prénom ✄ lizbeth naevia. nom ✄ harper. âge ✄ vingt trois années. sexe ✄ féminin. nationalité ✄ américaine. origines ✄ australiennes - américaine votre métier avant que tout cela ne commence ✄ photographe. qualités ✄ douce, déterminée, courageuse, généreuse, de confiance, perfectionniste, chaleureuse, intelligente, passionnée. défauts ✄ introvertie, lunatique, protectrice, curieuse, maladroite, impatience. groupe ✄ dealing with hell on earth

Dans cette partie vous devez répondre aux questions suivantes en un minimum de cinq lignes. Elles serviront à mieux cerné votre personnage et également ses chances de survie.

Vous vous retrouvez en dehors de la zone sécurisé un zombie vient de tuer votre ami, vous savez qu'il ou elle est condamnée que faite-vous ? ✄ Je pense que c'est la question qui a traversé l'esprit de chacun d'entre nous. Je dois avouer que sur le moment même, je ne sais pas ce que je ferais. Du moins, je sais par avance que je garderais mes distances tout en essayant de trouver une issu à ce problème juste devant moi. Je demanderais à mon ami ce qu'il veut que je fasse. Est ce qu'il veut vivre en étant l'un des leurs ? Ou est ce qu'il veut que je mette fin à ses jours avant que tout cela prenne une ampleur qu'on ne pourra pas contrôler ? S'il me demande d'arrêter son coeur de battre, je crois que je le ferais. En pleurant, certes, mais je ferais mon possible pour remplir cette dernière volonté. Et s'il ne veut pas, s'il veut essayer.. Je serais dans l'obligation de partir, de le laisser. Je ne veux pas prendre le risque d'être contaminée car je ne veux pas faire partie de ces âmes qui èrent dans les rues de la ville, derrière un mur, une porte, attendant une proie. Je ne pourras pas suivre cette voie mais je respecterai quoi qu'il en soit, son choix.

Combien de temps pouvez-vous courir avant d'avoir besoin de vous reposer ? ✄ Malheureusement pour moi la course ne fait pas partie de mes possibilités physique. Avec cette opération qui a mal tournée, je suis dans l'obligation de me servir d'une beguile pour ne pas flancher. Alors courir, j'ai arrêté d'espérer. Ce n'est pas dans mes moyens, je ne suis pas assez forte pour faire quelques mètres en courant. Non. Je suis plus du genre à me trainer quand je dois prendre la fuite. J'ai beaucoup de difficulté à tenir sur une longue distance sans être éssouflée. C'est vraiment pas facile à gérer mais je fais ce que je peux. Je vie comme ça, depuis pratiquement toujours. Même si ça n'a pas toujours été facile à gérer. J'essaye de ne pas montrer mes faiblesses. Au lieu d'avoir de la vitesse, j'essaie d'être perspicace. Même s'il m'est déjà arrivée de me faire prendre au piège. Le self contrôle, ça me connait par expérience. Néanmoins, une situation ne peut pas toujours être la même. Je peux perdre pied à tout moment donné, je reste humaine.

Serez-vous capable de traverser la ville infesté de zombie pour retrouver l'être que vous aimez ? ✄ J'en serais capable. Car je pense que les sentiments passent au dessus de mon côté raisonnable. S'il y a une chance pour que cette personne soit toujours elle - même, je serais du genre à aller la retrouver. Qu'importe si j'y arrive ou non, mais je ne pourrais pas avancer sans prendre le risque. Je ne pourrais pas faire comme si de rien n'était, sans avoir la confirmation que tout était perdu d'avance. Quand on aime, on ne compte pas. Je suis bien placée pour le savoir même si je n'ai jamais vécu cette situation. J'espère ne pas la vivre également. Néanmoins, je serais prête à donner tout ce que j'ai pour rejoindre cette personne qui compte, cette personne que je serais susceptible d'aimer..

