait pas. Sans perdre mon contrôle sur moi-même, je continuai de déambuler pour aller rejoindre son appartement. Peut-être qu'il avait trouvé refuge là-bas. Je l’espérai. Réalisant que j'avais beau dire que je tenais à personne. Il avait une personne que je ne voulais pas voir disparaitre dans ce monde, c'était mon petit frère. Il décrochait enfin son portable. « Allo ! Tu es où ? » Dans sa voix quelque chose ne tournait pas rond, je pouvais le sentir. « C'est horrible, Ab' ! J'ai poignardé Max...Il n'était plus lui même...J'étais obligé...Viens je t'en supplie ! » J'en lâchais mon portable. L'horreur dans la rue, mais je m'en moquai. J'étais au-dessus de cela. J'avais une mission. Je tombais finalement nez à nez sur mon demi-frère qui tomba dans mes bras. Je n'étais pas habitué à ce genre de démonstration, j'étais plus gêné qu'autre chose. « Il n'était pas lui-même...J'étais obligé... » Je restais immobile, avant de commencer à caresser les cheveux de mon frère. Max était au sol, mort. Nous devions partir. Prendre le minimum d'affaire et fuir la ville. Je me levais mais mon frère plongea ses yeux dans les miens. « Ne me laisse pas, s'il-te-plaît ! » Je le rassurais en restant près de lui. « Je ne vais pas te lâcher, je suis là. » « Merci (...) Je vais seulement fermer les yeux. » Il se roula en boule sur mes genoux, épuisé par l'émotion. C'était plus que nous deux maintenant, je sentais cette chaleur au fond de ma poitrine. Je me sentais si bien. Je me penchais et je déposais un baiser sur son front.
Nous marchions depuis des jours. Combien de douches nous n'avions pas prises ? Le visage de mon frère couvert de cette crase et le mien encore couvert du sang d'une de ses choses qui m'avait éclaboussé le visage. Nous étions épuisés. Je pouvais le sentir. Heureusement pour notre salut sur l'immense route, se dressa un petit poste essence. Après avoir sécurisé les lieux, nous nous installions à l'intérieur. Je voyais bien que mon demi-frère n'avait pas le moral. Je m'agenouillai devant lui, je sortais l'eau avec un tissu et je lui épongeai le front. « Il te manque ? » Je vis mon frère fondre en larmes, une chose déchirante même pour moi qui ne montre jamais mes émotions. « C'était l'homme de ma vie...Tu savais que nous avions prévus de nous marier ? » Tout en tamponnant son visage, j'arcquai un sourire, pour sortir mes bêtises qui arrivait toujours à le faire rire. « Je croyais que deux tapettes ne pouvaient pas se marier ?» Mon frère me tapa mais rigola finalement. J'avais gagné. Je n'ai rien dis de plus, que le prendre dans mes bras, ce que je n'avais jamais fait vraiment pendant toute notre enfance. Aujourd'hui, je me rattrapai. Pas que j'en ressenti le besoin, mais lui avait besoin de chaleur. Max était l'homme de sa vie et je me moque que mon frère soit homosexuel. Je l'aime comme il est. Puis, nous avons entendus des bruits. Nous étions devenus paranoïaque. « Prends ton arme ! » Nous allions devoir encore nous battre. Mais, pour moi, il était impossible d'abandonner. Nous allions bien trouver des gens, des survivants, une civilisation ? Moi qui fuyait depuis des années les autres, je rêvais d'eux à présent. Ce n'était pas ironique, tout ça ?
t'es qui toi ? pseudo ✄ Electra hearts. prénom ✄ Electra. age ✄ 20 ans. pays ✄ France. sexe ✄ Abricot. comment es-tu arrivé ici ? ✄ bazzart. que penses tu du forum ? ✄ magnifique. avatar ✄ Richard Madden. personnage inventé ou scénario ? ✄ Inventé. un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ Bazinga !
Dernière édition par Abel K. Bartown le Dim 13 Mai - 6:47, édité 32 fois |
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