prénom ✄ Tu respires depuis ton enfance. Tu respires sous le nom d'Alexis. Car personne n'aurait l'idée saugrenue de t'apeller Alexis-Hunter. C'est long. Trop long. Et tu détestes ce deuxième prénom. Il s'agit du prénom de ton père. Et tu détestes ton père. Alors, depuis ton enfance, à l'école, dans la rue, avec tes amis, des collègues parfois, tu préfères donner ton seul premier prénom uniquement. Les prénoms composés sont à fois trop longs, trop laids et trop horribles à porter. Tu ne saurais dire pourquoi tes parents t'ont appelé ainsi. Le second prénom est connu de tous comme celui de ton père. Mais Alexis? Personne dans ta famille ne s'est jamais appelé comme ça. C'est donc bien étrange que ta mère et ton père aient décidés de t'appeler ainsi. Mais qu'importe. nom ✄ Tu ne sais pas trop d'où vient ton nom. Tu n'es pas un grand fan des histoires de famille. Tu sais néanmoins quelques petites choses sur ton nom. Il n'est pas totalement américain. Il s'agit d'un nom écossais ou irlandais, de ce que tu en a lu. Il s'agit également d'un nom assez répandu, un peu partout en Europe et en Amérique du Nord. Ceci dit, tu n'irais jamais chercher les autres membres de ta supposée super grande famille. Parce que tu n'aimes pas la famille. Et que rechercher des membres de ta famille ne t'intéresses pas. Trop de complications, pas assez de remerciements. Tu préfères donc rester dans le doute et te dire que ton nom est un nom aux origines multiples et répandu. âge ✄ Tu es né il y a tellement longtemps, au final. Tu as appris les choses sur le tas. Un père absent, une mère morte... Ça n'aide pas forcément. Ainsi, tu es né, il y a de cela vingt-six ans. Vingt-six ans. Tu t’apprête à fêter ta troisième décennie. Que c'est rapide. La vie est bien trop rapide. Elle t'échappe, comme de la poudre, comme de la poussière. Tu es né un jour funeste. Deux Novembre. Un jour qui s'inscrit dans le calendrier comme le jour où l'on fête les morts. Voilà qui te déprime chaque année, encore plus. Peut-être mourras-tu, un jour prochain, au détour d'une ruelle, à cause de cette malédiction. sexe ✄ Tu te demandes comment tu aurais vécu en étant une fille. Une femme. A vrai dire, tu n'aurais pas vécu, tu aurais survécu. Tu n'aurais jamais pu faire ce dont tu es fier dans ta vie. Tu aurais une vie assez compliquée, assez banale. Or, tu es un homme. Tu es fier de l'être. A vrai dire, être un homme t'arranges sur tous les plans. Mais qu'importe. nationalité ✄ Tu sais que tu es né aux Etats-Unis. De ce fait, tu est américain. origines ✄ Une mère espagnole, un père anglo-américain. Le choc des cultures, n'est-ce pas? En tout cas, tu sais juste que ta mère est partie d'Espagne lors d'un affrontement entre les civils et la police et que ton père vivait à Londres avant de rejoindre les Etats-Unis pour ses études. Ils se sont rencontrés au détour d'une ruelle. Tu ne dirais pas que c'est le coup de foudre qui les as poussé à s'aimer, mais plutôt la pitié que l'un et l'autre ressentaient pour l'autre. votre métier avant que tout cela ne commence ✄ Agent du FBI en formation. Tu n'avais pas vraiment beaucoup de compétences à acquir. Tu as appris sur le tas. Donc, tu connaissais pas mal de choses au final. Mais, il t'aurais fallu une année au minimum de plus pour pouvoir devenir quelqu'un d'important au sein du bureau. Tu n'étais qu'un agent en formation, un lapin des prés, un lutin des champs. Un larbin aux yeux de pas mal de monde. A vrai dire, ça te plaisait tout de même. Être agent a toujours été une vocation. Tu ne peux pas trop dire pourquoi, comment... Mais c'est une vocation. Pourtant, on ne peut pas dire que tu sois fait pour aider les autres. Mais devenir agent du FBI est un rêve depuis que tu es petit et que l'orphelinat t'as lâché, dans ce monde hostile. qualités ✄ Tu es protecteur, courageux, stratège, intelligent, dynamique, têtu, aventureux, confiant et fort. défauts ✄ Tu es également hautain, macho, impulsif, sournois, manipulateur, menteur, charmeur, bagarreur et trop franc. groupe ✄ you have no idea what i can do. (and what I wanna do if you do not stop your thing)

pseudo ✄ il parait que sur le net on me nomme starks* ou psychicangel précédemment. J'ai été aussi heaven, sky et tout un tas de pseudos plus débiles les uns que les autres. prénom ✄ on ne rit pas, ou j'égorge avec mes propres mains. j'm'appelle Kevin. Oui c'est moche, oui ma mère devait pas beaucoup m'aimer à la naissance mais hein... age ✄ j'ai dix-huit ans, et j'ai même la même date de naissance que le blondinet du haut. pays ✄ la Tchécoslovaquie. Non je blague xD. La France. :N sexe ✄ Toujours. Et avec protections, s'il vous plait. comment es-tu arrivé ici ? ✄ un elfe des bois m'a montré le chemin. (Marine/Evander). que penses-tu du forum ? ✄ Ma préence ici est une réponse à la question. avatar ✄ J'ai pris à contre coeur Ludwig. Non je blague. Donc Alexander'seiksomgfragralicious'Ludwig. personnage inventé ou scénario ? ✄ Scénario. un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ Petite pensée pour Dobby, premier elfe libre. .