Avez-vous déjà manié une arme ? En possédez-vous une ? Savez-vous bien vous en servir ? ✄ J'ai une arme. C'est la dernière chose que m'a donné mon père avant de se donner la mort. Il venait d'être mordu et il ne voulait pas prendre le risque de me contaminer. Cependant, je ne sais pas m'en servir. Je n'ai jamais pensé la sortir en cas de besoin. Même si je l'ai toujours avec moi, dans le fond de mon sac, je n'ai jamais osé m'en servir. Les mains bien souvent tremblantes, je crains de toucher une personne qui ne fait pas parti de la contamination. J'ai peur de commetre une erreur que je ne pourrais pas supporter. Si un jour, je prends le temps de m'entrainer, peut être que je pourrais y songer plus souvent. Mais s'il m'arrive d'être prise au piège, je suis complétement capable de la sortir. En sachant que ça ne repousse pas les adeptes de nouvelles proies, toujours en manque de chair humaine. Qui sait, un jour peut être.. Un jour, je prendais le risque d'appuyer sur la gachette, on verra. J'évite d'y penser.

Savez-vous bien vous adapter en société ? Avez-vous appris à partager ? ✄ Je n'ai aucune difficultée à m'adaptée à un groupe de personne ou à partager. Sur ce point là, je ne suis pas égoiste, du tout et même parfois trop généreuse. Je ne suis pas non plus difficile à vivre. Il n'y a vraiment aucun souci pour moi. Même si j'ai passé quelques mois seule et cachée de tout, je dirais même que le sentiment de société me manquait. Etre seule n'est pas la bonne solution pour moi, vraiment pas. Car je serais suceptible de me laisser mourir, de me laisser éteindre dans un coin sans gêner personne, sans blesser personne. Le fait de se retrouver en groupe me donnerait plus de force. Dans le sens où ça me prouverait qu'il subsite un espoir pour l'humain et pour l'existence de sa planète bleue.

L'apocalypse vient tout juste de commencer quel est le premier endroit où vous vous rendez ? ✄ L'image de la première rumeur de contamination me revient sans cesse en mémoire. Quand mon père m'accordait ses pensées. Il savait par avance qu'une personne contaminée, allait avoir un impact sur toute l'humanité. Et s'il y en avait d'autres ? Il disait sans cesse qu'il en avait surement plus qu'une et que l'état cherchait à nous apaiser. Sauf que lui ne trouvait plus le sommeil, il devenait fou de cette situation. Sans savoir ou pas si notre voisin pouvait être contaminé ou pas. La confiance allait être mise à rude épreuve. Il me fit donc promettre de prendre la voiture si quelque chose tournait mal, de rouler encore et toujours plus loin. Pour aller où ? Il n'a jamais su me préciser. Mon père ne savait pas lui - même quel endroit serait le plus sûr pour sa seule et unique fille. Il ne voulait pas prendre le risque de me dire là et de réaliser quelques secondes plus tard, que je pouvais être prise au piège. Il me suppliait alors de rouler, de prendre les bidons de mazout qu'il avait mis de côté au fil des jours et de toujours m'éloigner de la ville. Quoi qu'il arrive, quoi qu'il advienne.

Vous venez de trouver une place où vous cachez, quel est la première chose que vous faites ? ✄ Dans la plus grande logique, je regarde s'il existe une seule entrée et donc une seule sortie. Chose qui n'est pas favorable à ma sécurité. Ce qui veut dire que si je suis rentrée, je devrais sortir par la même porte et la même chose pour l'intrus qui pourrait pénétrer dans ma cachette. Donc je ne resterais pas dans une pièce où je me sens déjà prise au piège. Et vaut mieux aussi éviter tout ce qui est armoire, derrière les coins où on se retrouve déjà coincé sans même avoir été trouvée. Aucune cachette n'est parfaite. C'est mon avis personnel. Vaut mieux surveiller ses avants comme ses arrières.

