Je sifflotais tranquille dans ma cellule en jouant avec un caillou ramasser dans la cours ; je le lançais sur le mur. Je n'avais plus de camarade de cellule depuis quelques mois, croire que je les faisais fuir un après l'autre. Bon, d'accord, le premier est mort : supposément pendu. Je dis supposé parce que je sais ce qui lui est arrivé. Je n'aimais pas ce type, il me donnait des misères. Pour moi, c'était un jour comme les autres, c'était tranquille jusqu'à ce que des coups de feu se firent dans le couloir. Je me redressai et m'approchai des barreaux par curiosité. J'aperçu un gardien s'approcher à reculons avec son arme tirant dans tout les sens vers la porte de l'aile nord. Je laissai tomber un rire et tendit mon bras vers lui posant ma main sur son épaule. Il sursauta, se tourna vers moi avant de tirer. Je poussai un cri amenant ma main à mon épaule pour m'éloigner des barreaux. « Non, mais t'es fou! » Je me pris le bras et entendis un bourdonnement venant de l'autre côté du mur et en quelques secondes, il fut en mille morceaux et je me retrouvais par terre face à un tas de brique brisé et d'un énorme soleil qui me brûlait le visage. Je cachai mes yeux et me levai, j'étais libre. Un large sourire et je me levai et me dirigeai vers la sortie comme tous mes compatriotes de ma section de la prison. Je me retrouvais face à une route et je m'empressai de courir pour m'éloigner de cette enfer silencieux qui était brisé par les coups de feu et les cris. Je ne savais pas ce qui se passait et je ne voulais pas savoir. Je n'avais pas cessé de marcher pendant des jours et des jours. Je vous dirais, deux semaines grand maximum. J'étais tomber sur ma ville natale, là ou j'avais laissé ma petite soeur. Fixé à l'entré de la ville, j'avais trouvé quelques armes en chemin : deux couteaux (un de chasse et un couteau papillon), trois armes à feu (un 9mm, une carabine et une mitrailleuse) et bien sûr une machette bien aiguisé. J'avais croisé l'avenir de la planète, j'ai vu des amis en pleine décomposition et marchant. J'avais pris plaisir à les tuer, les décapitant majoritairement. Deux semaines que j'étais sortie, deux semaines que je croisais ses monstres bizarre. Deux semaines de marche c'est long, j'avais besoin de dormir. Traversant les rues en silence, la carabine sur l'épaule et la mitrailleuse accrocher à mon dois par une courroie, je traînais les pieds une cigarette entre les lèvres. J'étais un dort debout. j'avais envie de dormir ; et de plus en plus. Un cris m'extirpa de mon calme et me figea sur place. Je connaissais cette voix. Ouvrant les yeux, je reconnu ma rue. « PAIGE!! » Prit de colère, je me mis à courir et aperçu ses rôdeurs s'en prendre à la porte de ma maison. Je grognai voyant ma soeur paniqué par la fenêtre. Je pointai vers eux et tirai à quelques reprises pour les éloigner et me faufiler jusqu'à la porte avant de la défoncé pour entrer. Je fis face à l'extérieur et tirai de nouveau avant de courir au salon pour prendre ma soeur contre moi. Je la soulevai de terre basculant ses jambes par dessus mon bras et glissai l'autre dans son dos. J'avais pris soin d'amenai la mitrailleuse devant moi et continuai à tirer en me dirigeant vers l'arrière de la maison pour sortir à reculons jusqu'au garage. (c'était chez moi. Ma maison à moi. en étant enfermé, je l'avais léguer à ma soeur, mais elle n'avait pas accès au garage, c'était à moi et il était verrouillé) Encore une fois, je défonçai la porte et regardai ma bagnole, elle était toujours en bonne était et pleine de carburant. Je déposai ma soeur, pétrifié de peur et la giflé faiblement. « Paige! Ça suffit! Calmes-toi! Je suis là. On va s'en aller d'accord ? Alors monte dans la voiture et vite avant qu'ils arrivent! » Il fit un signe de tête et monta dans la voiture. Je pris quelques trucs dans la pièce avant de monter à mon tour pour démarrer le moteur. Je quittai le bâtiment en défonçant la grande porte et me mit à rouler sans me retourner. Elle était traumatisé, ça se voyait quand je la regardais, j'avais toujours été là pour la protéger et je serais toujours là pour la protéger. J'avais roulé jusqu'à ce que je n'aie plus d'essence et nous avions abandonné mon bébé pour se mettre à marcher. Je l'avais porté la majorité du temps, puisqu'elle s'était endormit.