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faites-vous ? ✄ Tu es méthodique. Tu ne pleures pas. Tu ne hurles pas à la mort. Tu analyses la situation. Est-il assez proche de toi pour venir te tuer? Tu n'auras pas le temps de fuir, il t'auras rattrapé. Tu n'es pas du genre à fuir devant le danger. Tu ris du danger. Tu te complais dans le danger. Quoi qu'il en soit, si tu vois ton ami mourir, ton courage prendra très certainement le dessus. Tout simplement parce qu'il s'agit d'une capacité naturelle. Tu préfèreras combattre que te rendre. Combattre que fuir. Combattre est dans ta nature. Fuir est un comportement indigne d'un agent. Tu examines beaucoup de facteurs. Si ton adversaire est fort, s'il est faible. Si la proie est lointaine ou plus près de toi. Si tu es en possession d'armes. Si tu peux tuer cette créature de Satan. Ceci dit, avant de combattre ce monstre, tu évalues les blessures de ton ami. Tu évalues la gravité. Tu cherches un moyen de stopper l’hémorragie. Tu restes auprès de lui, tu lui offres un peu de réconfort, avant qu'il ne trépasse et tombe dans le monde des Ténèbres. Tu n'as pas peur de la mort. Tu n'as jamais eu peur de la mort. A vrai dire, tu ne dirais pas que tu l’accueillerais comme une amie, mais elle ne te fait pas peur. Après tout, le travail d'un agent est d'affronter la Faucheuse au jour le jour. Alors, tu n'affrontes cet ennemi que dans l'optique de pouvoir te libérer. Quoi qu'il en soit, la fin est proche. Soit tu survis, soit tu meurs. C'est une équation rapide. Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Tu ne saurais évaluer ce genre de choses... Après tout, tu n'as jamais eu à évaluer ce genre de choses... Mais s'il te fallait donner une moyenne, tu dirais une bonne heure... Il s'agit d'une moyenne bien évidemment. Comment être sûr de ce genre de choses après tout? Jamais tu n'as eu à courir autant au final. Tu n'as jamais pu aller sur le terrain, sur de grosses missions. Ainsi, tu es une petite pointure, tu n'as pas eu, et ça risque d'être effectif jusqu'à un bon moment, à courir aussi longtemps. C'est de la pure folie de toute manière. Si l'on perd une proie, on attend qu'elle ressurgisse. C'est aussi simple que ça. Ceci dit, à hauteur de petits pas, d'une course légère, sans trop d'armes, l'heure peut être facilement tenue. Tu as été entrainé pour ça. Tu t'es entrainé tout seul, mais tu as été entrainé. Il s'agit de quelque chose d'assez simple au final. Il s'agit de détermination, de courage. De ne pas baisser les bras. Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ Traverser une ville infestée de zombies ne serait pas un problème. Après tout, en tant qu'agent, tu as été entrainé au danger. Maintenant, traverser la ville, infestée de zombies, pour aller sauver quelqu'un que tu aimes? Tu ne pourrais répondre à cette question. Depuis ta plus tendre enfance, tu as appris à refouler tes sentiments, à éviter de montrer ce que tu ressentais. Alors traverser une ville infestée pour retrouver l'amour de ta vie... Eh bien, cela dépend de l'amour en question. Il est existe une seule personne au monde pour qui tu traverserais la ville pour la retrouver. Et elle doit l'ignorer. Mais, tu ne te considères pas assez fort émotionnellement pour pouvoir sauver n'importe qui. Ton coeur ne le supporterait pas. Tu ne veux et peux absolument pas montrer tes sentiments. Cette blessure te vient de la disparition de ton père. Tu as crié, tu as pleuré, tu as supplié, tu as hurlé. Mais rien n'y a fait. La dernière chose dont tu te rappelles, c'est son regard meurtrier sur ta personne. Il pensait sûrement que tout ceci était de ta faute. Il te laissait là, seul, à l'âge de deux ans et demi. Il ne pouvait plus supporter ta vue, visiblement. La perte de sa femme, et de ta mère par conséquent, devait être trop forte. Depuis tu as appris à te forger une carapace, une carapace tellement dure qu'elle ne se brisera pas. Maintenant tu ne pleures plus, tu ne ressens plus extérieurement. Tu sembles froid comme la pierre, froid comme la glace. Mais au contraire de cette dernière tu ne te briseras pas. Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ Tu as manié beaucoup d'armes. peut-être bien trop pour tout une vie. La violence qu'elles procurent t'arrache l'esprit. Quoi qu'il en soit, tu possèdes un simple pistolet, arme de prédilection de tout agent du FBI. Tu as d'autres armes bien évidemment. Ton arme préférée reste l'arc à poulies. Pourtant, il ne semble pas que ce soit réellement efficace. Ceci dit, tu aimes bien cette arme. Tu ne saurais dit pourquoi. Mais vous avez une connexion assez étrange tous les deux. Quoi qu'il en soit, même si cette arme ne semble pas efficace pour tout type d'ennemis, tu as eu du temps pour pouvoir t'améliorer pour l'utiliser. Désormais, sans être médisant, tu pourrais dégommer un animal en pleine course sur une montagne de lave. Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ Tu ne pourrais pas dire que tu es le roi du partage. Non on ne t'as pas bien éduqué. Non tu ne partages pas. Non tu ne penses pas aux autres avant de penser à toi-même. Certes, tu fais un métier de défenseur de la paix, mais cela ne fait pas de toi un idiot au final. Tu as appris le célèbre dicton 'tuer ou être tué' et il est valable pour ta vie dans tous ces aspects. Jamais tu ne faibliras, jamais tu ne te réduiras à devoir offrir aux gens ta bonne humeur. Elle n'existe pas de toute manière. Non, tu ne partage pas. Dent pour dent. Pour toi, partager signifie ne pas avoir assez pour toi-même. Pourquoi se mettre en danger pour des gens que tu connais à peine et dont tu n'auras pas le souvenir d'ici deux jours ? Tu préfères de loin rester toi-même, faire ton radin. C'est peut-être idiot et méchant, mais tu préfères survivre que voir d'autres survivre à ta place et te voir dépérir. C'est comme ça. Tu n'as pas été éduqué comme il fallait ? Grand bien vous fasses. Tu t'en fiches royalement. Après tout, les préceptes qu'on nous inculquent ne sont pas forcément les meilleurs. L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ Au final, tu n'as jamais eu de maison à proprement parler. Ainsi, ton appartement te serait d'une utilité vaine. Tu te rends plutôt dans la boutique d'alcool la plus proche et tu emportes un maximum de provisions. L'alcool tient chaud, il ne purifie pas le sang, mais il tient chaud. Certes, tu risques de devenir vite à court de tes propres moyens, mais qui s'en soucieras ? Après tout, rien n'est plus grave que de mourir. Et si tu dois mourir en étant bourré, autant être bourré comme il le faut. L'Apocalypse te fait peur, évidement. Mais mourir sobre, voilà une idée farfelue. Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Tu évalues le terrain. D'abord tu cherches à savoir si quelqu'un t'as repéré. Si c'est le cas, il va falloir l'éliminer. C'est comme ça. Dans le cas contraire, tu sécurises le périmètre. Ta planque doit avoir une porte, une pierre ou autre chose pour en dissimuler l'entrée. Tu tentes tant bien que mal de dissimuler que tu te caches là dedans. Une fois fait, plus personne ne pourra voir que tu es dedans. Et là, tu pourras essayer de chercher du bois, et faire un feu peut-être, si les moyens du bord sont extrêmes. Si tu as a disposition des bougies, alors tu allumeras les dites bougies. Tu risques de t'endormir sur le sol, alors tu installes une couverture, et tu y déposes un oreiller. Ce n'est qu'un abri de fortune, mais c'est déjà ça. Quoi qu'il en soit, sécuriser le périmètre et en cacher l'entrée est la première chose à faire, si l'on doit se cacher.