Ma vie n'est pas des plus passionnantes à raconter. Une mère décédée et une opération qui tourne mal. Je croyais que le sort allait s'arrêter de s'acharner sur moi. Mais c'était bien avant que la contamination prenne plus d'ampleur. J'ai vécu dans une famille tout à fait normale. Si ce n'est que je n'ai jamais eu vraiment la chance de partager la complicité d'une relation mère et fille. Quand elle m'a mise au monde, elle a du sacrifiée sa vie. Sans hésiter une seconde, elle continuait l'accouchement, jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à ce qu'elle entende mon premier cri. S'en est suivi quelques mouvements, les infirmières devaient tout donner pour essayer de faire repartir les battements du coeur de cette femme. Allongée sur le lit d’hôpital, ma mère s'avérait être démunie de toute force. Elle avait juste voulu me donner la vie et si le prix était de perdre la sienne, elle n'en avait aucun regret. Malheureusement, je n'ai pas toujours accepté ce choix. J'ai eu mes périodes sombres où je me disais que c'était trop injuste de respirer alors qu'elle n'était plus là pour faire le bonheur de mon père. Je sais qu'il ne m'en voulait pas car j'étais sa fille unique. Néanmoins, je sais qu'elle lui manquait énormément et qu'aucune autre n'aurait pu prendre sa place. Ma mère était la femme de sa vie, celle que l'on rencontre une seule fois. Quand il m'a pris dans ces bras et qu'on lui a annoncé le décès de son épouse, je suis sûr qu'il s'est demandé pourquoi. Alors que leur relation allait connaitre les hauts après les bas, il fallait qu'un malheur s’abatte sur lui. Ma vie commençait. Tandis que celle de ma mère s'éteignait.. J'ai donc connu dans mon adolescence ces périodes de grande difficultés, d'un grand manque qui resterait toujours vide. De plus, je n'étais pas le genre de personne à qui on s'intéresse. Toujours munie de ma béquille, les gens me regardaient comme un phénomène de foire par moment, se demandant ce qui avait pu me conduire jusque là. Alors quand il m'arrivait de donner des explications : Une opération a mal tournée, du coup, on a du m'enlever un muscle pour éviter toute aggravation. C'était le meilleur choix à faire. Et dans ces moments là, je connais le regard que l'on pose sur moi. Cette peine qu'on peut éprouver pour une fille qui n'a rien demandée. Sauf que ce sentiment me dérange énormément. Je ne veux pas être la fille qu'on plait. Je ne veux pas qu'on parle de moi, juste parce que je n'ai pas la vie parfaite, parce que je suis orpheline de mère ou que mon médecin a juste été crétin.

Puis à force d'être gentil avec les gens, je me suis rendue compte que tout le monde ne voyait pas le monde de la même manière que moi. Je grandissais et je devenais plus responsable que l'ensemble de mes connaissances. Il m'arrivait encore après toutes ces années d'entendre mon père pleurer la nuit. Il regardait les informations, buvait un verre et pensait à cette femme qui avait disparue. Je n'ai pas cessé de me sentir coupable à chaque fois qu'il posait son regard sur moi. Je ne pouvais pas m'en empêcher. Des jours, il m'arrivait d'avoir une force sans limite, je pouvais marcher des heures sans sentir des douleurs dans ma jambe. Je pouvais sourire en regardant la photo de ma mère. Me disant que si j'étais là, je devais au moins la rendre fière. Je devais lui montrer tout le respect que j'éprouvais et l'amour que je lui donnais au delà du vide qui existant quand on me demandait ce que faisait ma mère dans sa vie. Au début, je racontais la vérité. Je disais qu'elle était décédé en me donnant la vie. Cependant vu la réaction des gens, j'ai préféré changé de version. Alors j'ai disais que ma mère était vétérinaire. Cela évitait les autres de me regarder avec compassion. Ils me regardaient après comme une personne normale, pas comme une fille qui avait du grandir sans les conseils de la femme, la plus importante dans l'existence de chaque être humain. Cette femme qu'on respecte ou qu'on admire. Je l'ai toujours imaginé, collant les histoires de mon père à mon imagination. Je connaissais ma mère à travers les paroles de nos proches, à travers l'amour que dispersait mon père à chaque fois qu'il osait prononcer son nom.