« Alexis. Caches-toi. » La voix de ta mère sonne comme une alarme. Comme un ordre également. Elle est effrayé. Ca se sent dans sa voix. Elle tremble. Mais tu n'objectes pas. Tu as alors cinq ans. Cinq ans... Tu ne comprends pas d'où la peur de ta mère lui vient. Tu essaies d'argumenter, comme un enfant de cinq ans. « Mais... Maman... ». Le regard de ta mère se durcit et elle continue, sa voix plus pressée que jamais. « Là-dedans. », te dit-elle en te montrant l'entrée de l'armoire. « Quoi qu'il arrive, ne sort pas de cette armoire. Quoi qu'il arrive, soit silencieux. S'il m'arrive quelque chose, attends qu'ils soient partis. » Tu n'as pas le temps d'adresser des derniers mots à ta mère, qu'elle ferme la porte de l'armoire. Seul un minuscule espace dans le bois te permet d'observer la scène du fond de l'armoire. La porte est fracassée par une brute sans nom. Une deuxième entre. Ta mère recule d'un pas, de deux, puis trébuche sur le lit. La scène est d'une rare violence. L'homme tire ta mère par les cheveux. Tu ne peux t'empêcher de frôler l'exclamation de peur. Mais tu te souviens des mots de ta mère. Ne pas crier. Surtout. C'est l'important. Tu tentes de garder ton sang-froid. Tu tentes de regarder la scène sans que des larmes coulent de tes yeux. Impossible. De chaudes larmes s'échappent et tombent sur le sol de l'armoire en bois. Tu ne peux t'empêcher de regarder la scène avec un œil fermé. Que font-ils à ta mère ? Comment osent-ils faire ce genre de choses ? Pourquoi la frappent t-ils ? Ta mère hurle, se débat. Elle essaie tant bien que mal de ne pas succomber aux blessures. Elle reste envie. Comme elle l'a toujours fait. Un troisième assaillant franchit la porte. Il est armé. Les deux autres sont que de vulgaires battes, mais lui possède un pistolet. Il s'approche de ta mère. Tu voudrais lui dire de s'arrêter, sortir de l'armoire, te placer devant ta mère, la protéger, mourir à sa place. Tu voudrais lui dire je t'aime, avant qu'elle ne parte. Mais une fois de plus ses mots résonnent dans ta tête. Tu ne peux désobéir aux ordre de ta mère. Tu restes là. De plus en plus de larmes coulent de tes yeux, atterrissent sur tes joues et fondent sur le sol de l'armoire en bois. Tu observes la scène d'un œil médusé. Ta mère se trouve violentée, par on ne sait trop qui, et ton père n'est pas là pour la défendre. Tu regardes, encore et encore, cette scène de violence extrême. Le type armé s'avance prudemment de l'oreille de ta mère et lui demande. « Un dernier mot ? » Ta mère se débat, encore et encore. Son courage n'a de cesse de grandir. Tu ne peux qu'admirer pour ça. Elle regarde l'homme, droit dans les yeux... « Vas brûler en enfer, pourriture. » Le coup final, la dernière chance arrive enfin. Ta mère s'écroule. Tu voudrais hurler. Mais tu n'y arrive pas. Des larmes coulent encore et toujours de tes joues.

Tu te réveilles en sursaut. Encore une fois tu es en sueur. Voilà qui est l'affaire de toute une vie. Depuis que tu es petit, depuis tes dix ans environ, tu te réveilles chaque nuit. Toujours le même rêve. Le même cauchemar plutôt. Au final, c'est la même chose. Tu te réveilles en sursaut, des fois tu hurles après ta mère. Parfois tu es en sueur. La plupart du temps tu pleures. C'est le cas. Presque comme toujours. Tu détestes dormir. Tu dors parce qu'il le faut. Parce que dormir t'apportes tout ce dont tu as besoin. De la force. Tu ne sais pas trop ce qu'il est advenu de ton père après la mort de ta mère. Tout ce dont tu te souviens reste là. Dans ce que tu as rêvé. De la période de ta naissance à tes sept ans, c'est la seule chose qui réside dans ton esprit. Le reste s'est envolé. Tout a disparu. Ton père en particulier. Tu ne sais pas trop ce qui lui est arrivé. Tu ne te rappelles même pas de son visage. Ni de son prénom. Tu ne pourrais même pas le retrouver si tu le désirais. Parce que tu ne connais plus rien de lui. Tout ce dont tu te rappelles c'est ça. Un orphelinat, un orphelinat comme les autres, et rien d'autre. Tu sais de ta vie avant l'orphelinat ce que l'on t'en a dit. Et ce rêve. C'est tout. On t'a donc raconté, et même si tu n'y crois pas, tu es bien obligé d'admettre que le récit est bien ficelé, qu'après la mort de ta mère, ton père était inconsolable. Qu'il a été arrêté avant d'essayer de t'envoyer à la mer. Ceci ressemble plus à une fable qu'à autre chose. Tu penses plutôt qu'il a essayé de fuir, comme un lâche. Tu le hais depuis tout ce temps, uniquement pour ça.