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La contamination a changé notre monde. Le virus a détruit beaucoup trop de vies et j'ai perdu tout ceux qui je pouvais me reposer. Mon père est décédé et chaque nuit, je revois la scène. Je le vois rentrer, angoissée, transpirant et le regard brillant. Mon père ne savait pas au début ce qu'il lui arrivait à la fois enthousiaste et dévasté. Il était clair et sans aucun doute qu'il avait été contaminé. Il ne s'en souvenait plus mais on ne pouvait pas nier l'évidence même de la situation. Alors quand je prends le risque de lui en parler, il réalise, il se rappelle et me dit : Lizbeth, tu vas devoir être forte. Tu peux le faire, ok. Il me montra l'étagère où il cachait cette arme. Je ne devais pas tarder. Je ne devais pas le laisser mourir pour que sa transformation se termine. Il voulait en finir maintenant, sans aucun doute, il ne voulait pas devenir un monstre. Papa, tu es certain ? On peut trouver une solution, juste prendre le temps d'y penser. Liz je t'en supplie. Cria - t - il. Sans plus tarder, je fermais les yeux. Alors que les larmes recouvraient mon visage. J'étais face à cette terrible réalité, j'étais face à la perte encore d'un être important. Et pour la seconde fois de mon existence, j'allais devoir également lui ôter la vie. Il criait alors de plus en plus fort me poussant à ne plus tard. Trois coups retentirent dans la maison et puis le silence s'en suivit. Je ne devais pas rester ici et je ne le voulais pas. Ouvrant les tiroirs du couloir, je me rendis compte que mon père avait tout prévu si ce jour devait arrivé. Un mot. Un sac de survie et des règles à suivre. J'allais devoir rouler, longtemps, longtemps, très longtemps..

Puis une nuit, après quelques mois où la solitude et moi étions devenu siamois, je me retrouvais en dehors de mon véhicule. J'avais besoin d'air frais, de marcher, de dégourdir mes jambes. Puis je me rendis compte que j'étais encerclée, que depuis des jours, on me suivait dans l'espoir que je finisse par sortir le bout de mon nez. Autour de moi, je n'hésitais pas à crier, à appeler la moindre personne qui aurait pu venir me sauver, qui pourrait prendre le risque. J'étais montée sur le toit de mon véhicule, comme je le pouvais. Même si je savais pertinemment que ma souffrance n'allait pas durer longtemps. Il fallait juste un geste pour que l'un d'eux se décident à s'avancer vers moi. Comme une proie qu'il avait tant désirer. J'étais prise au piège. Il y avait beaucoup de chance pour que je prenne la même voie que mes parents. Je les sentais se rapprocher, je les sentais m'ôter l'âme. Je ne supporterais pas d'être l'une d'entre eux. Alors j'espère qu'ils vont se satisfaire de prendre ma vie.. Jusqu'à ce qu'un bruit les éloigna, quelques secondes. Le temps suffisant pour qu'un homme sorti de nul part, vienne jusqu'à moi et m'emmène..

pseudo ✄ lodiie prénom ✄ elodie. age ✄ cinq ans pays ✄ belgique. sexe ✄ aux dernières nouvelles, je faisais toujours pipi assis. comment es-tu arrivé ici ? ✄ bazzart. que penses tu du forum ? ✄ il est super déjà en apparence et puis l'intrigue m'a poussé à vous rejoindre, que du bon ! . avatar ✄ sophia bush personnage inventé ou scénario ? ✄ le scénario d'un grand monsieur brun un dernier mot avant l'apocalypse ? ✄ sauuuuuuuuve qui peuut .